cerisetravestie
L'Aventure est au bout de chemin (épisode 13, fiction)
Le 07/09/2010
Au petit matin, Juliane se leva machinalement pour aller préparer le petit déjeuner. Elle enfila une robe de chambre et ses mules sans y prêter plus attention bien qu'il fallait encore qu'elle passe par la salle de bain pour se recoiffer et glisser ses prothèses mammaires qu'elle enlevait pour dormir.
Marc arriva dans la cuisine en grande forme.
-"Salut, le café est prêt ? J'ai super fin ce matin. T'as bien dormi ?"
-"Oui, chéri"
-"Hm, t'es belle, toi comme ça avec ta p'tite robe de chambre, j'te ferais bien ton affaire sur la table...."
-" Grand fou, t'as toujours envie, toi"
-"Et ouais, j'suis un mec !! mais , vous les nanas, vous faites les mijaurées mais vous aimez ça aussi."
La matinée s'annonçait bien pour le couple quand Marc s'exclama :
-"Aujourd'hui, ma chérie, on va aller faire des courses au supermarché. Quand t'auras fini ton ménage et ta toilette, on verra ce que tu vas mettre."
Après la soirée au restaurant puis en boîte, qui s'était plutôt bien passée, Juliane ne fut plus prise de panique à l'idée de sortir travestie en femme, comme c'était le cas avant sa féminisation. C'était la preuve qu'elle intériorisait petit à petit sa nouvelle identité sexuelle. Lorsque le moment de l'essayage fut arrivé, Marc eut envie de faire des courses avec une femme sobre, un brin classe mais à l'aspect très classique, voire rétro, une femme de l'âge de Marc en somme.
-"En journée, c'est avec 'Bobonne' que je vais faire les courses !" s'exclaffa-t-il. C'est ainsi que Juliane enfila un ensemble chair (une culotte , un soutien gorge sans dentelle, un collant assez épais), une jupe beige clair, un chemisier rose et une paire d'escarpins aux talons plats de 6 cm. Un trois-quart pastel compléta la panoplie ainsi qu'un collier de perles et des clips aux oreilles. Peu de maquillage, juste ce qu'il faut pour la journée. Bref, une dame un brin bourgeoise qui sort faire des courses avec son mari. Juliane glissa le nécessaire de maquillage dans un sac en cuir marron et Marc conclut :
-"On est prêt, allez, on y va !".
Juliane, pour la première fois allait sortir en femme de jour. Elle pensait qu'il y aurait peut-être une étape transitoire, une balade en voiture ou dans un lieu isolé. Que nenni ! Ce serait l'hypermarché du coin. En même temps, elle n'avait jamais été aussi crédible. Le maquillage permanent de Vanessa était une base qui permettait de masquer les traits masculins du visage. En outre, les extensions de cheveux et la coupe au carré donnaient à la silhouette de Dominique un aspect naturel. Voilà donc le couple en voiture, aux abords de l'entrée du centre commercial. En fin de matinée, il y a déjà du monde et personne dans ces situations ne regarde vraiment les autres. De ce fait, Juliane remarqua qu'on ne la dévisageait pas et Marc, affairé à regarder dans les rayons et à lui demander d'aller chercher tel ou tel article ne s'intéressait pas à ces états d'âme.
C'est en revenant du rayon lessive que Dominique remarqua que Marc discutait avec un homme qu'elle ne connaissait pas .
-"Oh, J-Paul, je te présente ma femme , Dominique"
-" Bonjour Monsieur" polliement 'Madame'
-"Bonjour ! " répondit l'homme .
-"J-Paul est un ancien collègue de travail. On se connait depuis, quoi ?, 15 ans au moins , non ?"
-"Oui, c'est ça et l'année prochaine, c'est à mon tour de profiter de la retraite ...même si je n'ai pas, comme toi, la chance d'avoir une aussi charmante épouse !" répliqua le collègue d'un ton flatteur et charmeur.
-"C'est vrai qu'avec Juliane, on s'entend bien, n'estg-ce pas chéri ? et je sais que j'ai beaucoup de chance"
-"Paul, tu vas me faire rougir !" sortit Dominique, naturellement.
Elle s'étonna de minauder aussi facilement dans une situation quelque peu ubuesque.
-"Faudra que tu viennes dîner un soir à la maison, tiens, je te redonne mon numéro et passe un soir, ma femme est un cordon bleu et sait très bien s'occuper de ses invités..."
Cette phrase fut dite sur un ton qui interloqua J-Paul. Il répliqua aussitôt:
-"ça, je n'en doute pas un instant, à très vite alors ?".
L'homme prit congé en serrant chaleureusement la main de Marc et celle de Juliane mais avec un regard un poil plus appuyé. D'expérience, 'l'épouse' travestie savait que tôt ou tard, Marc lui demanderait de satisfaire cet homme, comme elle l'avait fait pour Roger. Cette petite conversation eut l'effet de la sortir des derniers tracas liés à son apparence et Marc la complimenta pour son naturel.
Rentrés à la maison, Juliane rangea les provisions pendant que Marc lisait le journal et buvait un pastis. C'est alors que Juliane reçut un appel professionnel, lui demandant s''il' était libre la semaine d'après. Gêné de devoir répondre en homme, il/elle préfèra s'écarter du champs auditif de son compagnon mais Marc avait compris de quoi il s'agissait.
Une proposition de travail venait rompre un processus qu'il avait bien eu de mal à mettre en oeuvre. Il n'était pas concevable que Dominique travaille, il n'était PLUS concevable, qu'elle travaile, en tout cas avec l'apparence d'un homme. Une fois, l'appel terminé, Dominique découvrit le visage assombri de Marc
-"Je suis désolé, Marc mais c'est pour le boulot, il faut bien que je gagne ma vie même si tu paies beaucoup de choses"
-"Oui, je compris ma chérie mais les choses ont changé, tu ne peux plus travailler dans ce boulot. C'est un job de mec. Regarde-toi, tu vas aller bosser avec cette coupe de cheveux, en talons aiguilles, maquillée ? Bah !..Laisse ta vie d'homme derrière toi, t'as trop fait de chemin .....en plus, regarde, je sais même plus où j'ai mis la clé de ta cage!!. De toute manière, tu ne m'en parles même pas, je me trompe ? Je vais appeler un copain qui peut te faire bosser. en attendant, rappelle la personne et dis-lui que tu ne peux pas. T'en fais pas, tu gagneras autant et tu seras plus souvent avec moi.
-"La mort dans l'âme, Juliane refit le numéro et informa qu'elle était désormais indisponible.....
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L'Aventure est au bout du chemin (épisode 14, fiction )
Le 17/09/2010
une cage pour la journée, le modèle métal étant réservé aux soirées |
Cela faisait tout juste une semaine que Juliane était encagée. L'homme qui était en elle se manifestait malgré tout, en tourmentant sa libido. Elle n'avait pas joui comme un homme depuis une dizaine de jours, Marc se rendait compte que sa femme était plus agitée, nerveuse. Il essayait, tant bien que mal de réprimer ce besoin naturel de Julaiane en la montant une fois par jour mais il jouissait trop vite pour qu'elle-même puisse avoir un orgasme. C'était surprenant de voir qu'elle bougeait de manière plus sexy, tordait des fesses en marchant, lui lançait des oeillades provocatrices. Le fait de ne pas être libre d'utiliser son sexe et d'être en permanence en demande de jouissance faisait d'elle une partenaire de sexe toujours prête.
Marc aimait que sa compagne se comporte ainsi, comme une salope mais s'inquiètait de savoir comment la satisfaire. Il avait encore trois semaines avant de la libérer de sa cage. D'ici là, il voulait qu'elle apprenne à jouir en se faisant pénétrer mais sans avoir d'érection. Les choses avancaient malgré tout. malgré ça, il se renseigna et appris qu'il fallait masturber régulièrement un sujet sans arriver à l'éjaculation pour que cette dernière intervienne à termes, sans érection. Un traitement de quelques jours suffisait pour que de bons résultats commencent à apparaître.
Pour amener Juliane à ce stade, Marc pensa faire appel à une aide extérieure. Il voulait que quelqu'un d'autre fasse ce travail de 'dressage' afin de profiter pleinement de sa femme. Il appela donc Jérôme, l'un des invités de la soirée; sa femme Nathalie et lui avaient déjà fait connaissance avec celle qui allait devenir leur soumise.
Couple profondément dominateurs, ils étaient contactés des maris qui faisaient parfois appel à eux pour donner à leurs femmes de bonnes habitudes. Ils les transformaient en 'bonnes femelles' comme ils se plaisaient à dire. Quelques jours plus tard, Juliane et Marc frappèrent à la porte du couple. Marc avait demandé, selon les instructions de Nathalie, à Juliane, qui ne savait pas de quoi il s'agissait, de l'accompagner apprêtée, sexy et silencieuse. Juliane avait déjà pris l'habitude de ne plus demander de questions à son homme. Elle avait intégré que son statut d'homme travesti ne lui permettait plus d'intervenir de son propre chef dans une discussion, fût-elle à son sujet. Elle faisait ce qu'on lui disait de faire car elle savait que Marc faisait d'elle progressivement une femme du 3ème genre. Elle aimait ça malgré l'appréhension. C'était une force qui venait de très loin et qui la poussait à accepter toutes ces contraintes. Elle avait été branchée sur un mode féminin et maintenant, c'est uniquement sa féminité qui s'exprimait désormais.
A peine entrée, il lui fut ordonné de se tenir debout dans un coin du salon alors que Marc s'installa dans le canapé. Dégustant un café, il devisait de l'avenir de sa compagne avec Nathalie. C'est ainsi que, conformément aux demandes du couple, il apporta également un collier qu'il sortit de sa poche peu après leur arrivée.
- "Marc chéri, il est temps de finaliser la livraison, tu ne crois pas ?". Conclut enfin Nathalie
Ce dernier ordonna gentillement à sa femme de se mettre à genoux devant lui.
- "J'ai quelques scrupules à te laisser mais c'est pour ton bien ma belle. Nathalie et Jérôme sont de bons maîtres. Je reviens te chercher dans quelques jours. D'ici là, tu devras leur obeïr comme à moi-même. Plus vite tu progresseras, plus vite je viendrai te chercher".
Le collier se referma sur le coup de Dominique et le cliquetis du cadenas scella le destin de Juliane. Sans dire un mot, Nathalie tendit la main en direction de Marc qui lui remit la clé du collier mais aussi celle de la cage de chasteté de la désormais soumise. Aussitôt Marc parti que les premiers ordres arrivèrent.
- "Juliane, c'est la dernière fois que je t'appelle ainsi avant la fin de ton stage. Pour ton maître et ta maîtresse, tu répondras au nom de 'femelle', tu répondras 'Madame ou Monsieur'. Une laisse fut passée au collier et Juliane dut tourner autour de Jérôme qui tenait la laisse en lui demandant de se tortiller. Elle trouvait cet exercice ridicule mais n'osa pas broncher.
- "Cambre-toi, femelle et tortille des fesses. voilà, c'est mieux. Jette des regards, tu dois regarder les hommes et ouvrir toujours un peu la bouche., c'est compris ?
-'Oui, Monsieur".
Au bout d'un moment, Jérôme ordonna à Juliane de remonter sa robe sous laquelle pointait légèrement la cage. Il entra la clé dans le cadenas qui libéra le système de contrainte. La verge de Juliane se déploya.
- "Tu vas te caresser comme une femme caresse un mec, avec deux doigts, doucement. En même temps, je veux que tu m'aguiches. Tu peux parler...allez, vas-y.
- "Bien Monsieur". Juliane commença à se caresser et regarder son 'Maître dans les yeux, en ouvrant sa bouche et passant la langue sur ses lèvres'. Elle commença à avoir une érection.
- "Tu aimes caresser un homme , femelle ?"
- "Oui, Monsieur, j'aime les hommes, leurs sexes...". Les phrases s'enchaînaient maladroitement mais l'excitation montait naturellement. Soudain, avant que Juliane ne se laisse aller, Jérôme lui ordonna d'arrêter. Il lui posa une serviette froide sur le sexe en érection, qui se rétracta assez vite. Retour en cage. Mais le sexe de Jérôme, lui était en pleine forme et Dominique fut contrainte de masturber l'homme comme elle s'était caressée.
- "ça c'est un vraie queue de mec, c'est mieux que ta petite nouille, non ?"
- "Si....... Monsieur a un très beau sexe"
- "Alors continue, ouvre bien la bouche et sors la langue".
Au bout de quelques minutes, Jérôme jouit dans la bouche de Juliane qui dut rester la bouche ouverte, maculée de foutre pendant que Nathalie fit une série de photos.
- "On a ouvert une page sur notre blog, rien que pour toi. On va faire de toi la Reine de la pipe sur le Net. C'est bon pour ta carrière de femelle, tu sais".
La soirée réserva à Juliane d'autres surprises et d'autres tâches à remplir: service à table, vaisselle, préparation des lits, cirage des chaussures de Monsieur. Après une nuit passée en laisse, Juliane fut réveillée par Madame qui lui ordonna de servir le petit déjeuner à Monsieur. Jérôme partit de la maison une heure plus tard, laissant Nathalie et la soumise à demeure.
- "Femelle, tu feras les chambres et après, tu iras te laver sans te rhabiller. Je vais t'inspecter".
Deux heures plus tard, Juliane se retrouvait nue à quatre pattes dans la salle de bain. Marc nous a dit que tu étais un peu étroite, on va voir ça." .
Nathalie enfila des gants en latex et enduisit de lubrifiant un spéculuum anal qu'elle introduisit dans le tréfond de sa soumise.
- "Je ne veux pas t'entendre , femelle, c'est compris ? Sinon, je te mets le baillon'
- "Bien, madame mais c'est très froid et douloureux" répondit Juliane en sentant le matériel chirurgical écarter ses fesses progressivement, puis son anus jusqu'à un point où elle eut un premier gémissement.
- "Qu'est-ce que j'ai dit ? C'est à peine ouvert ! Pas étonnant que ton homme ait mal en te baisant. Bouge pas, il faut que ça se détende, après, je te poserai un plug."
L'attente dura quelques vingt minutes durant lesquelles Juliane resta dans cette inconfortable position. Un nouveau clic d'appareil photo sonna la fin de l'étape de dilation.
- "Bon ça, c'était le premier niveau, allez, on va ouvrir un peu plus" renchérit Nathalie en écarta l'appareil.
Cette fois, Juliane gémit plus franchement mais ce fut une fois de trop et la soumise se retrouva aussitôt baîllonnée avec une boule dans la bouche.
- "Tu peux crier maintenant femelle parce que je vais t'ouvrir toute la journée".
Nathalie mit ses menaces à exécution et il fallut quatre autres étapes de dilatation avant que la maîtresse n'introduise le modèle de buttplug en Juliane. D'une forme ronde, ce plug spécifique élargit l'ampoule anale. Lorsqu'il atteind une taille plus importante que l'anus, il ne peut ressortir aisément. Le sujet doit le porter jusqu'à ce qu'on le lui enlève. Le travail dura deux heures au termes desquelles Juliane, épuisée par cette position de tension musculaire et nerveuse, fut autorisée à se relever et faire quelques pas. La base large du plug écartait les fesses de la soumise de telle manière qu'elle lui donnait une silhouette plus généreuse.
- "ça te va bien, d'avoir un plus gros cul, bon, allez, habille-toi. Mets ton jean moulant, un petit pull qui met bien en valeur ta poitrine et maquille-toi, on va déjeuner à l'extérieur".
Juliane se faisait du souci de sortir avec un objet inséré en elle. Quand elle fut prête, habillée selon les ordres de Madame, juchée sur les talons de ses bottines, maquillée et parfumée, ongles longs et vernis ( Vanessa avait bien travaillé), elle ressemblait à une 'Barbie, tendance 'cagole' !.
Les deux femmes prirent la direction d'un centre commercial situé dans une banlieue lointaine. Vivre une telle expérience de plein jour était très éprouvant pour Dominique. Jusqu'à présent, le look de bougeoise que Marc lui avait demandé d'adopter n'attirait pas les regards. Mais Nathalie ne prenait pas pour sa soumise les mêmes précautions !. Elle était vêtue de manière très discrète et peu féminine. De ce fait, toute l'attention était portée vers Juliane.
- "Les hommes te regardent, femelle, regarde-les aussi et souris-leurs, ils te font honneur, non ?'
- "Oui Madame", se contenta-t-elle de répondre docilement.
Naturellement, les hommes se sentirent confortés par l'attitude provocante de Juliane à tel point qu'un jeune homme, survêtement, casquette vissée sur la tête et écouteurs dans les oreilles vint crâner auprès de la soumise.
- "Hey, Mad'moiselle, vous êtes du quartier ? j'vous ai jamais vue ici, vous me donnez vot'numéro ?
Devant l'audace du jeune homme, Juliane ne savait pas quoi répondre d'autant qu'elle n'avait pas reçu d'instruction de la part de sa maîtresse. Celle-ci jubilait d'ailleurs de voir sa soumise interpelée comme une fille facile des quartiers. Elle prit alors la parole, s'adressant à sa 'copine' :
- "Allez, Juju, donne-lui ton numéro, fais-pas la fille difficile, tu m'as dit qu'il que tu le trouvais mignon !...".
Le jeune se sentit encouragé et s'adressant à Nathalie :
- "elle est toujours comme ça ta copine ?"..
Nathalie qui répondit :
- "elle aime bien les mecs dans ton genre mais après le shopping"
- "Ok, pas de problème, et pour mes potes aussi ?"
- "T'entends, Juliane ?, c'est pas ton kif, ce ceum ? Tu m'avais dit que quand ton ex, Djamel t'avait passée à ses deux potes, t'avais adoré, non ?"
- "Oui' répondit timidement Dominique.
- "Tiens, voilà son numéro, appelle-la après le déjeuner, elle fait la timide mais elle est open pour des plans à plusieurs...avec respect quand même !!".
Juliane eut un haut le coeur et le jeune s'inquièta :
- "T'es pas une tepu ?"
- "Nooon, elle aime les mecs, c'est tout !, allez, à tout' '' conclut Nathalie .
L'expérience se termina sur ces entrefaits car Nathalie ramena dans la foulée sa soumise en voiture à la maison.
- "Bon, tu vois, c'est pas difficile de se faire aborder quand on est une femelle ! Bon, vu le mal qu'on se donne pour toi, on va pas te céder à des jeunes de banlieue ! Marc a un certain standing, tu vas devenir une femelle de luxe."
Dès le soir même, au retour de Jérôme, l'exercice de la veille recommença et ainsi de suite pendant cinq jours. Celà faisait bien quinze jours que Juliane n'avait pas éjaculé, ni en se faisant pénétrer et encore moins en se touchant car elle avait du mal à obtenir une érection digne de ce nom et durable avec le traitement qui lui était infligé et le plug qu'elle devait remettre chaque matin. Le vendredi soir, veille de la visite de Marc, Jérôme décida de baiser sa soumise.
Juliane faisait la vaiselle lorsque l'homme vint se coller derrière elle, lui caresser les fesses et l'embrasser dans le cou. Il releva sa jupe et baissa sa culotte pour y découvrir un cul bien épilé, doux et ouvert par une dilatation de plusieurs heures par jour. Il doigta la femme pendant qu'un autre main était posée sur l'un de ses seins. Juliane ne s'offusquait plus quand un homme se comportait ainsi avec elle. Jérôme ne mit pas longtemps pour dégraffer sa braguette et sortir sa verge dure. Présentant sans autre geste tendre son membre viril devant la rosette de Juliane, il n'eut qu'à pousser légèrement pour entrer en elle.
- "Continue à faire ton boulot, femelle, j'ai juste besoin de ton cul".
Il lima la soumise avec la sensation d'être dans un vagin; d'ailleurs, il ne se priva pas pour le dire à sa partenaire après s'être soulagé.
- "T'as été une bonne femelle . C'est un début encourageant, faudra revenir mais si tu donnes satisfaction à ton homme ce week end, lundi, on passera à la seconde étape.
La saillie dura encore quelques minutes mais Juliane, passive et affairée à sa vaisselle n' éjacula pas.
- "Tu vois, t'as encore du boulot à faire dans ta tête....".
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L'Aventure est au bout du chemin (épisode 15, fiction)
Le 27/09/2010
vérification du dipositif |
Pendant tout le week end, Marc apprécia la compagnie de sa femme, particulièrement docile, féminine, soumise. Juliane savait que si elle ne voulait pas reprendre le stage du début, elle devait donner satisfaction à son homme et s'y employait pleinement. Le samedi soir, Marc fit l'amour à sa maîtresse et apprécia de pouvoir la pénétrer plus facilement. Cinq jours de dilatation quasi continue avaient porté leurs fruits.
Lorsque le lundi matin arriva, Juliane reprit seule le chemin de ses maîtres formateurs. Elle commanda elle-même un taxi et c'est vêtue comme pour l'escapade au centre commercial, la semaine précédente ( jean moulant, bottines, pull moulant et trench court) qu'elle se fit conduire chez Jérôme et Nathalie. Marc, sans le montrer, fut satisfait de voir que sa créature faisait tout celà de manière naturelle. Pourtant, elle avait bien encore des rétiscences intérieures. Malgré celà, elle monta dans le taxi en pronnonçant un ' bonjour' des plus charmants. Arrivée à destination, c'est Nathalie qui lui ouvrit :
- "Ah, te voilà, toi, tu n'es pas en avance, femelle !! Bon, vas dans ta chambre déposer tes affaires. Tu y trouveras ta tenue de travail de cette semaine, un cadeau de Marc".
Juliane comprit que la robe noire et courte, le tablier blanc, les bas noirs et escarpins de même couleur la conduiraient à remplir de nouvelles fonctions au services de ses maîtres. Elle se changea rapidement car son apparence déjà très féminine ne nécessitait plus de retouches. Désormais , depuis quelques semaines, elle était un travesti 'régulier', vivant jour et nuit dans l'apparence d'une femme et en adoptant la gestuelle. Juliane, en bonne soumise (aux deux sens du terme !) savait globalement comment s'adresser aux maîtres de Maison.
- "Femelle, nous allons te baptiser durant cette semaine avec un prénom correspondant à ta condition : Jacqueline. Mercredi soir, nous organisons une réception et nous aurons besoin d'une servante efficace et dévouée, ce que tu vas être. Mais auparavant, on va repasser à la salle de bain pour une petite inspection de début de semaine".
De nouveau, Juliana subit un écartement anal et la pose de son plug. Elle l'acceptait avec plus de facilité et Nathalie apprécia.
- "Marc t'a baisée ce week end ?"
- "Oui, Madame"
- "Il n'a pas eu mal ?"
- "Il ne m'en a pas fait part Madame"
- "Bon, je vérifierai, c'est bon, tu peux baisser ta robe. Tu vas faire les chambres, passes aussi l'aspirateur et après tu feras la salle de bains et les toilettes. Pour déjeuner, je reçois une amie; j'ai acheté des petites choses à réchauffer, tu nous serviras à la salle à manger"
- " Bien Madame" se contenta de répondre Juliane.
Ce qui était étonnant chez elle, c'était l'acceptation de son statut et la compréhension assez prompte de ce qu'elle allait devoir faire, ce qui en faisait une stagiaire plutôt zèlée. En outre, elle ne se permettait même plus de montrer sa satisfaction d'être dominée ou humiliée. Elle se concentrait sur son travail, considérant comme normales, les instructions de sa Maîtresse. L'idée de faire travailler un travesti à domicile avait le grand avantage de lui faire oublier le plaisir du travestissement. Elle intégrait complètement sa nouvelle silhouette. Elle était au bas d'une échelle mais avait un rôle défini . On s'occupait d'elle, de son apparence, de son destin, c'était reposant. La sonnette rompit le silence de intérieur de l'appartement.
- "Jacqueline, allez ouvrir et faites installer mon amie au salon."
- " Bien Madame".
Juliane / Jacqueline ne se posa aucune question et alla sans tarder ouvrir la porte .
- "Bonjour Madame"
Sans répondre à la politesse de la domestique, Florence, une femme au corps massif, cheveux courts, visage carré entra d'un pas décidé.
- "Madame Nathalie me charge de vous dire qu'elle arrive de suite et vous prie de vous installer au salon"
Gromelant un oui à peine audible, Florence lança
- " Amenez-moi un verre , je meurs de soif"
- "Bien Madame" s'empressa de répondre Jacqueline.
Pendant que Nathalie apparaissait dans le salon et que les deux amies s'embrassaient, jacqueline préparait un verre d'eau et le disposait sur un plateau.
- "Qu'est-ce que vous faites avec ce verre d'eau, ma pauvre fille !?" s'étonna vivement Nathalie.
-"Florence ne boit que du champagne !, allez, faites !"
- "Désolée, ma chérie" s'excusa-t-elle auprès de Florence
- "Cette bécasse est en stage chez nous, elle ne connait pas grand chose au service"
- "tu fais dans le social maintenant ?" s'exclaffa Florence
- "Si l'on veut !, on passe à table? Je sais que tu n'as pas beaucoup de temps pour le déjeuner"
- "Jacqueline, vous apporterez les entrées"
- " Oui Madame" devait répondre à chaque demande une servante zélée.
Jacqueline enchaîna plus ou moins bien le service. A la fin, sa maîtresse la fit venir à la salle à manger et lui demanda, Ô surprise, de remonter sa robe et baisser sa culotte, dévoilant sa cage de chasteté.
- " Tu vois, c'est un ancien mâle. Un ami à nous, nous l'a confiée afin qu'on lui inculque les bonnes manières"
- "ok, je comprends, il faut bien qu'elles servent à quelque chose, ces petites lopettes ! Mais pourquoi, il ne lui fait pas enlever sa petite nouille ridicule ?"
- "Oh, j'imagine qu'il y pense, question de temps je crois. Elle a déjà été dressée à satisfaire les désirs de ses maîtres, tu veux la tester ?" - "Oh......, oui ! pourquoi pas ? qu'elle passe sous la table et s'occupe de ma chatte, elle doit bien savoir faire ça, non ?, un vague souvenir.....hihi"
- " On va voir, Jacqueline, vous avez entendu ? Florence préfère les femmes, pour une fois, ce n'est pas une bite que vous sucerez !"
- "Oui Madame". Jacqueline s'agenouilla et disparut sous la table. On entendit peu après les premiers gémissements de cette femme masculine qu'était Florence. Quelques minutes plus tard, Florence était satisfaite et lança un large sourire à son amie.
- "C'est bon, Jacqueline, vous pouvez débarrasser", conclut Nathalie.
Une fois de plus, Jacqueline s'exécuta. Florence partit peu après et l'après midi se poursuivit. Sieste, soins cosmétiques pour Nathalie , vaisselle, lavage des vitres, nettoyage de l'argenterie pour Jacqueline. Le soir, Jérôme rentra un peu tard et Jacqueline servit Monsieur pendant que Madame était dans sa chambre. Le couple passa commande pour le petit déjeuner et la journée s'acheva.
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L'Aventure est au bout du chemin (épisode 16, fiction )
Le 29/09/2010
Jacqueline est auscultée chaque matin après sa toilette intime |
Jacqueline dut se lever à 6h30 pour préparer un véritable petit déjeuner à ses maîtres. Le rythme de travail et de vie était plus soutenu que lorsqu'elle vivait avec Marc. Le plaisir n'était pas forcément au rendez-vous mais c'était pour plaire à celui qui était désormais son homme, son créateur, son guide que Juliane consentait à tous ces sacrifices. Elle était dans ce genre de pensées lorsque Jérôme apparut dans la cuisine en peignoir sans dire un mot.
-"Bonjour , Monsieur"
Jacqueline savait qu'il ne fallait pas attendre de réponse de la part de ses maîtres. Elle servit le café, les tartines grillées et resta debout durant le service. Au bout d'une dizaine de minutes, Jérôme parla enfin :
-"Madame est encore endormie, tu lui prépareras un plateau que tu lui porteras au lit".
-"Bien Monsieur".
Les ordres étaient clairs et concis, les réponses devaient l'être tout autant. Le maître de maison prit se douche puis, une fois habillé, partit sans dire un mot. Après avoir rangé le couvert du Maître, fait la vaisselle, Jacqueline prépara le plateau de Madame qu'elle porta, après, plus d'une heure d'attente, dans la chambre de Madame.
-"Madame, il est neuf heures" dit-elle timidement. Après quelques trente secondes d'attente, Nathalie gromela un ordre :
-"Entre, et ouvre les rideaux".
-"Bien, Madame". Jacqueline posa le plateau sur un support adéquat.
30 minutes plus tard, Madame Nathalie rappelait sa bonne afin qu'elle débarrasse le plateau et qu'elle fasse la chambre.
-"Quand tu auras fini, on fera ta toilette intime et on refera un examen gynéco pour voir où tu en es. L'heure arriva où, les jambes écartées et le dos cambré, les mains liées dans le dos, Jacqueline dut à nouveau subir un examen au spéculuum.
-"Il y a un léger mieux , il faut arriver à ouvrir ta chatte entre 5 et 7 cm sans trop d'efforts, sinon, ça se referme assez vite. Bon, je vais quand même te mettre un plug plus gros. Malheureusement pour toi, on n'a pas six mois pour te former, Marc veut des résultas rapides, enfin......, ça va t'obliger à le porter presque toute la journée."
Le plug, sous forme de boule, muni d'une base restant à l'extérieur de l'anneau, pénétra plus difficilement en Jacqueline et ce malgré le lubrifiant utilisé en grande quantité. Une fois entré, il dilatait l'ampoule anale, maintenait l'anus ouvert en permanence ( environ 3 cm ou 4 cm) et écartait les fesses de Jacqueline, ce qui l'obligeait à se cambrer légèrement.
Bref, le traitement que la soumise subissait depuis deux semaines, participait de cettesoumission et cette féminisation renforcées que Marc appelait de ses voeux. Nathalie entreprit ensuite de libérer la verge de Jacqueline afin de la laver.... sous l'eau froide ! Jacqueline, les mains liées dans le dos, n'avait plus le loisir ni le droit de toucher cet organe qui, à terme n'aura plus d'autre fonction que celle d'uriner. Au deumeurant, cela faisait bien logntemps qu'elle n'avait pas toucher sa propre verge. Elle connaissais mieux celle de Marc ou de Roger.... D'ailleurs, si Nathalie n'observa aucun début d'érection, c'est bien que cet organe qui s'atrofiait de jour en jour ne présentait plus de sens.
C'est ainsi que Jacqueline passa toute la journée, entre ménage, lavage des vitres, des sols, repassage....et celà reprit le lendemain. Jacqueline commençait à prendre ses repères de domestique. On jugera des résultats de cette formation le vendredi soir lors de la soirée que ses maîtres donneront......
Le matin du jour en question, Nathalie décida de faire le marché et les courses nécessaires pour préparer sa soirée. Il y aurait évidemment Marc qui viendrait apprécier les progrès de sa femme dans ses nouvelles fonctions. Après avoir rempli ses obligations matinales et être passée, comme chaque matin, dans les mains de sa maîtresse pour une nouvelle dilatation et un lavage en règle de son intimité, Jacqueline appris qu'elle devait accompagner sa maîtresse afin de porter les cabas. -
"Tu porteras ce magnifique petit tailleur gris que Marc t'a achetée pour sortir en journée... classique et féminin mais discret aussi, il ne manquerait que ça que la bonne attire plus l' attention que sa maîtresse ! Regardes, tu as même des escarpins à brides avec des talons pas trop hauts, pour pouvoir marcher longtemps. Tu vas devoir commencer à t'y faire parce qu'à partir de la semaine prochaine, tu seras en permanence dans cette tenue."
Une fois vêtue, Jacqueline, ainsi maquillée, prise dans un corset qui lui donnait une taille très fine, des bas couleur chair, chemisier vert pâle et tailleur gris, ressemblait à une femme d'une petite cinquantaine d'années, discrète. Ses ongles américains n'étaient pas vernis car les domestiques doivent rester discrets le jour. Un collier de perles, des clips aux oreilles et un bracelet à chaque poignet étaient les seuls signes de fantaisie de ce travesti régulier. On eût pu penser qu'elle était la grande soeur de Nathalie si cette dernière ne la traita pas comme une domestique, qu'elle était.
-"Tiens, prends les cabas, et marches derrière moi".
-"Oui Madame" se contenta de répondre Jacqueline qui allait passer pour la première fois de sa vie une matinée entière, travestie, de jours, sous le regard des gens. Les deux femmes arrivèrent sur la place du marché et commencèrent à faire leurs emplettes. Au début, Jacqueline évitait les régards en baissant les yeux mais ne put le faire systématiquement, d'autant que Nathalie n'arrêtait pas de lui parler, d'une manière assez vive et en lui interdisant de répondre.
-"Je ne sais pas si je prends un ou deux kilos de raisin....toi, évidemment, tu ne sais rien, bécasse, je ne sais même pour quoi je te parle, pfff".
Le corps contraint, torturé par le corset, le plug, les cabas qui se faisaient de plus en plus lourds, les chaussures qui la faisaient souffrir, Jacqueline souffrait en silence et attendait patiemment le retour à la maison. Aux alentours de midi, il fut temps de rentrer. le trajet à pieds arracha quelques crispations de douleur sur le visage de Jacqueline. En arrivant, Nathalie ne perdit pas de temps et ordonna à sa bonne
-"Vas te changer et commence à éplucher les légumes, tu mangeras un encas en même temps.
-"Bien Madame, merci Madame". Jacqueline remit son uniforme noir, son tablier blanc quotidien et rechaussa ses escapins de travail aux talons larges et courts. Alors qu'elle s'affairait à sa tâche, Nathalie déboula dans la cuisine et lui ordonna de ressortir pour chercher chez l'épicier du coin de la rue, une plaquette de beurre.
-"Ne te change pas, mets ton trench et vas-y vite".
-"J'y vais de suite Madame".
Jacqueline ne réflichissait plus à son apparence. Elle obeissait sans penser aux conséquences de sa tenue, qui malgré les efforts, laissaient entrevoir sa qualité de travesti. Elle descendit sans se poser plus de question sur la situation ou sa condition. La course devait être faite et son orgueil passait après. Tout cela ne pouvait que réjouir Nathalie qui se félicitait de présenter ses résultats le soir même à Marc. La course ne prit que dix minutes mais Nathalie vitupéra sa bonne pour avoir mit autant de temps.
-"Tu croyais qu'en traînant, j'allais faire ton travail ?"
-"Non, Madame, toute mes excuses".
-"Je ne t'ai pas demandé de répondre, idiote, allez, finis ce que tu as commencé. Après, tu sortiras le couvert en argent, la nappe blanche et tu dresseras la table. L'après midi se passa ainsi. Lorsque Jérôme rentra du travail, c'est jacqueline qui lui ouvrit et lui souhaita la bienvenue dans son foyer.
-"Jacqueline, sers-moi un scotch, j'ai besoin de me détendre, quelle journée, j'en ai marre. Dépêche-toi, ah, oui, et après, tu me cireras mes mocassins, les noirs, je vais les mettre ce soir.
-"Bien Monsieur, tout de suite".
Jérôme alla embrasser sa femme.
-"ça va chérie ? ça se passe bien avec la bonne ?"
- "Oui, en gros, bon, elle n'a pas inventé l'eau chaude mais , pour faire la bonniche, pas besoin de Prix Nobel !!"
- "C'est clair, l'important c'est qu'elle apprenne à faire ce pour pour quoi on la dresse. On n' a plus que deux semaines,tu sais; je crois qu'on va la garder ce week end. Faut qu'elle sorte un maximum, seule ou avec nous. Une fois qu'elle aura fini de cirer mes pompes, tu me la renvoies ?, j'ai besoin qu'elle me détende un peu, ça te gênes pas ?"
- "Mais non, mon amour, si tu peux pas te faire sucer en rentrant chez toi, c'est pas la peine de dresser des femelles. Demande-lui de travailler proprement, elle n'a pas de change pour le service de ce soir"
-"Ok ma chérie". C'est ainsi qu'il fut demandé à Jacqueline de satisfaire son maître, à genoux entre ses cuisses ouvertes, le sexe en érection de son employeur dans la bouche, le suçant lentement et méticuleusement
-"Ben dis-donc, si tu trouves pas un boulot de bonniche, tu pourras travailler avec ta bouche. Tu pompes comme une pro maintenant. Et avale bien tout, pas de saletés, compris ?-
La fellation dura bien un quart d'heure, le temps que Jérôme boive tranquillement son whisky devant un jeu télévisé. Quand le maître éjacula dans la bouche de la soumise, il lui demanda de ne pas avaler de suite sa semence.
-"Ouvre la bouche que je fasse une jolie photo de toi en train de déguster mon jus. CLIC . Voilà, bon, vas dire à Madame que je vais me préparer".
Jérôme disparut dans sa chambre et Jacqueline attendit à la cuisine qu'on la sonne.
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L'Aventure est au bout du chemin ( épisode 17, fiction)
Le 07/10/2010
Lorsque 20 heures sonnèrent, Les Maîtres de maison étaient fin prêts à recevoir leurs amis. Jacqueline se tenait debout près de la porte d'entrée, prête à ouvrir la porte et recevoir sacs et manteaux. Les invités arrivèrent en ordre dispersé mais ce fut l'arrivée de Marc au bras d'une plantureuse blonde trentenaire qui frappa le plus Jacqueline.
Jérôme souhaita la bienvenue au couple. Marc ne put faire comme s'il ne reconnaissait pas sa compagne
- "Ben ça alors !....J'ai failli ne pas te reconnaître, Juliane, comme tu as changé, en bien, tu es contente d'être chez d'aussi bons maîtres ?"
- "....heu..Oui, Monsieur, Monsieur et Madame sont très bons pour moi" fit la servante interloquée
- "Elle s'appelle désormais Jacqueline, je trouve que ça colle plus avec son nouveau statut" rétorqua Nathalie
- "....Oui, je comprends......Et en plus elle est bien élevée, bravo à vous deux, vous méritez bien votre réputation de meilleurs dresseurs !"
Sans plus s'intéresser à la domestique ni lui présenter son amie qui se délesta de son manteau en toisant le travesti, Marc pénétra dans le salon pour saluer les autres invités .
- "Jacqueline, sortez le champagne et servez nos invités"
- "Bien Madame" .
La soirée avançait tranquillement. Bien qu'accaparée par le travail et les ordres de sa maîtresse, Jacqueline ne pouvait s'empêcher de jeter des regards à cette jeune femme aux formes généreuses qui accompagnait son amant. Ils semblaient assez proches mais rien ne permettait d'affirmer qu'il existait une relation plus intime entre eux. Le dîner commença et Jacqueline fut toute à son travail car elle savait que la moindre faute serait sévèrement punie et que Nathalie ne perdrait pas une si belle occasion de châtier sa soumise.
Le dîner se terminait et la soirée se fit plus décontractée. Nathalie ordonna soudain à Jacqueline d'aller dans sa chambre. Marc la suivit, referma la porte à clé derrière lui, dégraffa et sortit son sexe demi mou.
- "Ah, ma chérie, j'ai eu envie de ta bouche toute la soirée, l'uniforme de bonne te rend vraiment vraiment sexy, viens me faire une pipe".
Jacqueline s'asseya sur le lit et empoigna la verge turgescente de l'homme.
- "Alors, tu es heureuse, ici ? Tu sembles avoir fait des progrès, c'est bien, il faut continuer, tu dois préparer ton avenir..."
- " Qui est cette femme qui t'accompagne ?, une nouvelle conquête ?"
- " Possible, j'attends de voir quel va être ton comportement. Tu vois, je me pose des questions : bon, en ce moment, t'es en formation mais un travesti n'a pas beaucoup de débouchés, soit il fait la bonne, ce que tu vas faire, soit, il devient travailleuse du sexe mais là, c'est plus difficile...plus lucratif, plus sympa mais il faut faire plus d'efforts et de sacrifices. Jérôme et Nathalie vont encore te former quinze jours mais après, tu devras bien trouver du travail......Allez, vas-y, gobes ma queue, j'ai à te parler de ton avenir. Je me suis renseigné auprès d'un pote qui tient un bar à hôtesses, il me dit qu'il ne serait pas contre l'idée d'une fille transgenre mais avec des arguments sérieux ( dit-il en mimant une grosse poitrine) ...Alors, tu vois, le chemin est long. Bon, tu vas finir ton stage ici et puis, tu commenceras à travailler aussitôt rentrée. Roger, que tu connais, a besoin d'une femme de ménage trois fois par semaine, ça te fera une dizaine d'heures et la copine de Nathalie, oh, je sais plus comment elle s'appelle, Nathalie m'a dit que tu t'étais bien comportée avec elle...",
-" Florence..." dit Juliane en sortant de sa bouche la verge turgescente de Marc
- "...Oui, Florence, eh bien, elle t'emploiera deux jours par semaine, en tout, ça fait un mi-temps. Pour ma part, je suis prêt à t'héberger chez moi mais il faut vraiment que tu travailles plus sérieusement sur toi".
Nathalie connait un généraliste qui peut te prescrire un traitement préparatoire aux hormones, c'est léger et ça facilite la tolérance aux hormones. Vous avez rendez-vous mardi je crois, donc quand tu rentreras à la maison, tu devras avoir commencé, c'est clair ?....sinon, il faudra que tu te trouves un appart."
Jacqueline, tout s'affairant à la fellation, était abasourdie car il ne s'agissait plus d'apparence, ni même de pratiques ou de style de vie mais d'un travail plus profond sur son être. Elle acquiesca comme elle l'avait toujours fait face à cet homme qui possédait une force de conviction à nulle autre pareille.
- "ça ne durera qu'un mois, après, tu passeras au traitement à proprement dit mais avec la préparation, il n'y aura pas d'effets indésirales. Bon, ça, je te l'offre parce que j'ai envie de t'aider dans ta démarche mais il faudra faire des économies avec tes salaires parce que je ne paierai pas tout, ok ?
- "Oui, je comprends, mais on restera ensembles ?"
- "Oui, si tu suis ton traitement, on restera ensembles."
- "Et la fille ?"
- "Ah ah ah....la fille ?!...ben, on restera copains je crois..;bon allez, assez de sentimentalisme, finis-moi chéri, faut que j'y retourne"
Jacqueline qui écoutait son amant s'activa et mis tout son talent afin d'apporter à son partenaire une jouissance rapide et intense.
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