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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 15)
Le 31/07/2013
Il faisait déjà chaud sur le bithume....la voiture roulait à bonne allure sur l'autoroute du soleil, la bien nommée.
Maurice, vêtu de lin blanc était d'un chic, décontracté. Fabien, lui, elle, devrait-on dire avait fait un chignon comme il pouvait pour ne pas étouffer derrière la masse de cheveux qui retombait sur ces épaules. Il fallait le voir avaec son petit short en jean, très moulant ( Maurice avait instité pour sa tenue soit quand même sexy..." Ok, pas de jupe mais un petit truc mignon qui te fasse un joli petit cul" avait ascené Maurice) et un top rose pâle, très lége,r qui laissait ses épaules découvertes. Aux pieds, des sandales blanc cassé avec un petit talon de trois centimètres . Les lunettes de soleil rondes, tantôt sur la tête, tantôt sur le nez, selon qu'il était dans la voiture ou 'visible' en public.
La petite séance de shopping en ville l'avait un peu mis à l'aise mais, à présent, il allait devoir vivre ainsi en permanence, pour toute la durée du séjour.et même au delà, s'il en croyait les dires de Maurice.
Il faut dire que la féminisation, tout du moins physique de Fabien par les filles, était remarquable. il fallait vraiment l'observer et l'entendre parler pour avoir un doute. Il allait devoir se raser tous les jours, surtout le visage mais à part ça, les contours féminins renforcés par le maquillage permanent, lui conférait une allure des plus crédibles.
Vers 13h, posant la main sur la cuisse nue de Fabien, Maurice lui dit : " chéri, tu n'as pas fin ?...on s'arrête pour prendre un petit truc ?" . Le pli avait beau être pris depuis longtemps, fabien avait du mal à vivre cette relation. Son corps était féminisé mais pas son esprit. Maurice s'en rendait-il compte ?
Lorsqu'il se gara sur le parking bondé de voitures, toutes aussi bondées que lui, Maurice annonça qu'il allait aux toilettes. Fabien lui répondit que lui aussi avait envie de se soulager...et devant les portes, Maurice regarda son ami avec un sourire en jetant aussi un regard sur la pancarte ' Toilettes des Dames'...Fabien, dut tenir son rang, affirmer son genre,et faire la queue dans la rangée des femmes. Nul ne portait une attention particulière au travesti. Il sentait des regards d'hommes, assez jeunes, se poser sur son postérieur mais personne ne soufflait " T'as vu, c'est un monsieur, pas une vraie dame"...Il marchait , très à l'aise dans ses sandales aérées et de bonne facture. Il se sentait frais, apprêté parfumé qu'il était. Rejoignant son homme à l'extérieur pour grignoter un sandwich, le vent chaud faisait flotter ses cheveux maintenant détachés. Les lunettes rabattues sur le nez, Fabien avait un air de femme très glamour et sexy.
Le voyage continua une bonne partie de la journée et à l'arrivée au cap d'Adge, leur destination finale, le propiétaire de l'appartment les attendait devant l'immeuble. Fabien eut une petite hésitation avant de sortir mais Maurice lui dit " Tu viens, on le saluer, ce monsieur". Ce qui fut fait. Maurice se présenta et, par là-même, " ma compagne"...comment fallait-il faire ? Ce qui fit penser à Maurice que 'Fabi' n'avait pas de véritable nom féminin et qu'il serait bien opportun d'en trouver. En rebaptisant son travesti d'amant, il renforcerait justement cette féminisation mentale qui faisait encore défaut. Mais Maurice n'entrait pas trop dans ces considérations psychologiques. Il avait besoin d'une femme, qu'elle soit 'biologique' ou transgenre, il devait s'organiser pour cela.
Les clés furent remises, l'état des lieux effectué promptement et dans une sympathie fort chaleureuse, au point que Fernand, le propriétaire, avait invité le couple de locataires à venir boire l'apérétif le lendemain soir. Le rendez-vous fut pris et Maurice monta les valises, sans rechigner. Il se comportait comme un véritable gentleman, un bon mari, pour ainsi dire.
Il était prêt de 20 heures et il fut décidé de ne sortir des valises que le strict nécessaire, de manière à pouvoir jouir du coucher de soleil sur la plage. Après, les 'amoureux' iraient dîner. En enlevant ses sandales, Fabien s'appuya sur Maurice, fier et heureux de retrouver les sensations d'un homme en vacances avec sa femme.
Une sensation qu'il n'avait pas connu depuis des années, car des quelques les aventures qu'il avaient eues, et elles furent rares, aucune n'avait survécu au point de partir pour plus d'un week end.
Peut-être pensa-t-il à cela quand, quelques mètres plus loin, il prit la main de Fabien et l'embrassa tendrement sur la bouche. Silencieux, Fabien, esquissant un tendre sourire, pouvait, lui aussi, souffler. Il était devenu bisexuel encore que plus aucune femme ne s'intéressait à lui désormais), travesti et savait que Maurice ne lui enlèverait pas de si tôt cette cage de chasteté, véritable injure permanente à sa virilité moribonde. il était soumis, passif sexuellement et féminisé mais finalement libéré de cette tension qui pesait depuis si longtemps sur ses épaules.
Perdus, 'lun et l'autre dans leurs pensées, le soleil plongeait inéxorablement dans l"horizon, tout comme Fabien plongeait dans une nouvelle vie, un nouvel être.
Rompant la magie de l'instant, Maurice se tournant vers son amant et l'ensserrant par la taille lui dit ainsi : " je me sens vraiment bien, tu sais. On a passé des moments difficiles mais on y est arrivés. Je suis super heureux que tu sois là. Tu es beau, belle, enfin, qu'importe, tu es une personne délicieuse et siagréable à vivre. Tu sais, j'ai pensé, toute à l'heure, que si l'on va demain, boire l'apéro chez les proprios, il faudra bien que je te présente sous un nom de femme...alors, il faut qu'on trouve d'ici là. Fabbienne....ça fait trop référence à ton ancienne vie. Il faudrait un prénom assez sobre, de ta génération...Nathalie, qu'est-ce que t'en penses, chérie ?".
Comme d'habitude, maurice tenait les rennes et fonçait, sans demander ou attendre l'avis de son interlocuteur. Fabien....ce fut la dernière fois qu'on put l'appeller ainsi, par défaut, soumission, fut donc baptisé Nathalie.
Le couple tourna les talons et alla dîner dans un restaurant en bord de mer. Une nouvelle page s'écrivait.
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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 16)
Le 02/08/2013
Enfin, c'était les vacances !
Il faisait beau, il faisait chaud, la mer et le sable. Maurice et Nathalie, étaient assis à table, les yeux dans les yeux. Maurice était un homme heureux. Il avait dû changer sa façon de voir les rapports avec une compagne qui n'était pas née femme mais qui, chaque jour s'imprégnait sans le savoir vraiment, d'une grande féminité. Nathalie, car tel serait désormais son nom, était une femme à présent, tout du moins pour la majeur partie des gens qui la côtoyaient. Elle eut du mal pour passer elle-même la commande, de peur de mettre, si'lon peut dire, le serveur sur la voie(x) ! Mais qu'importe, puisque Monsieur, son homme, son compagnon, son protecteur, son féminisateur aussi, était là, pour anticiper et lui éviter tout complication.
Il regardait sa femme, car elle était bien sa femme, avec sa belle coupe, son maquillage, ses ongles vernis au bout de ses doigts fins. Il pouvait être fière de ce qu'il avait accompli. Il avait été ferme sur certains principes et avait été payant, en définitive. Une leçon à retenir. Ne jamais rien lâcher en matière d'autorité.Il dévorait sa maîtresse autant que le poisson grillé devant lui et quand un regard d'homme se portait au passge sur Nathalie, il ne se montrait nullement offensé ou même jaloux. Elle avait, certes, vingt de moins que lui Il savait aussi qu'il 'tenait' Nathalie, qu'il l'avait 'faite' et que si quelques curieux étaient attirés par la beauté trouble du travesti, lui seul était détenteur de la clé de sa cage de chasteté et qu'aucun de ces séducteurs de vacances ne voudrait vivre avec un travesti.
Maurice, lui avait forgé cet être, qui n'était pas pour lui un homme féminisé, mais bel et bien une femme. D'ailleurs, il ne s'était jamais intéressé au sexe masculin de Nathalie, même en le nommant, comme nombre d'hommes amoureux du 3ème sexe, de clito. En y pensant, il venait subitement de se rappeler que la fameuse clé de la cage de Nathalie était restée dans la poche de son pantalon, lui-même, encore à l'appartement. Nathalie ne pourrait donc pas être libérée avant huit jours. De toute façon, pour quoi faire, après tout ? Sa nouvelle cage en silicone lui permettait de faire sa toilette sans être défaite...;pour le reste, il n'avait jamais plus vu Nathalie bander depuis qu'il l'avait surprise en Fabien, le deuxième soir. C'est bien qu'elle n'était pas très puissante, cette petite verge de rien du tout. Maurice vit passer à ce moment là une image de sa femme avec une belle vulve et de belles lèvre à la place de ce paquet disgracieux et flasque orné de la contrainte.
Mais le repas se terminait lentement et le couple s'en alla doucement par le bord de mer pour rentrer à leut appartement. Aussitôt rentrés, Nathalie su qu'elle devait sortir les draps et faire le lit. Maurice savourait ces mois de dressage doux qui venaient de s'écouler. Qu'il était bon de vivre avec un homme féminisé et soumis plutôt qu'une femme revêche et rétive aux petits plaisir masculins ! Connaître ça à la veille de la soixantaine le rendit un peu triste mais il comptait bien profiter pleinement des quelques années à venir en compagnie de cette charmante créature, docile, et silencieuse.
Pour ne rien sacrifier à la tradition, l'homme eut droit à sa petit fellation du soir, un peu bâclée à son goût. Nathalie s'en excusa, arguant de l'épuisante journée qu'ils avaient eu et promettant de se rattraper le lendemain.
Et voici donc, le soleil, imperturbable et assidu en été. La lumière du matin perçait déjà l'obscurité de la chambre que Nathalie se leva pour faire sa toilette et se préparer à être présentable. Elle lança le café dans la machine et, prenant son courage à deux mains, chaussa ses tongues pour sortir chercher du pain et des croissants. Elle savait que Maurice lui demanderait tôt ou tard, alors, mieux valait ne pas le contrarier.
Alléché par l'odeur du petit déjeuner, Maurice sortir en caleçon de la chambre, se dirigea dorit vers sa femme et lui donna un baiser sur la bouche, la main sur le bas du dos " ça va chérie ?.humm, tu sens bon, t'es belle !! alors, t'es sortie prendre du pain ?..T'as pris les journaux aussi ?...tu es parfaite !!". La journée commençait bien. nathalie n'avait pas rencontrer beaucoup de monde dans la rue et à la boulangerie, personne ne fit particulièrement attention à son genre. Le marchand de journaux, plus habitué à feuilleter les magazines érotiques, sembla, mais l'était-il vraiment ? ( on était au Cap d'Agde après tout !) interpelé par cette slihouette androgyne sans n'en rien laisser paraître.
" Nathalie, c'est le bonheur, ce petit déjeuner préparé par toi. Merci Madame ". Le compliment fit rougir Nathalie qui n'était guère habituée à des hommages depuis des années. Poussant un petit "Merci Maurice" haut perché, elle plongea les yeux dans son blo de café. Maurice reprit, comme un chef d'état major : " bon, alors aujourd'hui, il faut qu'on aille faires courses ce matin, à la fraîche, on remplit le frigo et puis on file à la plage et vers 13 heures, on rentre se faire un petit frichti, ok ?...Une sieste et on peut ressortir en fin d'après midi faire du shopping, avant d'aller chez les proprios...ok ?" La journée était cadrée, organisée.
Le temps de prendre une douche pour Maurice, de débarrasser la table pour Nathalie, et voilà le couple au supermarché. Une première pour Nathalie. Mais elle semblait accaparée par ses courses, ne pensant plus vraiment à son apparence. Elle sentait de meiux en mieux dans sa nouvelle peau de travestie. Maurice remarqua même quelques inflections de la voix ou des gestes particulièrement féminins, qu'elle n'aurait pas eu, il y seulement quelques semaines. Que n'avait-il attendu pour la féminiser par la tenue et la cosmétique. C'était évident pourtant qu'un homme soumis a besoin de repère. S'il est sumis à un homosexuel, la silhouette est moins importante mais un hétéro comme Maurice, un brin macho de surccroît, ne peut pas accepter de vivre avec un soumis non féminisé, au minimum.
Un nouveau train-train se mettait en place, ici, comme en ville. Courses, déjeuner, siste ( câline), balades, shopping...une vie de couple en vacances.
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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 17)
Le 04/08/2013
La sonnette rententit et c'est Christiane, la femme de Jean-Pierre, les propriétaires cinquantenaires du studio que louait Maurice acceuillit le couple d'un grand sourire. " Chéri, nos locataires sont arrivés !!" s'écria joyeusement cette grande blonde, bien entretenue. Les présentations se firent alors dans la plus grande des convivialité.
On se fit la bise, des compliments et rapidement, une bouteille de champagne fut ouverte, " pour ces dames" alors que ces messieurs se servirent deux doubles whiskies. Christiane commença à apporter les amuse gueules et Maurice, d'un signe de la tête fit comprendre à Nathalie qu'elle devait aider la maîtresse de maison au service.
Les hommes parlèrent sport, la passion du rugby de Maurice n'était pas vraiment partagée par J.Pierre, grand supportaire de L'Olympe de Marseille, sud oblige;
Du coup, on devisa sur l'intérêt touristique et le pourquoi les uns avait chosi le Cap d'agde pour y vivre à l'année, les autres pour les vacances. A la cuisine, on papotait. Christiane complimenta Nathalie pour sa ligne et sa toilette.Pourtant, la petite jupe blanche et le haut en mousseline écru n'avaient rien d'extraordinaire. Aux pieds, Nathalie chausait de jolis sabots coutés, blancs, également. Pour tout amoureux du pied, le sabot a quelque chose de naturel, de bestial ( à commencer par son nom !).et puis, ce son si caractéristique.
Quand les deux couple furent de nouveaux réunis au salon, J.Pierre réexpliqua les raisons de leurs présence à Nathalie. " Eh ben, oui, on est arrivés ici, dans les années 70, .on était plus beaux, hein, chérie ?...et le Cap, était déjà un haut lieu du naturisme. Je ne parle pas d'échangisme, mais bel et bien du plaisir d'être nus dans la nature. Aujourd'hui, on essais d'être plus discret, mais le plaisir est toujours là. Seulement voilà, la Nature est impitoyable et nos corps vieillissent alors qu'on a toujours vingt ans dans nos têtes !" résuma-t-il sur un ton empreint d'une profonde nostalgie.
" Et vous, alors ?" reprit sa femme sans transition " Pour venir ici en cette saison ?...vous savez, on ne pas être indiscrets ni vous mettre mal à l'aise. On a des amis échangistes. On est très "Open minded" comme disent les anglo-saxons, hein biquet, c'est bien ça, hein ?".
Il n'y avait rien qui ne puisse être caché par Maurice ; car c'est lui qui prit la parole; mais il s'en tint à une version assez sage, laissant de côté l'aspect soumission et féminisation de sa femme. Il regarda Nathalie et répondit: " Oh nous, vous savez, on s'est rencontrés il y a quelques mois, on était tous les deux séparés, un peu désespérés. Alors, quand l'été est venus, on n'avait pas pensé, prévu des vacances ensembles. Donc, on a attéri là, enfin, si je puis m'exprimer ainsi ! Et on n'est franchement pas mécontents ! Je tiens d'ailleurs à vous remercier pour votre acceuil, c'est vraiament une belle surprise". Sur ce, Nathalie, plus potiche que jamais acquiesca en souriant niaisement. Ce qui ne fut pas pour déplaire à son homme.
Pour autant, Christiane, finaude, relança, au risque de paraître impolie. " Ah bon, on pensait que vous étiez là pour la vie..disons nocturne, enfin, pas que, hein, chéri ?...enfin, la vie libertine !! hihih...bon, parce que pour être franche, quand J.Pierre m'a parlé de vous...et de vous Nathalie" dit-elle en regardant le travesti " on s'est dit que vous n'étiez pas un couple habituel" Maurice essaya d'afficher, sans grande motivation, une expression d'étonnement mais ne trompa personne. " Oui, enfin, excusez-moi, je ne veux ab-so-lu-ment pas que vous vous sentiez gênés avec nous. Je vous l'ai dit, on a l'esprit ouvert et je dois admettre, Nathalie, que vous êtes délicieuse, vraiment très jolie. Une vraie femme en sorte, hihi...et mon mari sait de quoi il parle!" lança-t-elle à son époux avec un regard quelque peu réprobateur alors que celui-ci la sermona illico: " Oh, Cricri, tu mets nos amis mal à l'aise...c'est pas bien, et moi aussi. Bon, j'avoue que, ma chère Nathalie, je vous ai trouvée exquise. Je n'ai jamais eu de relation avec une transexuelles mais pour moi, vous êtes comme n'importe quelle autre femme. Alors, Christiane est peut-être un peu jalouse, non, ma chérie ? "
Les époux se taquinaient gentillement,essayant de mettre de la bonne ambiance dans cette mise à nue de la véritable identité de Nathalie, le travestie.
Maurice, voyant que la situation était désormais claire, tout du moins en ce qui concernait le genre de Nathalie, reprit le dessus. " Oui, c'est vrai que ma femme est transgenre, c'est un fait. Bon, elle a le projet de devenir une femme à part entière dans les années à venir mais vous savez, ce n'est vraiment pas simple pour les personnes dans son cas. Pourtant, je vous assure qu'elle une femme au plus profond d'elle et un être bon, chaleureux..que j'aime".
Cette déclaration en publique secoua litéralement Nathalie qui resta bouche bée devant l'assistance émue. Comment pouvait-il parler ainsi à des gens qu'ils ne connaissaient que depuis quelques heures ? Et puis, c'était quoi cette question de 'devenir une femme à part entière' ?? Bordel, Fabien, se sentait de plus en plus enfermé dans un carcan qu'il ne maîtrisait presque plus. Il avait dit ça pour reprendre la main, macho qu'il était. Et puis, cet homme à ses côtés, J.Pierre,de cinq ou six ans plus jeune, avait quasiment lui fait des avances indirectes. Ces pensées s'entrechoquaient dans la tête de Nathalie, tout comme de nouvelles flutes de champagne, servies pour faire redescendre la pression.
L'apérétif dînatoire prit fin et les invités se retirèrent. Mais avant, Christiane, qui ne voyait guère ses amies résidentes à l'année et desertrices en été, et qui s'ennuyait un peu finalement, avait proposé à Nathalie d'aller faire du shopping , le lendemain, histoire de se "balader en femmes" ..." On laissera nos hommes discuter devant la télé.
Le couple fit une petite balade sur le front de mer. Maurice était très tendre ce soir-là, très protecteur. Il mis son gilet sur les épaules de sa 'femme'. Au détour d'un rocher, sur la plage abandonnée, point de coquillages ni de crustacées mais quelques libertins nus, prenaient un dernier bain. Après ces émotions, et continuant leur chemin, Maurice eut subitement l'envie de faire l'amour à Nathalie.
Il l'enlaça avec force, releva sa jupe et mis sa langue au goût de whisky dans sa bouche. Le corps du travesti est parcouru par les mains baldeuses et libidineuse du sexagénaire. Sautant l'étape de la fellation, la verge durci par le désir et les embruns, s'enfonça directement dans la chatte de Nathalie.
Bien loin était le temps le soumis Fabien devait être 'travaillé'. Des mois de pénétrations régulières avait fait de l'anus de Fabien, un antre large et acceuillant pour des pénis.
Le coït fut bref et intense et Maurice poussa un cri qui se perdit dans la pinède. " Shuuut" fit Nathalie, honteuse et appeurée. " Enfin, ma chérie, on est au Cap, tout le monde baise dans tous les coins....y a aucun problème, ma p'tite chatte ! Mmmm, t'es sensuelle...les vacances te vont bien au teint...tu m'excites....t'es sexy sans même être très salope...." fit-il en remontant sa braguette alors que Nathalie réajustait sa jupe et se recoiffait tant bien que mal.
Une belle soirée allait prendre fin. Une douche plus tard, Nathalie, en nuisette vert amande , rejoignit son homme dans le lit. Une vie de femme comblée.
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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 18)
Le 06/08/2013
"Oooh", vous avez vu Nathalie ?....c'est pas mignon ce petit haut ? Vous n'avez pas envie de l'essayer ? Je suis sûre que ça vous irait à merveille ! allez, venez donc !" . Christiane était tellement enthousisate à l'idée de voir la femme de son locataire se désahabiller pour essayer ce chemisier rouge à froufrous qu'elle entraina nathalie par la main, puis, lui serra affectueusement le bras, comme une bonne copine, elle demanda à la vendeuse d'un magasin de pouvoir présenter un modèle à son amie afin qu'elle l'essaie. " Ce sera donc un 44, on va dire " répliqua la vendeuse d'un ton implaccable. "Je vous en prie, la cabine est là, Madame.." Nathalie , toujours balbutiant, ( c'était d'ailleurs, devenu son mode d'expression principal depuis le début de sa féminisation), entra dans la cabine et dégraffa une chemisette à manche courte, un peu comme celles que les hommes portent, mais, avec une coupe ajustée et quelques broderies, bien entendu...
Soudainement, prise de panique par le rideau qui se tirait sans annonce, Nathalie replia ses bras sur sa poitrine...mais ce n'était pas la vendeuse, juste Christiane, plus curieuse que jamais, qui voulait voir à quoi ressemblait un travesti dénudé. " Oh, chérie...je ne vous ai pas dérangée, j'espère ?...." et continuant de plus belle..." Bon, je suis un peu curieuse, oui, je l'avoue...nous, les femmes, on est toutes un peu des pies, non ?..encore que je ne suis pas voleuse !! hihih" Fallait-il rire de cette intrusion ? l'audace de Christiane la laissait sans voix. Néanmoins, Nathalie esquissa un sourire poli, ce qui encouragea son aînée dans le sans-gêne de son intervention. " Alors, chérie, on le met ou non, ce chemisier ?...allez, ne soyez pudibonde comme ça..." .
Nathalie, généreuse et toujours aussi passive, ne put résister à cette femme ennuyeuse - et qui s'ennuyait- le petit plaisir qu'elle réclamait. Il n'était pas question d'exhibitionnisme, juste lui montrer ses seins épilés. Ne prenant pas d'hormones ou n'ayant pas de prothèses, la poitrine du travesti n'avait rien d'exceptionnel. Pourquoi l'eût-elle été au demeurant ? C'était un des choses que Maurice n'avait pas encore eu l'idée de lui imposer.
" Hiiiii, c'est mignon, ces petits têtons, il doit aimer ça Maurice, non ?...Vous êtes à croquer tous les deux....". La quinquagénaire gloussait comme une adolescente qui voyait le sexe d'un copain d'école dans les douches pour la première fois..." Vous mettez des soutien gorges aussi Nathalie ?" demanda-t-elle pendant qu'elle aidait son amie à passer le chemisier. " Oui, j'en porte mais, là, il fait vraiment très chaud, et puis, on est allés à la plage ce matin avec Maurice, et je n'ai pas eu le temps de me refaire une toilette. Mais, si vous voulez tout savoir, je porte des prothèses à l'intérieur. Vous savez, Maurice aime quand même, comme tous les hommes, les femmes aux seins lourds et généreux, un peu comme les vôtres , Christiane".
Cette réponse, un poil perfide, était surprenante de la part de Nathalie, si effacée d'habitude. Christiane en fit une interprètation bien différente. Heureuse de recevoir un compliment, fut-il à double sens; car sa poitrine, certes généreuse et de belle tenue, subissait néanmoins les outrages du temps; se dit que le locataire du studio pourrait bien être intéressé de voir une belle femme, une vraie femme, avec de gros seins." Le travelo ne devait pas lui en donner beaucoup à voir" se dit-elle sans même vraiment le penser.
Elle était juste une femme jalouse; jalouse d'être un peu délaissée par son mari, jalouse de s'ennuyer en cette saison où tout le monde s'amuse de jeux libertins, jalouse de ce corps, certes féminisé et pas vraiment féminin, mais si jeune et utilisé.
Lorsque la vendeuse, soucieuse de savoir ce que pouvaient se dire ou faire les deux femmes derrière le rideau, lança un " ça convient au niveau de la taille, Madame ?", Christiane bondit de la cabien, un large sourire aux lèvres et s'exclama " elle est superbe. On le prend !!". Nathalie n'avait même pas eu le temps de sortir de la cabine que Christiane sortit sa carte de crédit et paya l'achat.
Quelques minutes plus tard, Nathalie se confondit en remerciements et proposa à Christiane de boire un verre. Elle commançait à avoir mal aux pieds; maurice ne voulait pas que sa femme sorte en ville avec des chaussures de plage. Donc, Nathalie chaussait des sandales aux talons de 9 cm, quand même qui , malgré le fait qu'elles étaient ajourées, lui faisaient gonfler les pieds.
Christiane, enchantée de pouvoir passer un moment entre copines fut enchantée et parla d'un bar très à la mode sur le bord de mer où, selon ses dires, les serveurs étaient les "plus beaux du monde !" . Lorsque les deux femmes furent installées à une table en vue, Christiane se mit à jeter des regards concupiscents sur les jeunes serveurs, musclés et bronzés. " Oh, vous savez.....dis, on pourrait se tutoyer, non ?, tu sais, ils sont beaux mais, pas tous très malins...hihih...qui le leur demande en mêm temps, hein ?" Christiane riait de ses réflexions et Nathalie, un peu gênée, comme depuis le début de la balade, crut bon de dire " oui, ils sont très beaux". " Tu les aiment comme toi, les mecs ?...genre plein de muscles et bestiaux ou plutôts artites/intello ?". Cette question laissa Nathalie dans l'embarras, elle qui n'avait jamais connu que le sexe de Maurice. Elle se contenta de répondre " Oh, je n'ai pas de style précis, j'aime bien tout", pensant éviter de nouvelles questions dérangeantes.
Mais c'était sans compter sur l'excitation de Christiane qui lançait désormais des oeillades aux serveurs. " Ben, dis-donc, t'es une coquine, à mon avis....;il te les faut tous !!! hihhi" puis renchérit " En tout cas, travesti ou pas, tu as tapé dès le premier soir dans l'oeil de mon Jean Pierre ! Il n'a pas arrêté de me parlé de toi toute la soirée de votre arrivée. pour un peu, il serait aller vous voir pour vous demander si tout allait bien dans le studio.mon oeil !! je le connais, mon lascard, toujours un oeil qui traine..quand ce n'est pas une main ! Pourtant, à ma connaissance, même plus jeune, il n'a jamais couché avec un travesti...tu as un charme envoûtant, Nathalie, la coquine !!".
Une fois de plus, le travesti était affublé de vices dont il n'était même pas conscient. Les fantasmes de Christiane et d'autres faisaient le travail et l'enfermaient dans une image dont il se serait bien passé. "Tu sais, Christiane, ce n'est pas mon genre de coucher avec les maris d'autres femmes. Tu peux être tranquille". L'épouse du propriétaire parut déçue par la rigueur morale de Nathalie et préféra recentrer sa curiosité sur sa relation intime avec Maurice. " Mais, je ne me fais de souci, ma Nathalie chérie.;et puis tu sais, je n'en voudrais ni à toi, qui est si mignonne, ni à Jean Pierre d'avoir un moment d'égarrement. Mais avec Maurice..il aquel âge déjà, ton homme ?.........63 ?...oui, ça vous fait quoi, une vingtaine d'année de différence ?....il est encore.....enfin tu vois...vert ? "
Nathalie découvrait ce que les hommes subodorent sans en n'avoir jamais la certitude, que les femmes parlent entre elles de manière très libre d'hommes, de sexe et qu'elle échangent beaucoup d'informations utiles. Moins grivoises ( encore que, à l'occasion...) que les hommes et plus communicatives, elles savent plus que les hommes entre eux, les petits secrets de leurs congénères. Ne voulant pas, dans ce duel qui ne disait pas son nom, perdre la face devant cette matronne, elle répliqua du tact au tact : " Maurice est un homme qui a beaucoup d'expérience en matière de sexe. Et, tu sais que les hommes peuvent avoir de belles érections, sans pillules bleues !, jusqu'à un âge avancé. Mon homme, chérie, il bande comme un taureau et je peux t'assurer qu'il me fait grimper au rideau tous les soirs !".
Christiane en aurait baver si elle avait pu le faire en public. mais elle se reprit et proposa, sans plus de transition de rentrer les voir, ces hommes.
Au retour à l'appartement, ces derniers étaient avachis sur le canapé et le café du début d'après midi avait cédé la place au whisky du soir . " Eh ben, on ne vous attendait plus..mais vous avez dévalisé la ville ou quoi ??" s'exclama Jean Pierre. Maurice, silencieux, lançait un regard à ces deux femmes, si différentes et pourtant si 'femme'. Les couples se quittèrent et se promirent de passer une soirée ensemble en fin de semaine.
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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 19)
Le 08/08/2013
La vie au Cap d'Agde n'était évidemment pas basée sur le libertinage, loin s'en faut. C'est avant tout une station balnéaire où, en effet, de nombreux libertins se retrouvent pour vivre dans une atmosphère bon enfant, leur passion de l'érotisme. A côté de cela, et ces dames, en avaient profité la veille, il y avait une vie culturelle, des commerces, des cafés, et puis, biensûr, la plage.
La journée du couple Maurice / Nathalie, commençait toujours par un petit tour chez le boulanger ( pour Nathalie), chez le buraliste (pour Nathalie) , puis par un petit déjeuner copieux ( que préparait encore Nathalie). Il fallait ensuite faire la chambre, le ménage, quelques courses au marché, et celà, c'était toujours Nathalie qui s'y collait, prendant que Maurice lisait son journal sur la terrasse.
Elle travaillait dur, la femme-travesti, tout cela dans des tenues que son homme voulait agréables à regarder, histoire de lui faire prendre un 'bon pli'. Seule petite concession, il lui permettait de chausser des ballerines ou des sadales à semelles plates pour faire les courses...plus rapidement. Car, une fois tout cela rondement mené, le couple partait à la plage. Maurice avait acheté un maillot de bain deux pièces qui vint bientôt remplacer celui acheté en ville avec les filles, d'une seule pièce. Nathalie glissait deux petites prothèses collées sous le soutien gorge et la culotte était à peine déformée par la cage de chasteté en silicone, enfermant le minuscule pénis de celle qui, jadis, se nommait 'Fabien'.
A la plage, 'Madame' sortait avec une étoffe de mousseline enroulée autour de son torse, au desus de sa petite poitrine et se terminant juste avant le rebond de ses fesses. Elle avait fière allure dans son ensemble, Nathalie.
Une fois sur le sable chaud, Maurice plantait le parasol dans le sol, déroulait les tapis sur lesquels tous deux installaient leurs serviettes et leurs crèmes solaires. Maurice adorait se faire masser par sa femme, lui demandant toujours plus de crème, sur les épaules, le dos, les jambes...;et ne se privant pas d'en faire autant pour elle. Le parfum, l'onctuosité du produit, cette peau sans aucun poil , douce, ferme, tout cela donnait à Maurice de petites érections qui le maintenant sans cesse dans un état de semi excitation.
"Tiens, chéri, enlève ta culotte, je vais te passer de la crème sur le bas ventre et sur les fesses, déjà que tu ne peux pas trop enlever le haut..." avait-il doucement demandé à sa femme, un peu gênée, qui rétorqua ' mais tu n'as pas peur qu'on me voit l' enlever ?....tu sais ce qu'il a en dessous ?" "Haha, alors là, ça, je m'en fout de ce qu'on verra ou pas !...et puis, des travs ou des trans, il y en a plein la plage, t'as pas remarqué ?" " heu, non ...." " Et puis, ma Nath, je ne voudrais pas te faire du mal, mais ton oiseau, c'est plutôt un oisillon maintenant, alors, bien serti dans sa coquille, il ne va pas beaucoup se voir..." .
La phrase était dite d'un ton délicat mais sonnait comme le glas de sa virilité passée. Même nu, on ne verrait plus ce petit bout de chair boursouflé, rentré et inusité depuis des mois. La couleur chair de la cage laisserait presqu'imaginer à des voyeurs que la femme en question a un gros clitoris et en aucune façon, un penis...quelle idée folle !
Avec ce spectacle qui défilait devant eux, à savoir, les femmes nues, ou presque, des couples se tripotant, et même, là, Nathalie n'avait pu les remarquer, un groupe de quatre trans, seins siliconés à l'air et même pour deux d'entre elles, un petit pénis pointant sous leur string.
Maurice ne put s'empêcher de dire à nathalie " elles sont superbes ces nanas, tu trouves pas, chérie ? Même si on sait que c'est des prothèses, enfin, à l'intérieur, pas comme les tiennes...bien, c'est vachement bien fait. ça leur fait vraiment une belle poitrine...." Se rendant compte qu'il était quelque peu indélicat, Nathalie ne pouvant prétendre, sans prothèses qu'à un très modeste 85A.et encore, il tenta de la réconforter " Bon, j'ai bien tes seins aussi, tu sais, ils sont tout petits et mignons, mais bon, un mec, en général, ça adore les gros lols ...héhéé" .et il fait un baiser à Nathalie, plongée dans son magazine féminin....
Fut-ce la relative indifférence de Nathalie aux propos de son compagnon qui fit dire à ce dernier qu'elle avait un corps superbe, fin.....?...et voici qu'il défit le noeud attaché dans le dos du maillot de bain, en souleva une partie et découvrit un têton imberbe sur lequel il déposa une langue chaude et humide. Tournoyant autour de la turgescence, sa main s'égarait à l'intérieur des cuisses de la travestie. Nathalie s'était arrêtée de lire et, une main inerte, l'autre dans le dos de son homme, laissa le dominant lui témoigner sa tendresse. La verge de Maurice durcissait néanmoins dans son slip de bain et Maurice prit très vite la main droite de Nathalie pour la glisser à l'intérieur.
Elle avait en main ce vié dur dont elle sentait les veines se remplir et le gland devenir lisse sous les pressions de ses doigts. Entre deux râles, Maurice, avant de la faire venir sur lui, glissa dans l'oreille de son amante " humum, je tiens Nath, suce-moi, tu veux ?"
Quoi ?? comment voulait-il que Nathalie fasse une fellation un plublic en plein jour qui plus est ???
Mais la réflexion et plus encore, la contestation, étaient compatibles avec les demandes de Maurice qui voulait que sa femme les satisfasse dans les plus brefs délais. Il estimait qu'en tant qu'homme, payant le séjour, les toilettes, les restaurants, bref, tout, il avait droit d'exiger qu'on le suce à n'importe quel moment et en n'importe lieu. Et puis, cette plage n'était-elle pas réservée au libertins ? Nathalie n'avait pas compris pourquoi ils avaient presque traversé la ville pour se baigner ici, alors qu' ils disposaient d'une plage à deux pas de chez eux....
Maurice baissa d'un coup sec son slip et sa grosse verge bondit à l'ombre du parasol. D'une petite pression de sa main dans le dos de sa femelle, il lui donna le signal de s'atteler à la tâche sans se soucier de l'environnement. La bouche de Nathalie s'ouvrit en grand et englouti derechêf l'organe en érection. A vrai dire, personne ne regardait vraiment, et encore moins s'offusquait de l'incongruité de la scène. Cet air marin, ces parfums de crème, et la langue humide, si humide de la suceuse vinrent bientôt à bout de Maurice. Des voisins regardaient un peu, et deux femmes passèrent trop lentement pour être distraites devant cette tête plongée sur l'entre jambe de l'homme.
Après s'être relevée, Nathalie but un verre d'eau, réajusta son soutien gorge, à moins que ce ne fut le contraire, tourneboulée qu'elle était d'avoir donné pour la première fois de sa vie un tel spectacle à un public d'inconnus. Sa vie avait vraiment changé, se dit-elle.
Heureusement que plus personne de son ancienne vie ne pouvait la voir, ici, en compagnie de cet homme qui la traitait comme une femelle et l'emmenait progressivement, sans qu'elle ne put s'en défaire, vers un état de féminisation avancé.
Il était près de 14 heures et il fut le temps de rentrer avant qu'un trop grand nombre de baigneurs ne déferle sur la plage. Maurice avait faim. " Qu'est-ce que tu nous a trouvé au marché, chérie ?" s'enquit le senior rassasié de sexe mais pas de nourritures terrestres " 'j'ai pris de la paella chez le traiteur, ça te convient ?" ...
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