cerisetravestie
L'Aventure est au bout du chemin ( épisode 18, fiction)
Le 08/10/2010
La soirée se termina dans la bonne humeur, Juliane resta encore une demi-heure après le départ des invités pour ranger et finir la vaisselle, puis alla se coucher. Le lendemain, exceptionnellement, elle ne fut pas astreinte au service en chambre. Néanmoins, vers 8h, elle dut se présenter à la salle de bain pour une toilette complète.
-"Je n'ai pas eu le temps de t'enlever ton plug hier soir mais, visiblement, Marc n'a pas vérifié l'élargissement de ton vagin....bon, il t'a expliqué ce qu'il attendait de toi, je crois ? Mardi, on va chez le généraliste, ok ?"
-"Oui Madame"
-"Demain, tu feras une prise de sang , pour le début du traitement, c'est nécessaire"
- "Très bien Madame"
La cage de chasteté fut enlevée, la verge rentrée et molle de Juliane/ Jacqueline n'avait plus grand chose du membre viril que les hommes se plaisent à montrer. Elle ne savait non plus très bien qui elle était. Cela faisait longtemps que personne ne l'avait appelé Julien. C'est pourquoi, la personnalité de Juliane, qui correspondait à son apparence actuelle était celle à laquelle elle se ratachait pour ne pas perdre pieds. Elle se rendait compte qu'au point où elle en était, il n'était plus posssible de faire marche arrière. Elle avait renoncé aux contrats qu'on proposait à l'homme qu'elle avait été et ne voyait rien d'autre qu'aller de l'avant même ses perspectives professionnelles se limitaient à court terme, à faire la bonne. Elle ne croyait à cette histoire de club dans lequel ses Maîtres prétendaient la placer.
En attendant, elle s'apprêtait à être lavée et inspectée, une fois de plus, comme chaque jour mais aujourd'hui, ce fut un buttplug au diamètre plus gros qui fut introduit dans son séant déjà bien dilaté. L'abondance de Vaseline aidant, l'objet entra plutôt facilement mais arracha quelques grimaces à la femelle.
-"Tu vas le garder la journée, ce soir, tu le sentiras moins, bon allez, enfiles un jean et vas nous chercher des croissants".
Il était délicat pour Juliane de sortir avec un jean très moulant, un pull fushia tout aussi moulant avec les plus petites prothèses, certes mais néanmoins visibles sous un petit blouson type spencer. Les bottines, aux talons carrés de cinq centimètres et surtout les ongles longs étaient beaucoup plus équivoques. Juliane sortit avec l'ordre répété par sa maîtresse de ne pas traîner...
-"Tu as du travail à la maison !...." lui avait-elle rappelé.
Par chance, à 8h30, le dimanche, il n'y avait personne à la boulangerie. La vendeuse, quelque peu indécise sur l'identité sexuelle de Juliane ne se hasarda pas à donner du 'Monsieur' ou 'Madame'. Elle utilisa une voix de fausset qui ne donnait guère plus de précisions mais, en donna un billet à la vendeuse, cette dernière vit bien que la cliente avait des ongles particulièrement longs et manucurés. C'est pourquoi, c'est un "merci Madame" qui lui fut retourné au moment de faire demi tour. Juliane passa prendre le journal qui lui avait été ajouté dans sa liste de courses. La même chose arriva, comme de bien entendu ! A son retour, les Maîtres étaient dans la cuisine et Madame s'écria :
-"Eh bien, c'est pas trop tôt, on a failli attendre !!"
-" Excusez-moi Madame, j'ai fait de mon mieux"
- "C'est bien ça le problème, ma pauvre Jacqueline, tu fais de ton mieux mais avec tes futurs patrons, il faudra faire mieux car ils paieront pour un service impeccable, comprends-tu, petite gourde ?"
- "Oui Madame" Monsieur Jérôme renchérit " et après, ce sera encore plus dur quand tu bosseras en club !!"
- " Je vais de mon mieux pour progresser Monsieur"
-" T'as intérêt femelle parce que les filles qui bossent pas bien au chaud, en club, elles finissent à se geler les miches dans un fourgon ou sur un chantier !"
-" Bon,ça suffit, vas faire la chambre, après tu laveras le sol et tu feras la vaisselle du petit déjeuner quand on aura terminé. On partira au marché pendant que tu auras finis. Si t'as bien travaillé, on te sortira , on ira faire une balade au bois cet après midi, allez, file !"
Jacqueline disparut et attaqua ses tâches ménagères quotidiennes. Près de trois heures plus tard, Jérôme et Nathalie rentrèrent du marché et demandèrent à la bonne d'éplucher quelques légumes et de les faire cuire dans l'auto cuiseur pendant qu'il allaient se servir un apérétif.
Après le déjeuner, tout le monde se mit en route pour une balade. Jacqueline, sous l'impulsion de Nathalie, dût changer de tenue et adopter une tenue bcbg de journée (chemisier, jupe mi-longue, bas chair, escarpins à brides, manteau mi-court. Maquillée légèrement, un petit sac à la main, quelques bijoux un peu viellots ( clips et collier en fausses perles), Jacqueline marcha derrière ses Maîtres durant toute la balade. Son apparence pouvait susciter l'étonnement si l'on y prétait attention mais elle était vêtue d'une manière trop discrète et sans âge pour attirer l'oeil des hommes ou mêmes des femmes. Elle dut même marcher devant ses Maîtres, assis sur un banc qui s'amusaient de la voir ainsi déambuler. Le trio s'offrit un thé dans un bar. Le garçon demanda sans hésitation :
-"...Et ces dames ?".
-"N'hésites pas à regarder les gens en face , Jacqueline. Tu es une femme, il n'y plus de doute, regardes-toi un peu ! Apprends à sourire. Bientôt, tu sortiras avec nous comme femelle. Tu seras autorisée à t'exprimer comme une femme libre de ses mouvements, ...j'ai pas dit de ton destin ! compris ?"
Ces paroles de Jérôme, peu bavard d'habitude, étaient entrées dans la tête de Jacqueline. Le stage allait bientôt prendre fin mais il restait encore quelques épreuves........
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L'Aventure est au bout du chemin ( épisode 19, fiction)
Le 11/10/2010
Les fesses et la taille de Jacqueline s'élargirent au fil des semaines |
Le mardi suivant, Nathalie et Juliane se rendirent, comme convenu chez le Docteur Michelet, généraliste, ami du couple, amateur de belles femmes, y compris celles du 3ème genre. Nathalie avait déjà parlé du cas de Juliane au médecin. Cette dernière accompagna sa maîtresse en tenue de ville. Michelet avait déjà eu quelques travesties dans son genre désirant entamer une féminisation hormonale. La veille, Jacqueline avait fait faire une prise de sang .
-" Bon", entama le médecin après avoir examiné les résultats,
'" Mademoiselle,vous devez savoir qu'engager un traitement hormonal n'est pas une chose à prendre à la légère, vous en êtes consciente ?"
-"Oui, Docteur" se contenta de répondre Juliane qui avait , depuis quelques temps, prit l'habitude de répondre de manière laconique. Elle savait que sa Maîtresse contrôlait ses réponses et qu'un faux pas lui coûterait cher car Marc n'accèpterait jamais qu'elle fasse marche arrière. Et qu'irait faire une travestie, seule, sans personne pour la protèger, sans ressources ? Elle pensait qu'obeir à ses Maîtres était la meilleure choses à faire pour reprendre sa place auprès de son homme.
-" Vous avez envie de devenir une femme, je crois...Vous n'êtes pas seule dans ce cas mais vous devez savoir que lorsque le traitement passera dans sa phase active, les conséquences sur votre capacité à avoir des enfants risquent d'être définitives. De plus, vous risquez de devenir impuissant durablement , voire définitivement. Je sais que ce n'est pas une préoccupation pour vous mais vous devez le savoir.
-"Oui, Docteur, je suis au courant. Ma vie d'aujourd'hui , c'est une vie de femme. Je suis en couple avec un homme et je dois être vraiment femme .
-" Jacqueline avait scellé son destin. Le médecin rédigea une ordonnance qui lui prescrivait un traitement en deux parties. Un pour préparer la prise d'hormones, l'autre, l'hormonothérapie en elle-même, un cocktail de différents cachets, crèmes et injections. Certains de ces cachets allaient avoir pour conséquence de dessècher les testicules, les rendant inopérants définitivement. Aussitôt sorties, les deux femmes se dirigèrent vers la pharmacie afin de récupérer les premiers médicaments. Nathalie prit ensuite rendez-vous avec une infirmière pour les injections d'hormones dans la poitrine. A termes, Juliane subirait une mammoplastie mais la féminisation hormonale allait être le socle de sa tranformation.
-" Tes horaires de travail seront aménagés car tu seras parfois incommodée. A ce propos, afin de te câler sur un rythme de femme, tu auras une période de règles. Tu iras acheter des tampons. Tant que tu n'auras pas des rapports réguliers, tu dois toujours avoir ta chatte ouverte.
-"Oui, Madame".
-" Bon, tu es contente, tu vas devenir une femelle bientôt. Tu auras une belle grosse poitrine, les hommes adorent ça, tu sais."
Juliane n'eut guère le temps de réfléchir à son destin tant le travail domestique était lourd. Entre le ménage, les courses qu'elle faisait de plus en plus souvent, le repassage, le service à table. Le soir, elle devait remplir des tâches plus intimes : fellation pour Monsieur devant la télévision, massage des pieds, tirage des cheveux pour Madame. Le rythme était prit à présent. Les automatismes ménagers également.
Juliane prenait désormais son traitement chaque jour, docilement. Rien de spécial ne se passait mais elle savait que la deuxième partie du traitement commencerait vraiment à la transformer. ....ce qui arriva au bout d'un mois lorsque Madame revint de la pharmacie avec une crème aux oestrogènes, les cachets à prendre et les doses injectables que l'infirmière lui fit tous les jours durant huit semaines. Ce furent l'absorbtion des cachets qui signifirent son entrée dans une autre dimension. Aussitôt avalés, Juliane savait qu'au fil des heures, elle perdait définitevement une fonction masculine essentielle. Et ce furent des jours qui s'écoulèrent désormais.
Marc téléphonait régulièrement pour prendre des nouvelles mais ne voulait revoir sa compagne qu'une fois le traitement terminé. Il fallut revoir le médecin une seconde fois pour faire le point.
Tout se passait si bien que le Docteur Michelet prescrit un traitement plus fort. Il était désormais visible que les testicules de Juliane devenaient 'sèches' et cesseraient bientôt de fonctionner définitivement. Juliane, au bout de plusieurs semaines de traitement hormonal, commença à changer. Moins de barbe, plus d'érection matinale ( le test de la faire dormir sans cage de chasteté fut concluant et les tentatives de masturbation que le couple lui imposa furent toutes couronnées d'échec), une voix plus claire, une poitrine légèrement gonflée et sensible, des manières féminines plus marquées....tels furent les premiers symptômes de la transformation.
La troisième phase fut beaucoup plus radicale car Juliane s'aperçut qu'elle ne rentrait plus dans ses pantalons. Sa taille et surtout ses fesses s'étaient sensiblement élargies. Sa patronne s'en étonna :
-"...Tu commences à avoir un bon cul, dis-donc, il va falloir refaire ta garde robe, fini, le look de petite bourgeoise ! Dans trois semaines, tu commenceras à bosser chez tes patrons et à gagner ta vie, il est temps car tu nous dois pas mal d'argent et pour les opérations, c'est toi qui vas les financer. On veut bien t'aider mais quand même, un peu de gratitude serait bienvenu de ta part !".
Les jours, les semaines passèrent , toutes de la même manière: Travail, traitement, travail, traitement. Juliane ,Jacqueline, Juliane, Jacqueline.....tout cela ne voulait plus rien dire car était indéniablement une femme aux yeux des gens et une domestique aux yeux de ses patrons. Son homme ? Elle avait quelques nouvelles indirectes de temps en temps. En revanche, elle n'était maintenant plus en cage de chasteté car son sexe masculin, rétracté au maximum restait mort à toute stimulation. Quant à ses testicules, elles avaient rétréci des deux tiers. Sa poitrine commençait à poindre de manière visible.
Le printemps allait bientôt venir et Jérôme lui demanda de se vêtir désormais plus légèrement : jupe courte, mules, ongles des mains et des pieds vernis, débardeur ou top à décoleté moulant. Il avait également exigé qu'elle se fasse percer les oreilles; il aimait voir des boucles longues et lourdes se balancer lorsqu'il la prenait. Car, les saillies devenaient petit à petit quasi quotidiennes. Ce qui, au passage, ne manquait pas d'irriter Nathalie.
Il restait une dizaine de jours de traitement et Jérôme voulait donner de bonnes habitudes à la bonne. Il ne fait aucun doute qu'elle serait sollicitée chez Roger, son prochain patron, même s'il devrait, lui, en revanche, payer pour obtenir des services sexuels de la part de son employée. Ce qui peut paraître incroyable est que Julien/Juliane le travesti, devînt ainsi une transexuelle sans beaucoup réagir. A n'en point douter, la période de vie commune avec Marc et le dressage psychologique de Nathalie et Jérôme et surtout, le traitement hormonal intense avaient porté leurs fruits. Cet homme devenait de manière irréversible, la trans Juliane.... une femme docile, soumise, travailleuse. Elle allait devoir accepter la nouvelle vie, que son entourage domaniant avait échafaudé pour elle.
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L'Aventure est au bout du chemin ( épisode 20 fiction)
Le 18/10/2010
la nouvelle poitrine de Jacqueline |
La fin du stage et de sa suite thérapeutique prenait fin......
Il s'était passé finalement 3 mois depuis l'entrée Juliane, devenue entre temps Jacqueline, au service de Jérôme et Nathalie....une éternité au regards des évolutions physiques, psychologiques et sociales. Jacqueline attendait désormais que Marc vienne la chercher. C'était désormais une transexuelle qui était assise sur une chaise de la cuisine. Ses cheveux avaient poussé, des extensions paliant son manque de cheveux naturels avaient été posées par une coiffeuse perruquière. Jacqueline arborait un joli carré qui s'harmonisait parfaitement à son visage.
Elle avait, en outre appris à se maquiller, entretenait ses ongles et portait très bien son tailleur en laine légère qui lui donnait un air classique mais sexy. Epilée intégralement, elle présentait beau. En particulier, ses jambes fines, gainées dans des bas de couleur chair. Le tout finissant par une paire d'escarpins marron foncé, qu'elle portait régulièrement. Tous ses vêtements masculins avaient été donnés et ses biens vendus pour financer la partie du traitement que Marc n'avait pas pris en charge et une large garde robe qui lui permettrait, à l'avenir, de répondre à toutes les situations. Elle ne se posait désormais plus de questions sur son genre même si quelques 'détails' de son anatomie restaient encore à régler.
Le traitement préparatoire et l'hormothérapie avaient très bien pris chez elle. Sa silhouette avait pris des formes sensiblement féminines. Sa voix avait légèrement mué, sa peau, s'était adoucie, ses poils, devenus moins nombreux et sa poitrine, qui pointait déjà sous son t-shirt, s'était renforcée. Enfin, ses manières, même, sous l'action de son nouveau statut social s'étaient faites féminines. En apparance, l'homme qui avait jadis poussé la porte du domicile de Marc, ne semblait n'avoir jamais existé.
Lorsque la sonnette retentit, Jacqueline s'était levée machinalement pour ouvrir mais Nathalie intervint : -"Bouge pas Jacqueline, reste debout , c'est Marc, je veux qu'il te vois dans ton élément".
Jacqueline ne répondit pas, entendant les amis se dire bonjour. Jérôme arriva dans les parages, serra la main à Marc et le conduisit jusqu'à leur soumise qu'ils allaient livrer à leur propriétaire. Quand Marc pénétra dans la cuisine, son visage traduisit une surprise heureuse:
-"Mazette, mais, vous avez fait un miracle !!"
-"Alors, voilà donc Jacqueline ! - "Bonjour Marc" se permit la transexuelle émue
-"Heu, je préfère que tu m'appelèles Monsieur, je t'expliquerai plus tard".
Franchement étonnée, Jacqueline espérait un peu de tendresse de la part de son ancien amant qu'elle avait si patiemment attendu, se masqua subitement.
-"Bien Monsieur".
-"Alors, tu vois Marc", reprit Jérôme "le traitement à très bien pris, le médecin a été surpris d'ailleurs par sa capacité à bien recevoir les hormones, t'as vu ces nénés ? Jacqueline, montre tes nichons à ton Dom".
Jacqueline, plus soumise que jamais, souleva son t-shirt pour dévoiler sa poitrine dans un soutien gorge de couleur chair. Jérôme tira sur un bonnet et fit sortir un sein de son logement.
-"C'est pas mal quand même, non ? et je te prie de croire qu'ils réagisse bien" s'exclaffa-t-il dans un ricanement rauque.
Tâtant la mammelle, il répondit
-"C'est bien pour un début mais elle échappera pas à la mammoplastie, en club, les clients aiment les filles généreuses, mais bon, pour le quotidien, c'est ira.
Bon, ben, les amis, je vous remercie, vous avez fait un super boulot. Jacqueline, dis au revoir à tes Maîtres et remercie-les pour t'avoir donné une bonne éducation. Tout ce que tu es, tu leur dois, tu en es consciente au moins ?"
-" Merci Monsieur, merci Madame, je ne sais comment vous remercier pour vos bons soins"
- "Montre-toi à la hauteur des espérances de ton Dom, deviens ce qu'il te demande et nous serons quites".
Marc termina
-" Allez, Jacqueline, prends tes valises et on y va, il y a encore beaucoup de choses à faire".
Une fois dans la voiture, Marc s'expliqua enfin :
-" Voilà, je dois te dire que j'ai rencontré quelqu'un pendant ton absence. C'est une femme, très belle, très classe, de mon milieu. Je suis amoureux. Elle vit chez moi alors, je ne peux plus t'héberger comme je te l'avais proposé. Néanmoins, je continuerai à m'occuper de toi. Tu iras travailler chez Roger. Le soir, tu dormiras dans une chambre de bonne que je t'ai trouvée dans son quartier. La copine de Nathalie ne veut pas de trans non opérée, donc en attendant, tu travailleras chez Roger trois jours par semaine et chez nous deux jours. Tu connais la maison. J'arrondirai ton salaire quand je viendrai chercher un petit câlin chez toi. Comme tu auras plus de frais que prévu, je t'enverrai quelques copains , ça te fera déjà une formation pour le job dans le bar à hôtesse de mon pote et puis pour mettre de côté pour les opérations. ok ? Tu vois je m'occupe de ton avenir !".
-"Merci Marc'
-" De rien Jacqueline, mais prends bien l'habitude de m'appeler Monsieur, surtout devant ma femme, elle sait que tu travaillais chez moi avant et que t'es un trans. Elle devine qu'il y a eut quelque chose entre nous mais n'en est pas sûre, alors fais en sorte que cela continue car sinon, je ne pourrais plus rien pour toi et il faudrait te débrouiller seule. Elle a étét choquée un peu que je fréquente une personne comme toi mais elle accèpte que tu fasses le ménage chez nous alors, reste à ta place.
-" Bien .......Monsieur"
-" Bien, voilà".
C'est ainsi que le nouvel emploi du temps de Jacqueline se mit en place. Grâce à ses travaux ménagers, les clients qui défilaient régulièrement deux ou trois fois par semaine, elle parvenait à mettre de côté des économies. Les mois passèrent ainsi et tout ce petit monde s'installait dans des habitudes. Jacqueline vivait en femme , comme une femme, travaillait beaucoup, couchait avec des hommes qui la payaient puis, au fil du temps, avec d'autres qui lui plaisaient.
Deux années passèrent ainsi jusqu'au jour où, après de nouveaux rendez-vous auprès d'un chirurgien plastique, recommandé par une amie, elle aussi transexuelle, Jacqueline subit une intervention sur le visage ( réduction d'un léger double menton, des paupières remontées donnant au regard un plus grande place, la lèvre supérieure remontée et 'gonflée' et surtout une rhinoplastie donnant définitivement au visage de Jacqueline une finesse qu'il n'avait jamais eue. A partir de là, elle se sentit plus femme, plus libre, mieux dans sa tête. Elle commençait à s'aimer en se mirant dans la glace.
Ses clients et Marc, qui, continuait à lui rendre visite, se félicitèrent de cette transformation et de nouveaux rendez-vous s'ajoutèrent à son agenda. Au lit, elle était devenue plus sûre d'elle, plus entreprenante et plus experte aussi ! Elle avait cessé de faire le ménage après près de trois ans de service, ses 'rendez-vous' étant désormais suffisants pour subvenir à ses besoins. Tout serait donc allé bien si Marc ne s'était subitement désengagé de la caution dont il s'était porté garant. Devenu injoignable, Marc n'assura plus le loyer de sa chambre et la propiétaire qui connaissait les activités de Jacqueline, entretemps, redevenue Juliane, se montra intraitable lorsqu'elle lui signifia que si elle ne partait dans les trois mois, elle appèlerait la police pour la dénoncer comme prostituée.
Juliane avait donc trois mois pour changer de logement et augmenter ses revenus. Une amie transexuelle, elle aussi travailleuse du sexe, lui proposa de partager un appartement dans lequel elles pourraient recevoir discrètement plus de clients. Cette amie, Cynthia, avait quelques années de moins que Juliane et avait fait des choix radicaux plus jeune. Elle avait une solide clientèle régulière qui permettait de faire ce qu'elle aimait le plus avec les sexe : la fête !
Juliane, dressée à obeir, était moins indépendante. Son amie lui conseilla de se trouver un 'bon petit mari', riche et attentionné. Mais le rêve n'avait pas cours dans la vie actuelle de Juliane. Il fallait travailler.
- " Ecoutes, chérie, je pense qu'avec des clients de 50 / 60 ans, tu ferais un malheur.....moi, je peux rediriger ces messieurs vers toi, comme ça, on couvre tout le marché ! hihi !"
- " Tu crois vraiment ?...Marc m'a bien laissée tomber.....alors...."
- " Restes pas bloquée sur ton ex, voyons ! Tu dois changer des choses...;tiens, tu sais quoi ? Il te reste quelques économies ? Fais-toi gongler les seins ! Avec un bon 95, je peux t'assurer que les mecs vont défiler à l'appart !"
C'est six mois plus tard que l'intervention chirurgicale, bien que réversible, la plus visible que Juliane eût à subir, fut une mammoplastie spectaculaire car son tour de poitrine passa de 90 A/B à 105 bonnet E !! Cynthia, qui regrettait elle-même de ne pas avoir de seins plus gros, lui avait conseillé d'opter pour un modèle XXL. Juliane fit dans un premier temps le bonheur de ses clients réguliers et acceuillit en effet une nouvelle clientèle, plus âgée et friande de massages et d'éjaculation faciale. Seulement, elle ne pouvait plus avoir de vie diurne normale avec de tels appendices. Aussitôt sortie, Juliane n'avait pas besoin de se vêtir outrageusement pour se faire siffler ou aborder par les hommes. Aux beaux jours, les choses empiraient car il ne lui était plus possible de mettre des pulls couvrants et larges. Elle se mis progressivement à sortir tard, au restaurant, en boîte avec des clients réguliers qui aimaient s'afficher avec une femme à la poitrine ultra généreuse ou avec des copines, toutes, plus ou moins travailleuse du sexe.
C'est ainsi qu'un soir d'août, elle fit la connaissance de Serge, le patron d'un bar à hôtesses. L'homme était un séducteur et Juliane succomba facilement à ses charmes. Connaissant ses activités, il l'invita à animer des soirées spéciales dans son établissement en exhibant ses seins démeusurés. Les clients palpaient à l'envie des mammelles de Juliane et pouvaient profiter de son savoir faire en 'montant' avec elle. Serge s'amusait de ce petit jeu et savourait l'augmentation du chiffre d'affaire. Ce libertin avait, à la veille de ses soixante dix ans, connu bien des émois et la perspective d'une relation libre avec une femme bien plus jeune et ultra sexuée comme Juliane le ravissait. Il savait aussi qu'il ne pourrait pas se marier avec Juliane tant qu'elle ne serait pas pleinement et officiellement une femme mais aussi, tant qu'elle travaillerait avec son corps. Elle est désormais fichée par la Brigade des moeurs comme prostituée, ce qui rendait une vie commune impossible. Malgré ça, Serge, demanda à sa belle de passer le cap.
Julien avait définitivement disparu. Il ne restait que l'intervention ultime, l'ablation de ses parties génitales et la complète reconstruction d'un sexe féminin. Juliane n'était pas contre car cela faisait bien longtemps que son pénis ne lui servait plus qu'à uriner. Ses testicules avaient quasiment disparu et de nombreux clients lui réclamaient une opération. Bien qu'elle travailla très régulièrement au club, il fallu encore trois ans pour qu'elle passe à l'acte, puis change définitevement d'identité. Jacqueline Leclerc à 44 ans, est aujourd'hui une femme, travailleuse du sexe, en union libre avec Serge. Marc vient de temps à autres au bar admirer sa créature afin de se consoler d'une vie conjuguale bien trop conformiste.
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shopping de travestie
Le 05/06/2010
Lorsque l'on décide de s'habiller en femme, même occasionnellement, et qu'on entend le faire avec exigence pour une sensation de réalisme plus forte, on est très vite confrontée à l'épineuse question des achats.....
Chaussures, robes, cosmétiques.....tout cela recquiert du temps, des moyens en temps et en argent. Mais ce n'est pas tout ! Il n'est pas si simple d'entrer en homme dans un magasin pour femmes et demander à essayer le petit tailleur qui nous a tapé dans l'oeil dans la vitrine ou les escarpins dont on espère qu'il nous donnerons une belle démarche. C'est pourquoi, on se met en chasse de combines, d'endroits dédiés aux travesties.
Pour ma part, j'ai eu la chance de pouvoir procéder à mon premier essayage dans une boutique sexy où les travesties sont les bienvenues. Profitant d'une matinée d'été où les passants ne se bousculent pas, je me décidai, après moulte hésitations, à entrer. Il n'y avait personne hormis le vendeur (?), oui, un homme, le patron probablement, qui du haut de ses 55 ans environ, me fit un "bonjour" commercial. Je lui renvoyai la politesse et dirigeai, comme hypnotisée mes yeux vers les robes, la lingerie, chaussures et autres gadgets SM ou érotiques.
Les collections présentées sont évidemment à connotation érotiques destinées aux soirées chaudes. Pour autant, je remarquais quelques modèles portables dans des occasions plus 'quotidiennes' Après quelques minutes, le Monsieur me demanda gentillement si j'avais besoin d'un conseil, ce que je recherchais. J'étais dans un tel état que je dis, oui, je cherche une robe simple. De la manière la plus simple du monde, il me demanda si c'était pour moi !! Sans vraiment réfléchir, je dis "oui" ! Ainsi, les choses étaient claires !
C'est alors qu'il sortit des rayons des modèles et me les présenta. Lorsqu'un de ceux-ci me parut intéressant, il me proposa de l'essayer ! Quoi de plus naturel ? J'entrai donc dans la cabine pour passer, pour la première fois de ma vie, une robe dans un magasin, devant un homme !! Car le vendeur prenait, il faut le dire, son rôle très au sérieux ! Il m'aida même à en passer une ou deux, me montrant comment passer le vêtement . Mais il me conseilla aussi sur le rendu. J'en oubliai complètement l'incongruité de la situation. A un moment, je crus (ou espérai inconsciemment !) qu'il tente quelque geste, me voyant ainsi gainée dans une petite robe noire qui a fait, depuis, des ravages ! j'y ai pensé très fort lorsqu'il ajusta un modèle assez compliqué à mettre. C'était, à l'époque, les premières mains masculines qui se portaient sur moi (en dehors de cells de mes parents et des médecins !). j'étais quand même un peu bizarre de m'être mise dans une telle situation mais aussi, finalement assez fière d'avoir surmonté un obstacle, une peur. cela peut paraître ridicule de se fixer un tel objectif mais je suis sûre que beaucoup, et pas seulement des travesties, me comprennent.
La situation se corsa lorsque notre tranquilité fut perturbée par l'arrivée d'une cliente, une femme venant acheter une parure de lingerie. Le vendeur tira, en professionnel, le rideau de la cabine et me dit prendre le temps de me décider. Les minutes passèrent plus ou moins vite et la cliente repartit. Le rideau s'ouvrit de nouveau et annonçai que je prenais le modèle. Mais comme j'étais là et que j'avais besoin d'une tenue complète, je répondis par l'affirmative lorsqu'il me demanda si j'avais besoin d'autre chose.
- "Oui, il me faudrait une paire d'escapins" lui répondis-je d'un ton détendu.
Et voici que la scène reprit de plus belle. Mes pieds entrèrent dans de nombreuses paires d'escarpins, bottines, sandales mais ce furent finalement une paire de mules à la semelle légèrement compensée mais au talon de 11 cm qui emportèrent en définitive les suffrages. Mon premier shopping de travestie en devenir s'achevait sur une note un peu élevée mais c'est le lot de toutes les femmes qui n'ont pas d'homme pour leur faire de beaux cadeaux !!
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on dirait une histoire vecue j'aurai bien voulu etre cette homme
bonjour cerise ! et bien cette histoire ce vecu et tres erotic et tres exitent jai eu une erection en lisent ton histoire tres sexy ma belle bisous djam
quand on lis le texte on sent du vecu reel j'aurai aimer etre cette homme dans la voiture
j'espere que tu y mettra des foto de toi tres féminines avec bas et talons a tres bientot