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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 5)
Le 05/07/2013
Malgré la défaite le couple d'amis passa une bonne soirée et le retour dans la voiture de Maurice -Fabien ayant dû céder la sienne- se fit dans la bonne humeur. Ce bon moment fit oublier la gêne, pour ne pas dire le froid consécutif à la 'prise sur le vif ' de Fabien par Maurice.
Les bonnes habitudes reprirent avec des soirées conviviales autour d'une bonne bouteille ou d'un film. Parfois Georges passait et une bonne discussion s'ensuivait. Fabien oubliait petit à petit ses angoisses de logement et Maurice goûtait de nouveau au plaisir de partager un logis, avec des relations chaleureuses et sincières. Il disait adieu à cette lourde solitude qui le taraudait depuis la rupture avec sa femme. Ce n'était pas une nouvelle épouse mais une belle amitié qui réchauffait ce vieux coeur.
Pour autant, nul ne pouvait ignorer que la situation ne pouvait perdurer, sur ces bases, en tous cas. Fabien devait trouver une situation stable, même s'il allait devoir changer manisfestement de style de vie. Il lui fallait retrouver une place, un statut, une raison de vivre et d'espérer. Dormir dans un canapé et tenir un foyer ne pouvaient pas constituer un avenir pour cet homme jadis ambitieux, séduisant et séducteur et promis à un bel avenir professionnel. De son côté, Maurice savait que son heure de gloire était passé, qu'il ne retrouverait pas de nouvelle femme, prête à s'occuper de son foyer. Même si la présence et le travail de Fabien étaient une source de confort pratique, pour lui, il se doutait bien que tôt ou tard, son protégé rebondirait et s'en irait, le laissant à sa tranquille vieillesse qui se profilait.
Cette drôle de situation allait connaître un rebondissement spectaculaire lorsqu'un soir de semaine, une fois de plus, Maurice revint chez lui à l'inpromptu. Mais au lieu de trouver Fabien sur le canapé, il le surpris, nu, sur son propre lit, le sexe tendu, prêt à jouir. Maurice fut d'abord aussi choqué que Fabien. Seulement, dans la minute qui suivit, explosa:
" Ah non, ça va pas recommencer, ces saloperies !! et en plus, sur mon pieu !!! Là, Fabien, ça va pas du tout se passer comme la dernière fois. Putain, je t'ai dit que je ne voulais pas que tu fasses ça chez moi !! Bordel !! Va falloir que tu choisisses, Fabien, t'entends? Je vais pas en rester là ! ".
Fabien, saisi par la violence de la remontrance de son hôte, balbutia quelques mots et ne put rien faire d'autre que s'excuser platement: " Maurice, je suis vraiment désolé. Je ne l'ai pas fait pour te contrarier, c'est plus fort que moi. Je déprimais, j'avais besoin de me détendre. Je ne voulais pas être surpris, comme la dernière fois...pardon, s'il te plait".
Cette fois-ci, l'affaire était grave. Il était évident que derrière cette déferlante, se cachaient des tensions et des interrogations personnelles car, au demeurant, même si l'attitude de Fabien était pour le moins, incongrue et déplacée, la réaction extrême de Maurice n'était pas justifiée. Extrême, car, dans la quinzaine qui suivit, ce dernier convoca littéralement Fabien dans le salon. Depuis l'incident, une atmosphère de 'pax romana' régnait sur le deux pièces. Chacun vacait à ses occupations mais Maurice affichait une posture inhabituellement sûre, presque insolente.
Et pour cause ! Voici ce que le sexagénaire teint comme discours : " Voilà Fabien, je n'ai toujours pas dirigé l'incident de l'autre jour. Pour moi, tu m'as offensé, tu n'as pas tenu compte du fait que tu vis chez moi et que ce sont mes règles qui s'imposent. Certes, tu fais du bon travail à la maison et , en dehors de tes penchants prevers, tu es un bon compagnon. Saches que c'est pour ça que je ne te mets pas à la porte. Pour autant, tu me forces à prendre des mesures contre toi. Comme je ne peux pas te faire confiance, tu vas devoir choisir".
Fabien n'en revenait pas, son corps entier tremblait à l'idée d'être aussi prêt d'une expulsion et il redoutait, sans imaginer une seconde ce qui allait lui tomber sur la tête, le dictat de Maurice. Car, c'en était bien un ! Que ne ferait-on pour ne pas être mis à la rue ? Fabien n'avait ni la carrure physique, ni la force morale de résister à la jungle urbaine. Il savait qu'il serait balayé par la violence qui règne dans la rue. Il savait au fond de lui qu'il accèpterait la proposition de Maurice avant même de l'avoir ententue. Rien ne pouvait être plus dur à vivre que la vie de sdf. Ce qui allait entendre le fit presque rire, tant la proposition en question était originale, pour ne dire farfelue.
" Alors voilà..." dit Maurice en ouvrant une petite boîte en carton. " j'ai acheté ça pour les mecs dans ton genre. ça s'appelle une cage de chasteté. Tu le mets et le système est verrouillé. Tu ne peux plus l'enlever sans la clé et tu peux plus te toucher ou même bander. Il parait même qu'au bout d'un moment, tu l'oublies, et ça calme tes ardeurs. Comme ça, moi, je serai tranquille et je pourrai rentrer chez moi sans voir un type se branler sur mon lit".
Fabien était interloqué, sèché, bouche bée devant ce dispositif, en métal de surccroît, ressemblant à instrument de torture du moyen-âge.
" mais enfin, Maurice, soyons raisonnbles, ok, j'ai merdé mais tu veux pas que je mettes ce truc sur ma bite. Ok, je t'ai dit que je ne recommencerai plus...et puis, merde, j'suis un mec, j'ai besoin de faire redescendre la pression, enfin, tu me comprends, non ?" répliqua Fabien afin de faire revenir son ami à la raison.
" Ecoutes, c'est pas une question de pression, de moyen-âge ou autres. Je t'ai demandé de ne pas faire un truc ici, et tu m'as désobeï. Donc, le deal est clair : tu mets ce truc-là, tu le femres à clé et tu me les files ou tu fais ton baluchon et on en reste là.". Le glas venait de sonner. Fabien était pris dans une nasse abomibable. Soit il envoyait Maurice et sa proposition au diable Vauvert, conservant son intégrité d'homme, soit, il pliait et passait un peu plus encore, sous la domination de Maurice. Il est vrai que les événements récents de sa vie et son 'statut' de nouveau 'galérien, homme au foyer', n'allaient pas l'aider à réagir comme un homme.
C'est ainsi qu'il plia, prenant la boîte dans les mains et se dirigeant docile, résigné, honteux, vers la salle de bain.
" Lis bien les instructions. Tu fais le bon choix....et puis, tu verras, c'est pas si grave, c'est si important que ça, on s'en passe....et, appelles-moi quand t'auras fini".
Au bout d'une heure, Fabien ressorti timidemant de la pièce d'eau. il s'était rhabillé et présenta le jeu de clé du cadenas, verrouillant le dispositif. Seulement, l'humiliation n'allait pas en rester là. Voyant que Fabien ne l'avait pas appelé, Maurice lui dit sur un ton désolé mais ferme " heu, je t'avais demandé de m'appeler, c'était pour que je vérifie si c'était bien verrouillé....c'est toujours la même question, avec toi... la confiance, allez, faisons ça vite, c'est préférable pour nous deux.".
C'est ainsi que le pantalon de Fabien descendit doucement sur ses genoux et découvrit son sexe encagé. Le pubis avait été entièrement rasé, comme fortement recommandé dans le manuel d'utilisation. Fabien baissait la tête, voyant ce cadenas condamner une part de sa virilité.
Les yeux fixés sur l'organe et l'objet, tous deux fondus et confondus, Maurice ressentit un sentiment étrange, comme un tranfert de pouvoir, de puissance. Il ne sentait plus menacé par la jeunesse et la fougue de son jeune ami.
Une nouvelle ère de bien-être s'ouvrait pour l'un, une nouvelle épreuve, pour l'autre.
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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 6)
Le 09/07/2013
La première nuit, Fabien ne dormit pas. Stressé par l'épisode de la mise en cage et le changement d'attitude de celui qu'il croyait être son ami, il n'arrêtait pas de penser à ce qui venait de se passer. En arriver à un tel délire dépassait l'entendement, et pourtant, cela était ! La gêne due à la cage qui enserrait sa verge, la comprimait, au moindre mouvement, (sans parler des débuts d'érection nocturnes ou matinales !), ne lui laissa que quelques heures pour s'assoupir.
Bientôt, le réveil sonna. Il fallait faire le lit, plier le canapé et discrètement préparer le petit déjeuner de Maurice qui pouvait encore dormir une bonne demi heure. Fabien essayait de ne pas penser à cet objet entre ses cuisses et se concentrait, comme il pouvait, sur sa tâche. Quand Maurice sortit en peignoir de la chambre, c'était un autre homme: décontracté, presque joyeux. Il lâcha même un "salut Fabi", qui sonna bizarrement aux oreilles de Fabien. "Fabi" ?....Une fois à table, Maurice se fit servir son café, un fruit, des tartines grillées..tout était parfaitment disposé sur la table. " Tu as bien dormi ?" renchérit le sénior. Avant même la réponse de son interlocuteur, il reprit pour parler de sa propre nuit, qu'il avait passée sans troubles. L'avis de Fabien ne comptait visiblement pas ce matin-là. Maurice ne s'enquit même pas de la gêne, qu'il savait inévitable et provoquée par la cage de chasteté. Il savait que ce dispositif allait fortement indisposer son 'invité' mais le sujet ne sembla pas le perturber outre mesure. Il savourait son petit déjeuner alors que 'Fabi' finissait de ranger des ustensiles, côté cuisine. Maurice, plutôt en verve ce matin-là , exprima le voeux de déguster un bon morceau de filet de boeuf, le soir. " Tu iras chez le boucher qui fait du Charolais, c'est plus cher mais je te donnerai de l'argent, tu en prendras un aussi pour toi ". Cette façon de composer le menu du soir, asservissait plus encore le jeune homme, d'autant que Maurice lui faisait bien savoir que ce dernier n'avait plus les moyens de consommer des produits nobles. Et puis, de dire " tu en prendras aussi un pour toi"....mais, n'était-ce plus désormais automatique qu'il mangent la même chose, la même qualité. Ne sachant pas quoi répondre, Fabien dit " ok, merci". C'était exactement ce que Maurice voulait entendre. Il voulait faire sentir à Fabien qu'il tenait désormais les rennes du foyer.
Avant de se lever de table, Maurice demanda à Fabien ce qu'il allait faire aujourd'hui, comme s 'il ne le savait pas...." ben , je vais ranger, faire un peu de ménage et sortir faire des courses."
Satisfait le Maître de maison prit la direction de la salle de bain pour en sortir un quart d'heure plus tard, une serviette autour du ventre. Il s'habilla dans sa chambre et une fois prêt passa, dans son costume cravate, devant Fabien, presque sans le voir, si ce n'est qu'il dit ceci : " bon, je file, j'ai plein de choses à faire aujourd'hui....si tu pouvais faire ma chambre, ce serait bien....maintenant que tu la connais, ça ne te gênera pas, non ?, Allez, bonne journée, à ce soir ". N'attendant même pas de réaction, il claqua la porte. Une nouvelle porte se fermait sur le destin de Fabien. L'appartement était en désordre, la salle de bain, la chambre, le lit à faire, la serviette mouillée... La journée de fabien, elle aussi, s'annonçait longue et fatigante, d'autant qu'elle s'arrêterait pas avant que le repas soit servit et la table débarrassée. La servitude que l'encagé allait devoir subir était un chemin douloureux et nul savait où tout cela pourrait le mener.
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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 7)
Le 10/07/2013
Le cycle du ménage, des courses, du lavage, du repassage reprit, comme si de rien n'était. Une incroyable mise au pas de Fabien par son aîné avait eu lieu, une prise de pouvoir s'était instaurée entre les deux hommes et rien n'avait, en apparence changé, sauf ce qui se passait dans le pantalon de Fabien ! Dans son pantalon et dans sa tête car cette chasteté forcée renforçait l'estime peu flatteuse qu'il avait pour lui-même. Comment reprendre les commandes de sa vie alors qu'on n'a même pas celle de son sexe ? Mais que pouvait faire le presque domestique ? S'il avait refusé, il serait, à n'en point douter, en train de dormir sous un pont, ou pire, de se faire aggresser !
Il se conformait aux nombreuses tâches qui étaient désormais les siennes et lorsque le soir venait, il était content d'éteindre la lumière pour enfin se reposer.
Le service que Fabien apportait à Maurice satisfaisait ce dernier, plus enclin, les semaines passant, à la clémence. Du coup, grand seigneur, il dit à Fabien, un samedi après midi, après que Toulon eut gagné, que s'il voulait se soulager dans la salle de bain, il le pouvait. Surpris d'une telle proposition, Fabien se rappela très vite qu'il n'avait pu toucher et encore moins caresser son sexe depuis près de trois semaines. Bien cette intimité avec Maurice lui semblait déplacé, il savait que le sénior avait le pouvoir sur lui. Les deux hommes entrèrent dans la salle de bain et Maurice dit à Fabien : " allez, vas-y, enlève ton froc, tes chaussettes et entres dans la baignoire, je veux pas que t'en mettes de partout non plus". Décidément, se dit Fabien, Maurice exagère. Il lui avait bien fallu , lors de la pose, lui montrer son sexe mais là, c'était vraiment humiliant. Il ne fut pas au bout de sa surprise quand, Maurice défit le cadenas et enleva lui-même la partie supérieure en faisant la faisant glisser le long d'un pénis flétri et rentré au maximum. Fabien était plus gêné encore. " Bon Fabien, allez, tire sur ta nouille, j'ai pas l'après midi" fit Maurice. " Mais, tu vas rester là, comme ça ?" répliqua enfin le jeune. " hihi, au regard de ce que je vois, je ne crois aps que ça prendre beaucoup de temps !! et puis, j'ai d'autres choses à faire que t'attendre, alors t'y vas ou bien ??" . Le ton s'était soudainement durci pour faire comprendre à son interlocuteur qu'il allait devoir se masturber devant lui, et vite, de surccroît. Pauvre Fabien qui, regarda son sexe, encagé depuis trois semaines, auquel il s'efforçait de ne plus penser, se mis à le tripoter et lui faire faire des vas et viens, du bout des doigts. L'organe ne réagissait pas très bien. Comment eut-il pu en être autrement ? Lorsqu'on n'est pas homosexuel et qu'un homme nous regarde nous masturber en s'impatientant, il est très difficile d'obtenir un érection. Au bout de quelques minutes, fermant les yeux pour ne plus sentir le regard de Maurice, la verge de Fabien commença à se gonfler. Lentement,il retrouvait des sensations....il n'était donc pas complètement fini, alors ? Mais le temps passait dangereusement et au bout dix minutes, Maurice lança un ultimatum : " Bouh...que c'est long, je comprends que tu ne trouves plus de nana . Bon, j'te laisse encore cinq minutes et puis on range le matos.". il n'y avait riend de tel pour décourager un homme que le presser et le stresser de la sorte. Cinq, six, sept minutes passèrent et Fabien, sentant sa verge se ramollir, ouvrit les yeux en regardant piteusement son geôlier. Il finit même par abandonner et se laissa remettre la cage sans protester. Chose étonnante, car Maurice avait du toucher plus ou moins le pénis et la bourse pour maintenir le tout. Visiblement, les organes génitaux de fabien ne lui appartenaient plus vraiment. Dévirilisé et humilié, il se rhabilla alors que Maurice sortait de la pièce en disant " t'auras peut-être plus de chance la prochaine fois.", comme s'il s'agissait de chance.....
Le lendemain, Maurice reçut un appel de Georges, qui lui parla, comme de bien entendu, du patch de rugby de la veille. les deux hommes devisèrent un bon quartd'heure jusqu'au moment où, le toujours aussi discrèt et délicat Georges demanda, un brin taquin, des nouvelles de fabien. " Oh, il va bien.....oui toujours là.....ben non, toujours pas de boulot.pas facile en ces temps.........quoi ?.......ben, oui, il s'occupe ici, bien, même.......hahaha, Georges, qu'est-ce que tu vas chercher, t'as l'esprit vraiment mal placé ! Tu sais bien que je préfère les femmes !.....haha.......bon, ok, ça fait un moment et je te cache pas que j'aimerais bien rencontrer quelqu'un mais bon, je la préfèrerais avec des jambes épilées et une paire de bas !!! .......Hihi...ouais, un mec peut aussi en mettre.....putain, t'es un drôle de mariole, toi ! Bon je te laisse, oui, ok, je fais une bise à fabien !! Allez, salut, vieux !".
Cet échange aurait pu passer anodin s'il ne s'était pas passé devant fabien, assis sur le canapé à feuiller le journal...
Les regards des deux hommes se croisèrent mais ce furent les yeux de Fabien qui se baissèrent, laissant un ange passer à travers la pièce.
Le week end avait été finalement bien orienté sur la chose. Pour se détendre, Maurice se servit, une fois n'est pas coutume, un verre de whisky, et ce généreusement. Il servit même Fabien qui avait, lui aussi besoin d'évacuer tout ce stress lié à l'épisode de la veille. Mais ce fut le film du soir qui fit basculer la relation entre Maurice et Fabien. Tout cela avait bien chamboulé l'homme mûr et lorsqu'il vit, dans une séquence d'amour, une paire de fesses, de seins féminins, et l'alcool aidant, il ne put s'empêcher de faire des réflexions salaces. " Oh, putain, mates-moi ce cul, putain, la salope, .et là, ces nichons, oh, ça, j'adore....hé, ça te fais pas envie, toi ?......ah oui, c'est que tu bandes plus !!! ahaha". La remarque et la vulgarité de Maurice surprenait son ami car il le connaissait pas sous cet angle graveleux. " Putain, j'me la taperais bien cette chienne....ça m'fait bander, du coup...c'est pas à toi que ça arriverait ça, hein ? avec ta nouille toute molle.héhéhé ". Mais quand cette humiliation allait-elle s'arrêter ?.....le pire arriva lorsque Maurice dégraffa son pantalon et glissa sa main dans son slip afin de se caresser l'entre jambe. Fabien tentait de regarder ailleurs, en attendant que ça se termine. Mais l'excitation dûe à la caresse, encouragea Maurice à sortir complètement sa verge et s'étalait sur son bas ventre. Malheureusement pour Fabien, la scène érotique n'en finissait pas et d'autres plans faisaient monter la pression....jusqu'au moment où se tournant vers fabien, Maurice, rougit par l'alcool et l'excitation sexuelle, rabroua son voisin avant de lui dire " Qu'est-ce t'as, toi ?......prends-la.......". Fabien, béat, ébêté, n'était plus vraiment là.....du coup, lorsque la réponse se fit attendre et que Maurice empoigna sa main gauche, il ne le sentit pas.
deux secondes plus tard, cette même main enserrait la verge gonflée de Maurice et s'agitait de bbas en haut, sous l'impulsion de celle de Maurice. " vas-y, branle-moi.....putain, c'est bon, ".
Fabien ne réfléchissait plus, n'agissait plus, de décidait plus. Il n'était simplement plus un homme libre. Agitant sa main comme un robot, le mouvement, ne s'arrêta pas lorsque maurice déserra la sienne, laissant à fabien, partenaire sexuel d'un soir, le soin de le masturber. Le Vieux encourageait le jeune et au bour de quelques minutes, du sperme jaillit, éclaboussant le bas ventre de Maurice et la main de sons compagnon. " Vas prendre du sopalin" ordonna Maurice, une fois qu'il eut repris ses idée. Sans vergogne, il s'essuya tandis que fabien, penot et comme anesthésié, s'essuyait la main maculé de liquide.
Maurice se leva et annonça qu'il allait se coucher. " Bonne nuit Fabi, à demain, j'suis crevé". Peut-être avait-il un peu honter d'ainsi forcer la main ( sans mauvais jeu de mots !) à son ami, mais il n'en fit rien paraître, de peur de n'avoir à faire marche arrière en négociant avec son hôte.
Fabien, revenant petit à petit à la surface, prit conscience de son geste et que les choses étaient faites. Il venait de vivre sa première expérience homosexuelle, fut-elle limitée, c'était ainsi.
Il fit un brin de toilette puis s'endormit sans penser au lendemain.
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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 8)
Le 12/07/2013
Un nouveau matin se levait sur le petit appartement. La routine des précédentes semaines reprenait ses droits. Maurice, à table, savourant son petit déjeuner, Fabien, faisant des aller retours entre le salon et la cuisine. " Il est super bon ce pain, dis-donc, tu le prends où ? " s'émut, guilleret le 'maître des clés'. 'Fabi', lui répondit qu'il avait trouvé un meilleur boulanger que celui chez qui Maurice se servait et l'autre de répliquer : " T'as la main pour faire les courses, toi, dis-donc ! ". L'allusion peu élégante à la scène de la veille ne sembla pas, même s'il la remarqua, Fabien, affairé à faire griller deux nouvelles tranches.
Tout d'un coup, Maurice proposa une sortie au restaurant le samedi à venir. " Mais Maurice, tu sais que j'ai pas beaucoup de fric en ce moment, alors, un resto.." fit remarquer le jeune homme. " T'inquiètes, Fabi, je t'invite, ça me fait plaisir. et puis, tu fais assez de choses pour moi ici, alors, je te dois bien ça". Certes, Fabien s'échinait à rendre le foyer propre et la table bonne, mais était-ce bien cela que Maurice entendait pas " tu fais assez de choses pour moi ici..." ?
Quoiqu'il en fut, les deux hommes furent d'accord pour aller dîner dans un restaurant assez huppé, en ville.
Sur ce, Maurice, bondit fait sa toilette et fila, sans vraiment faire attention à son ami, encore en pyjama...
Ce pauvre Fabien, encagé et en cage dans une relation qui le dépassait, n'était plus en mesure de reprendre son destin en main. Chaque qui passait le voyait predre le peu de confiance et de considération qu'il - et Maurice - pouvait avoir de lui-même.
Il ne faisait plus attention à cette cage de chasteté qui tenait prisonnier un sexe de plus en plus recroquevillé ni même au 'service' que lui avait demandé son aîné, la veille au soir. Il n'était qu'un domestique, serviable et corvéable pour tous types de corvées.
Lorsque le soir vint, Maurice entra, comme à son habitude, et sans tarder, offrir un paquet à fabien. Ce dernier n'en revenait du présent...plutôt d'un présent. Pourquoi ? Etait-ce pour se faire pardonner de sa goujaterie qu'il lui offrait cette boîte de chocolats ? Qu'importe, il y avait quelques temps déjà que Fabien ne posait plus de questions, ne contestait plus les demandes ni ne se rebellait. maurice l'avait bien senti et se servait de cet abandon d'intégrité pour affirmer sa domination. Fabien fit ce qu'on fait quand on reçoit un cadeau, il dit merci, naturellement, alors qu'il s'agissait d'une nouvelle humiliation, sucrée, celle-là.
Après le repas , un peu arrosé, Maurice annonça qu'il allait s'étendre un moment, avant le film et demanda à fabien de l'appeler, le moment venu, qui vint. Fabien appela, une fois, deux fois, puis se déplaça pour frapper à la porte de la chambre. Maurice, somnolant, répondit à l'homme d'entrer. Quand il s'exécuta, Maurice lui dit qu'il allait plutôt rester dans sa chambre à bouquiner mais qu'il goûterait bien un chocolat, " Oui, biensûr, je t'apporte la boîte" fit l'autre. Quand les friandises furent posées sur le lit, Maurice invita fabien à en prndre un aussi et à s'asseoir. " ça va ? Pas trop fatigué de ta journée ? J'ai vu que tu avais repassé mon linge, t'es sympa, vraiment. C'est très gentil de ta part, j'apprécie, tu sais...." Fabien regardait son mentor, impassible, les yeux un peu baissés et rougissant un brin. Ils étaient presque l'un collés à l'autre. " j'aimerais bien que tu me refasses ce que tu m'as fais hier, c'était très sympa, ça aussi..;" Voilà, Maurice demandais désormais expressément à fabien de le masturber de nouveau. " Ecoutes, je sais pas...." fit Fabien en rechignant..... " Allez, fais pas ta chochotte, on est entre potes, personne le saura et moi, ça me détend, tu sais, alors, c'est dans notre intérêt à tous les deux. T'as pas envie de me voir stressé à la maison, non ?" " Ben non.." " Alors, tu sais ce tu dois faire....tiens, regardes, voilà tout est là...". Maurice venait de sortir sa verge en prononçant ces mots. Fabien, assis, à moitié plié, de travers qui plus est, ne pouvait pas bien bouger, d'autant qu'il sentit à ce moment, la main puissante du sénior sur son épaule...Alors, il fit bouger son bras jusqu'au sexe de Maurice et attrapa le paquet, " Vas-y doucement, fabi, hein, tout doux, on a tout notre temps". L'organe se raidissait progressivement sous les caresses manuelles de Fabien et les râles du bénéficiaire.
" mummm, c'est bon de se détendre, oui, c'est très bien comme ça,....caresses-moi un peu plus bas, oui, les couilles, tout doucement...;voilà". la main de fabi se faisait plus alerte et experte. Il lui suffisait d'imaginer qu'il se caraissait lui-même; sauf que là, il ne pouvait que l'imaginer, sans avoir d'érection. Même après plusieurs semaines d'abstinence, Fabien n'avait aucun plaisir à masser le sexe de Maurice. Sa verge encagée restait inerte à la scène érotique. Il le faisait pour 'faire plaisir', mais en fait, il obeissait, un point c'est tout.
Au bout d'un quart-d'heure, des crampes commençaient à venir dans la main de Fabien mais ce n'était pas le moment de faiblir car Maurice, jouit dans les secondes qui suivirent, éclaboussant, une fois de plus , le poignet de Fabien. " Whoua, c'était super bon !! Merci mon grand...t'es vraiment un copain. je retrouve ma queue ! putain, qu'est-ce que c'est bon !!...allez, un p'tit choco, une douchette et je vais me pieuter....fais pas de bruit si regardes la télé, ok ? allez, bisous". Cette soudaine familiarité contrastait avec le ton autoritaire des semaines passées.Effectivement, Maurice était moins stressé quand il jouissait. Maurice avait donc joui, Maurice était le patron chez lui, Maurice était servi.....;que pouvait-il demander de mieux ?
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CRISE DE MOEURS ( Fiction - nouveauté 2013 ! Chap 9)
Le 16/07/2013
Une fois de plus, la routine allait marquer le pas de ce qui était désormais, une sorte de couple. Un routine non conformiste, évidemment. Que deux hommes vivent ensemble n 'était pas, plus un problème. Qu'ils s'aiment et partagent le même lit, la même vie, était même entré dans les moeurs. Ce qui était plus 'original', était la pédominance croissance de l'un sur l'autre, un pouvoir qui paraissait vouloir s'étendre, s'affirmer et se draper dans une nouvelle normalité.
Désormais, les séances de caresses de Maurice par Fabien étaient journalières, ou presque. Ce dernier comprenait les signes de son aîné et s'exécutait sans barguigner devant les attentes du mâle. Mais comme dans ce domaine ( et dans bien d'autres, on en veut toujours plus) et que des verrous psychologiques et moraux avaient allègrement sautés au fur des 'séances de détentes', les caresses durent être faites avec plus d'entrain, de conviction, de douceur. " Regarde-moi, quand tu me caresses, fabi, j'aime voir ton visage avec ma queue dans ta main, t'es mignon tout quand tu t'appliques, et ça m'excite !" fit Maurice un soir, ou encore " mets-toi à poil et montres-moi ton petit cul, allez, Fabi, caresses ton corps, tes seins et ouvre bien la bouche, hummm..;coquinou, " furent autant d'incitations à ce que Fabien devienne de plus en plus acteur des scènes érotiques auxquelles Maurice l'invitait et l'entrainait.
Le printemps était déjà bien installé et par un soir où la chaleur éreintait les corps et attisait le désir, Maurice demanda à son amant, déjà nu, presque à quatres pattes sur le lit, le derrière bien cambré, d'avancer la tête plus encore vers le sexe érigé qu'il branlait depuis quelques minutes. La main de Maurice, elle, se promenait sur l'échine de Fabien et donnait des petites fessées de temps en temps pour stimuler l'ardeur du passif. " Hummm, c'est bien, mon biquet, tu me branles bien, ce soir.t'es en forme, elle te plait ma queue, hein, finalement ? " " heu...oui" fit timidement Fabien, assez peu convaincu mais tellement soumis. " C'est tout l'effet que ça te fait ??" gronda légèrement Maurice, afin de rappeler qui était l'homme ici " Si maurice, elle me plait, j'aime la carsser" " Ah, je préfère ça, alors, approche-toi bien d'elle et donne-lui un peiti coup de langue, tu vas voir, elle va apprécier...c'est très bon, ça va te plait Fabi, c'est comme une glace, très doux, allez, chéri, vas-y, fais-moi plaisir, ne me déçois pas" Fit le vieux en poussant la tête de Fabi en avant. L'espace entre la main de Maurice, placée sur la nuque et le gland de l'homme, était maintenant de deux ou trois centimètres. il était évident qu'il n'avait plus le choix, lui qui masturbait l'homme mûr dominant depuis plusieurs semaines. La main se fit plus pressante et les lèvres de l'un rencontrèrent le prépus de l'autre. ' humm, allez sors ta langue, tu vas voir, c'est tout doux" fit Maurice doucement mais sans enlever la main pour que empêcher la tête de Fabien de se relever". " Hey, vas-y, bon dieu, et arrêtes pas de me branler, putain" " Cette soudaine demande troubla fabien qui se rendit compte qu'il lui était demandé ( fermement !) deux opérations simultanées. Son attention se relâcha et ni une, ni deux, le gland de Maurice se retrouva entre ses lèvres. " c'est bien, ça, fais tourner ta langue autour". Entrainée par les événements, Fabien obeit et la langue tourna autour du gland. Maurice le laissa prendre contact de cette manière avec son organe puis lui intima l'ordre d'ouvrir la bouche et d'y mettre toute la verge, plus dure que jamais. Ce qui arriva. Maurice poussa un râle de bonheur extatique. " Tu es parfait,Ffabi, continue à faire, ne t'arrêtes pas avant que je te le dise". Fabien faisait sa première fellation, mais était-ce si surprenant ? Il faisait simplement un pas de plus vers une relation homosexuelle régulière. Dans son for intérieur, il savait ce qui viendrait après. Mais, comme sa condition d'homme au foyer, encagé et passif sexuellement, l'y menait, il finissait par trouver cela...normal.
Maurice, lui aussi, était devenu, finalement homo. il ne s'en rendait pas vraiment compte car les caresses de son amant en étaient encore au stade de 'services sexuels', gratuits mais sans véritables échanges avec l'autre.
L'épreuve se termina avec la jouissance exclusive de Maurice , un peu dedans, un peu autour de la bouche de Fabien, dont quelques gouttes de sperme finirent au fond de sa gorge et qu'il dut avaler. Le goût âpre du liquide allait s'avérer un incontournable des soirées érotiques des deux hommes.
Dans la foulée de ces soirées, Maurice allait être attentif à l'esthétique de son amant. Des coffrets de crème, de produits de gommage, de parfums, viendraient bientôt envahir l'espace réservé au jeune homme homosexuel. Maurice aimait sentir la peau douce de Fabi. Il aimait le regarder se préparer aussi. Régulièrement, la cage était enlever pour l'hygiène, en présence du détenteur des clés mais Marice ne parlait plus à Fabien de se caresser pour qu'il jouisse aussi, de temps en temps. Se montrant toujours impatient de voir l'amant procéder au plus à sa toilette intime, les opérations ne dépassaient guère souvent les cinq minutes...qu'aurait-il été possible de faire en si peu de temps, devant une personne se moquant plus ou moins ouvertement de ce sexe recroquevillé ?
Pris dans un enchaînement de tâches, de demandes, Fabien ne pensait même plus à sa vie, passée, sa vie d'homme intégré professionnellement et socialement, séduisant, viril et plein d'avenir. L'avenir, il n'y pensait pas plus maintenant qu'il fallait laisser les mains d'un autre homme remettre sa petite verge molle dans sa cage. Pourtant, il prenait conscience qu'il avait désormais une utilité : servir Maurice et le satisfaire, nuit et jour.
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