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L'Aventure est au bout du chemin ( épisode 3, fiction)
Le 29/07/2010
Durant la quinzaine qui suivit, aux messages concernant les détails du week end , les conversations téléphoniques plus personnelles répondaient de plus en plus fréquemment. Les allusions coquines de Marc ne laissaient aucun doute. La veille du départ arriva, Marc informa Julien qu'il passerait le chercher en bas de chez lui en milieu d'après midi, "comme il se doit", avait-il plaisanté .
A l'heure dite, Julien était déjà en bas lorsque Marc arriva. Il descendit de sa belle voiture et s'empressa de faire une paire de bises à son ami. La petite nouveauté, qui n'échappa pas au jeune homme fut cette main que Marc mit sur sa taille et qu'il imposa, du fait sa plus petite taille à poser la sienne sur l'épaule de Marc. Le regard et le sourire charmeur de Marc semblait moins déranger Julien qui se laissait visiblement aller à cette nouvelle situation. Marc mit les affaires de son ami dans le coffre et referma la porte d'Eric avant que celui-ci n'eut eu le temps de le faire. Le voyage ne dura qu'une heure et fut une suite ininterrompue de plaisanteries et de bonne humeur partagée.
A l'arrivée des compères à la maison de campagne du couple ami, les amabilités croisées furent de rigueur et Julien offrit à Jean Philippe un bouquet de fleurs que Marc avait eu la bonne idée d'acheter. Au bout de quelques minutes, Jean Philippe montra à Julien la chambre qu'il avait préparée à leur attention.....leur ? Oui, c'était la conséquence directe du malentendu, Marc et lui allaient devoir dormir ensemble, dans la même chambre, dans le même lit !! Julien sut se retenir pour pas mettre mal à l'aise son ami et se contenta de faire des compliments néanmoins sincères sur la décoration fort réussie du lieu.
L'heure de l'apéritif sonna le rassemblement général au salon. Julien descendit le premier, Marc le suivit de quelques pas pour venir s'asseoir tout près de lui. Afin de se faufiler entre la table basse et le canapé, il s'appuya sur la cuisse de Julien et...ne l'enleva pas une fois assis. Julien ne savait pas trop quoi faire car les gestes de Marc étaient de plus en plus voyants. Et il en profitait ! Le repas vint enfin et se passa du mieux possible. Lorsque l'heure de se coucher sonna, les "couples" rentrèrent respectivement dans leurs "quartiers". Tout naturellement, Marc se déshabilla et c'est en caleçon qu'il se lava les dents. Julien, lui, fut un peu moins prompt à faire ses ablutions mais dut se rendre à l'évidence. Il finit par entrer dans le lit en caleçon, lui aussi. Mais quelle ne fut pas sa surprise de voir de voir Marc faire glisser son sous vêtement le long de ses jambes pour le jeter nonchalemment sur le sol. Se tournant vers Julien dans un mouvement rapide et sans hésitation, il posa sa main chaude sur le ventre du jeune homme et lui demanda
- "Alors, ils sont sympas mes copains, n'est-ce pas ?"
- "Oui, très"
- "Je suis très content que tu sois là, on est bien, là, tous les deux" renchérit-il en caressant le ventre de Julien , se rapprochant ainsi de lui. Les deux hommes étaient maintenant à ce point proches que les lèvres de Marc vinrent toucher le cou de Julien, passif mais vibrant sous les caresses de son amant. Paul entreprit alors de prendre la main de Julien et la conduire vers son sexe, déjà en érection. La main hésitante mais curieuse du frêle amant commença à produire des effets partagés. Marc disait des mots tendres à son amant en faisant glisser la caleçon que ce dernier n'avait pas eu l'audace d'enlever. L'opération terminée, l'excitation passa un cap et Marc en profita pour embrasser enfin son amant sur la bouche.
L'homme était excité par le corps fin et doux de son partenaire. Il était maintenant à moitié sur son amant, l'empêchant ainsi de se défaire et sa main descendit entre ses cuisses sans trop s'attarder sur le sexe érigé de Julien. Marc caressa l'intérieur de cuisses de ce dernier et dirigea un doigt entre les fesses du jeune passif. Les baisers et les mots tendres entraînèrent Julien dans un état de bien être à tel point qu'il accueillit le doigt qui entrait en lui avec un petit soupir très féminin.Marc, conquérant, était sûr de lui et ne marquait aucune hésitation. Les choses étaient claires pour lui. Les préliminaires durèrent ainsi plusieurs minutes puis Marc vînt sur Julien en lui remontant les cuisses.
- "J'ai très envie de toi, chéri" lança marc en faisant frotter son gland contre la rosette de Julien.
- "Laisse-toi aller, tu vas aimmer ça. Ne crains rien, je vais être très doux". A peine, Julien avait entamé une longue respiration que le membre du dominant se fraya un chemin dans son intimité. La vie de Julien bascula alors. Il accueillait en lui, un pénis dur et long. Les allées et venue de Marc ne furent pas violentes mais régulières. Il disait qu'il allait être très doux avec "sa" chérie. Julien, plus que jamais passif poussait de petits soupirs jusqu'au moment où, dans un mouvement plus fort, Marc jouit dans un râle profond alors que son amant poussa un cri plus aigü. Marc ne se retira pas de suite. Il embrassa son amant longuement tendrement.
- "C'est un grande histoire qui commence ce soir, chéri" avait-il lancé.....avant de se remettre sur le dos. Julien était désormais officiellement un homosexuel et le compagnon de Marc.
Conquis, épuisé et serein il s'endormit dans les bras de son homme...
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L'Aventure est au bout du chemin (épisode 4, fiction)
Le 31/07/2010
"Fais-moi disparaître cette touffe au plus vite !" |
Au petit matin, Julien fut réveillé par les caresses de son nouvel amant. Marc avait compris qu'il fallait être tendre bien que ferme avec son jeune ami . Son expérience d'homme actif lui permettait d'éveiller le désir de ses amants. Embrassant le frêle jeune homme dans le cou, ses mains se perdaient entre les fesses de son partenaire qui s'éveillait à peine.
Mais cette fois-ci, les préliminaires ne durèrent que quelques minutes au bout desquelles il pénétra dans l'intimité de son partenaire pour un coït à sens unique. Marc jouit assez vite sans que Julien n'ait pu prononcer un seul mot. En se retirant, il claqua gentillement les fesses de celui qu'il fallait bientôt appeler son 'minet' et lui dit :
-"Allez ma poule, vas prendre ta douche".
Cette séquence interloqua Julien qui n'arrivait pas à réaliser ce qui se passait. Alors, il obeissait à cet homme plus âgé, plus viril, directif et déterminé. D'ailleurs, il n'attendu pas que Julien finisse de de se doucher pour entrer dans la salle de bain, se déshabiller et entrer sous la douche. Serrant sa 'poule' de par sa corpulence, dans un recoin de la douche, il lui demanda de le savonner intégralement et de bien laver sa verge.
Une étape dans l'intimité des deux hommes était franchie. Pendant que Julien nettoyait le gland encore un peu gonflé de son amant, ce dernier lui fit observer qu'il n'aimait pas trop les poils.
-" C'était vraiment bon hier soir. Tu es encore un peu timide, hein ? Tu verras, avec le temps, je t'apprendrai à être plus hardi et tu aimeras ça!"
Puis il repris :
-" Tu sais,j'adore caresser un corps doux.... tu devrais t'épiler les fesses chéri, c'est plus hygiènique et plus agréable, et puis pendant que t'y seras, fais tout le reste, les jambes aussi, t' as un beau corps fin, il sera encore plus attirant et doux sans ces vilains poils, ok ?".
La suggestion, ou plutôt l'injonction, sans être sur un ton désagréable, était empreinte d'une telle autorité naturelle que Julien n'osa pas contredire Marc hormis un "tu en es sûr?".
-"Pas de doute, tu verras, tu te sentiras bien mieux quand on fera l'amour, et moi aussi !!". Le débat n'irait pas plus loin. Cela voulait aussi dire que Marc comptait réitérer l'expérience ! Aussitôt Marc ressortit de la douche que Julien entreprit un rasage méticuleux de son intimité puis du reste de son corps son le contrôle bienveillant et gourmand de son ami. Au bout d'heure de préparatifs, le couple descendit retrouver leurs hôtes pour la collation matinale.
Puis ce fut le temps de faire un tour au marché, puis des courses dans les magasins. Au détour d'une parfumerie, Marc entraîna Julien à l'intérieur.
-"Je t'en demande beaucoup , j'en suis conscient. Je vais te faire un petit cadeau pour calmer le feu du rasoir." Se demandant ce qui allait encore se passer, il ne fut pas déçu lorsque Marc saisit dans un rayon, un lait pour le corps , de grande marque.... pour femme!
-" ça adouçit la peau et ça sens très bon, c'est tout à fait ce qui te convient" lui lança-t-il.
Le passage en caisse laissa à Julien un goût de gêne. Baissant les yeux, il remercia Marc pour son cadeau.
-"C'est normal, il faut bien que je te gâte" rétorqua-t-il devant la vendeuse qui faisait mine de ne rien avoir entendu. Le couple ressortit rejoindre leurs amis pour un retour au bercail. Le reste de la journée se passa de manière décontractée. L'après-midi, tout le monde profita de la piscine, et biensûr Marc ne se priva pas de demander à son compagnon de lui passer de la crème, un prétexte pour le lui faire aussitôt après ! Lorsque les préparatifs du dîner se concrétisèrent, Eric fût mis à contribution pour mettre le couvert alors que 'ces Messieurs' sirotaient un apérétif en discutant de sujets 'sérieux". Mais la soirée n'allait pas en rester là !
Jean-Philippe lança un "et si on sortait danser, j'en ai marre de rester ici à faire la bonniche". Marc , en mettant sa main sur la cuisse de Julien appuya cette proposition en disant:
-"C'est vrai, vous vous êtes bien occupés de nous".
C'était fait. Une fois la vaisselle lavée, chacun alla se préparer.
-"Reprends une douche et passe-toi du lait, tu verras, c'est très agréable et puis j'aime bien sortir que mon homme sente bon".
Bien qu'il faisait preuve d'une sorte de consentement passif, Julien était néanmoins dans une sorte d'impasse, Marc ne lui donnait de moins en moins de choix. Il prenait les choses en main à présent. Une demi-heure passa et Julien ressortit fraîchement lavé et parfumé par le lait corporel.
-"Hmmm, tu sens divinement bon, et qu'est-ce que tu es doux, une vraie jeune fille, hmmm ça m'excite tout ça, j'ai très envie de toi" glissa-t-il dans l'oreille de son ami en lui mettant une main aux fesses.
-" Si on sortait pas, je te ferai ton affaire illico !!"
Les quatre hommes arrivèrent sans encombres dans la discothèque très chic du coin. Ils connaissaient visiblement bien le patron des lieux, apparament lui aussi assez porté sur les hommes. Paul présenta Marc qui était déjà venu une fois :
- "Ah oui, je me souviens de vous, bienvenue!"
-....."Et voici Julien le compagnon de Marc".
-"Bonsoir charmant jeune homme".
Julien ne cherchait plus à éviter les regards à présent tant il était désormais entendu qu'il était le petit ami officiel de Marc. Tout le monde s'asseillit donc sur un large divan et une bouteille de champagne fut servie. Les deux couples trinquèrent à cette soirée et à l' Amour. Paul se tourna vers vers Jean-Philippe, trinqua et l'embrassa. Marc fit de même en ajoutant:
- "Je suis très content qu'on sorte ensemble, ce n'est que le début mais c'est déjà très fort. Je vais te rendre heureux à mes côtés mon petiti chéri".
Un deuxième baiser s'abattit sur les lèvres de Julien alors que Jean-Philippe l'interrompit dans son action en disant
- "Mais laisse-le respirer ce pauv' garçon, tu vas l'asphyxier ! hi hi".
La soirée était très décontractée mais Julien , bien que résigné était encore gêné. Marc s'en aperçut et lui dit tout près " laisse faire le temps, tu vas voir, au bout d'un moment, tu te sentiras vraiment bien partout. Il y aura toujours des gens pour te regarder bizarrement mais c'est pas grave. T'es un homo très féminin, et alors ? Ne t'en fais pas, je te protègerai chéri...et puis je vais te présenter à tous mes amis, ils sont vraiment cools. " Marc , le bras sur les épaules de Julien lui refit une bise. De l'autre côté de la piste, deux couples mixtes avaient observé la scène et Julien ne put s'empêcher de remarquer les accents moqueurs sur leurs visages avant de baisser les yeux. Et la soirée continua. Les couples rentrèrent à la maison et, assez fatigué, Marc fit un dernier baiser à Julien avant de s'endormir profondément.
La première journée de sa nouvelle vie d' homosexuel s'achevait.
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L'Aventure est au bout du chemin (épisode 5, fiction)
Le 01/08/2010
Après ce week end, le couple avait pris un rythme de sorties régulier ou recevait chez Marc des amis, en couple ou non, homos et hétéros. On commençait à considérer Julien non plus comme une aventure mais comme le compagnon durable de Marc. Tout le monde s'en félicitait. L'intéressé oubliait les efforts qu'il devait faire en coulisses pour se plier au goût de son "copain". Marc surveillait de près les soins qu'il imposait à Julien.
Afin d'être imberbe en permanence sans avoir la contrainte de se raser quotidiennement, Marc payait un abonnement dans un institut de beauté. Le corps du jeune homme y était épilé soigneusement et intégralement. Une manucure et une pédicure régulière donnaient aux mains et aux pieds de Julien une allure plus allongée. Marc appréciait de sentir son amant le caresser avec le dos des ongles, et pour cela, il fallait en avoir ! un soin du visage lui était également appliqué . On affinait les sourcils, on procédait à un gommage et un léger fond de teint était appliqué sur le visage. Marc veillait à ce que son compagnon le mette chaque matin. D'une manière générale, l'apparence de Julien avait sensiblement évolué .
Sa garde robe avait été aussi modifiée. Les chemises larges de couleur pastel, des pulls échancrés, des pantalons unisex moulants à la taille et plus larges aux chevilles...les chaussures également ( des bottines à talons plats de 3 ou 4 cm ou des ballerines lorsque le couple était à la maison, les beaux jours arrivaient et Marc adorait voir son copain vêtir un petit short, une chemise nouée à la taille et des ballerines aux pieds...) complétaient la collection. A cela se rajoutèrent les chaînes, bracelets et bagues qu'offrait régulièrement Marc. Julien savait que son compagnon aimait le voir ainsi de même qu'il aimait sentir le parfum (le même que le lait corporel) qu'il lui avait récemment offert pour fêter les trois mois de leur rencontre. Marc était de nature entreprenante et dominante.
Rien d'étonnant qu'il prit l'initiative d'abonner son ami à un magazine féminin. Il aimait le voir effeuiller les pages lors des après midis qu'ils passaient ensemble. D'ailleurs, Julien passait désormais la plupart de ses week ends chez Marc. Dès le vendredi soir même. Le samedi , les deux hommes faisaient du shopping. Il est vrai que les moyens de Marc lui permettaient d'inviter son ami, de lui faire moultes cadeaux et surprises.
Un jour, il entraîna Julien dans un sex shop "soft" qui proposait un large éventail de lingerie. Demandant ce qu'il pensait d'un ensemble élagant noir avec quelques touches de couleurs, il apposa l'ensemble (nuisette, soutien gorge, porte jarretelles, culotte) devant son ami et lui dit :
- "ça ne t'irait pas bien ça ? Moi, j'adore, tu serais superbe avec, non ?"
- "Tu crois ? je ne sais pas, ça te plait ?" rétorqua Julien quelque peu embarrassé
- "Pour être franc, ça m'excite beaucoup ce genre de choses, surtout sur un garçon....tu fais quelle taille ?"
N'attendant pas la réponse, il se dirigea vers la vendeuse qui revint vers Julien et le jaugea d'un oeil averti.......
- "Humm, je pense que pour le soutien gorge, vous faites du 90B.....enfin, il faudra rembourrer !" plaisanta-t-elle;
- "Un 38 pour le bas, on va dire un bon 44 pour la nuisette, voilà, ça tombe bien, je n'en ai qu'une !...et puis je vous sors une paire de bas aussi.taille 2, je pense que ça ira....et voilà Messieurs, c'est tout ce qu'il vous faut ?".
Julien ne savait plus où se mettre mais la situation paraissait tellement banale pour la vendeuse et même pour Marc qu'il lui emboita le pas sans broncher. Le couple fit encore quelques emplettes pour le dîner du soir et rentra à la maison.
Il était 18h30, lorsque, un verre à la main, que lui avait servit Julien, Marc demanda d'un ton neutre :
- "Tu nous fais quoi à manger ce soir ?"
Julien sembla surpris car, jusqu'à présent, il n'avait pas fait de cuisine chez Marc.
- "Ce que tu veux mais je ne suis pas cuisinier, tu sais, et je sais que tu es exigent..."
- "ça viendra avec le temps, chéri" rétorqua aussitôt Marc.
- "Commence par nous faire des pâtes, une petite salade, et puis on prendra des glaces dans le congel".
- "Bon, je vais m'y mettre" conclut Julien en acquiesçant.
L'heure du repas approcha et Marc entra en cuisine et clama d'un ton presque théâtral:
- "Est-ce que la Maîtresse de maison est prête ?
Julien s'en amusa et répondit d'un ton très féminin lorsque la main de son homme vint enserrer ses fesses :
- "Parfaitement Monsieur, vous pouvez vous mettre à table !".
Le dîner s'acheva et il fut convenu de manger les glaces au salon devant la télévision. Julien finissait logiquement de faire la vaisselle, Marc regardait le début d'un match de foot. La dégustation des glaces donna à Marc des idées érotiques. Regardant son ami dans les yeux, il léchait de manière suggestive sa cuillère. Julien souriait en rougissant.
-" Si tu allais dans la chambre, j'ai déposé le sac sur le lit ?..." proposa-t-il avec un sourire coquin.."
- "Tu es sûr ?", répondit ,inquiet, Julien...."
- "Oh oui, chéri, je n'ai aucun doute, fais-moi plaisir".
Julien s'exécuta et fila dans la chambre. Lorsqu'il en ressortit, quelques minutes plus tard, il avança lentement en demanda à Marc de ne pas se moquer......
- "Mais non, ne sois pas bécasse....allez montre-moi comme tu es belle"
Julien apparut donc dans le salon en lingerie complète. -
- "La vendeuse a eu l'oeil, dis-donc, tu es, tu es...ravissante !!!" -
- "Tu te moques,...en plus je ne suis pas très féminin !"
- "Ah non, ma chérie, je t'assure ! Tu as un corps superbe, tourne-toi que je t'admire ma belle, c'est fou ce que ça te vas bien, on a oublié les chaussures, avec les jambes que tu as, des escarpins feraient un malheur ! Et puis, va falloir que je te trouve un joli deuxième prénom.... tourne un peu sur toi pour voir..".
Julien pivota sur lui-même, sur elle-même devrait-on dire car son corps fin s'adaptait parfaitement à la lingerie féminine.
- "Approche, viens ma puce, viens vers ton homme ".
Les mains de Marc se posèrent sur la taille de Julien. Il le regardait avec goumandise, ses yeux brillaient. Les caresses de Marc sur les fesses, les cuisses gainées de bas noirs, l'excitèrent au plus haut point.
- "Descends, ma chérie" demanda-t-il à son amant qui se mit à genoux devant les jambes ouvertes de Marc.
- "Tu as même mis ton parfum, ho la la, c'est chaud"
- "Tu as vu, je pense à toi !" renchérit fièrement Julien....
- "Tu es adorable, chérie, tu sais ce que j'aimerais ? " dit Marc en se relâchant sur le canapé.
Il dégraffa sa braguette, défit sa ceinture et le bouton du pantalon. Julien aida son homme à baisser son pantalon puis caressa l'entre jambe de Marc en le regardant.
- "C'est ça ma chérie, caresse-moi". Julien prit confiance et baissa le slip de l'homme. La verge de Marc comprimée dans le sous vêtement jaillit presque au dehors comme un ressort. Le travesti la prit en main et commença à masturber son homme. Marc fermait les yeux puis, d'une main posée sur l'arrière de la tête de Julien encouragea le jeune homme féminisé à prendre son sexe en bouche. Il engouffra le sexe de Marc sans hâte, comme le lui avait demandé son homme.
- "Oui, c'est bien ma chérie, doucement, comme ça, prends ton temps pour me donner du plaisir, tu accélèreras plus tard, caresse-toi en même temps" .
Les minutes passaient dans une grande volupté jusqu'au moment où Marc demanda à sa "femme" d'accélérer...
- "Ouais, c'est bon, vas-y plus vite et ne t'arrêtes pas, c'est trop bon ce que tu me fais".
La technique de Julien, bien qu'encore hésitante, conduisit peu après Marc à la jouissance. Il éjacula sur le bout de ses lèvres. Julien qui ne savait plus comment arrêter.
- "Continue, ma chérie, vas-y, goûte au jus de ton mec. J'en envie que tu le connaisses. J' aime que ma p'tite copine me suce jusqu'au bout".
Julien reprit le gland mouillé de sperme dans sa bouche.
- "Voilà , comme ça, faut toujours sucer un mec proprement".
La séquence érotique se termina sur un baiser de Marc.
- "T'es une déesse, j'aimerais que tu gardes la nuisette et ta petite culotte pour la nuit".
Ce que fit Julien en retournant dans la chambre à coucher.......
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L'Aventure est au bout du chemin (épisode 6, fiction)
Le 04/08/2010
Le lendemain matin, Marc était réveillé lorsqu'il réveilla son ami d'un baiser langoureux dans le cou et d'une tendre caresse aux fesses. Julien se reveilla enfin; il portait sa nuisette un brin frippée.
-"Bonjour ma chérie, bien dormie ?....Tu vas nous faire un p'tit déj' ?" lui dit-il tendrement .
En se levant, Marc remarqua que Julien n'avait pas de chaussures d'intérieur en rapport avec le nouveau look que son amant entendait bien lui faire adopter. Après avoir fait sa toilette, le maître de maison entra dans la cuisine où l'attendait un petit déjeuner continental.
-"Bon, alors, le matin, j'aime boire du café, un verre de jus d'oranges, trois tartines grillées, avec du beurre, que tu auras sorti la veille afin qu'il soit tendre, de la conf ou du miel. Voilà ma puce, c'est simple, n'est-ce pas ? Il y a l'air d'y avoir tout, sauf le beurre qui est froid. Tu es bonne à marier dis donc ! ha ha."
En continuant de rire de ses propos, Marc caressait la cuisse épilée de Julien qui se tenait debout à ses côtés, la cafetière à la main. Il souriait, pas mécontent des compliments de son tendre mais néanmoins directif compagnon. Le petit déjeuner se résuma à une liste de tâches ménagères que Marc lui demandait de faire d'ici midi: Faire le lit, aérer la chambre, laver la salle de bain, faire la vaisselle du petit déjeuner, passer l'aspirateur et se préparer au rendez-vous qu'il lui fixait pour le déjeuner dans un restaurant du centre ville.....
Cette annonce glaça Julien qui se doutait qu'il allait devoir adopter une tenue ambigüe...
Et pour cause ! C'était la première fois que le couple allait déjeuner ensemble, de jour dans un lieu aussi fréquenté. De plus, on était samedi et l'affluence allait être à son comble. Pour finir, et ça n'allait pas être la moindre des choses, Marc demandait à son amoureux de sortir en short et ballerines ainsi que l'un des t shirts pastel qu'il lui avait acheté une fois. A n'en point douter, une nouvelle étape était en train d'être franchie car si le nouveau look de Julien n'était pas celui d'un homme viril, il soulignait de plus en plus ouvertement ses orientations sexuelles.
-"Trêve de plaisanteries, j'ai des choses à régler ce matin, si tu as des problèmes, tu m'appelles, ok chérie?".
-"Oui, ok"- Juste ok ? Ok qui ? "
-"Ben ok, Marc ?"
-"Ah bon, alors,je ne suis plus ton homme, ton chéri de cette nuit ?"
Julien sourit, gêné et renchérit,un poil honteux :
-"Pardon, Ok Marc chéri !!"
Les deux hommes se firent un baiser sur la bouche avant de se séparer et Julien entama sa liste de travaux. Il ne lui fut pas facile de sortir, seul en t-shirt tendant sur le rose, une chaîne et une gourmette ainsi qu'une bague, certes simple mais à l'annulaire droit, ce qui signifiait qu'il était en couple mais non marié. Le plus dur était peut-être le short, un modèle féminin qui moulait les fesses du jeune homme et laissait largement voir ses jambes....épilées !. Qui plus est, il dut chausser des ballerines forcément équivoques.
Lorsqu'il arriva, lunettes noires sur le nez, en terrasse du restaurant, il ne trouva de suite Marc pas du regard. Soudain, mais entendit s'écrier:
-"Chéri, je suis là !!".
Malédiction, il le faisait exprès ! Quelques personnes se retournèrent sans déclencher un scandale. Néanmoins un homme sourit avant de remettre le nez dans son journal. Qu'il était donc difficile d'être homosexuel, encore de nos jours ! Car, depuis quelques semaines, c'est bien ce qu'il était devenu, un homo, passif de surrccroît, non ?
Non qu'il eût à en rougir, le temps où cet homme qui aimait séduire les femmes bien, qu'ayant quelques fantasmes, était loin désormais !. Il était plus que jamais dominé physiquement et mentalement par Marc. Certes, le senior de 59 ans était encore bien conservé comme on dit, il avait les moyens de l'être mais dans les désirs homosexuels de Julien, l'aventure aurait dut s'arrêter avant. Marc avait su prendre en main le destin et même l'apparence de son ami, dans la douceur mais avec autorité également. Si Julien s'était vraiment observé dans une glace, il aurait mis fin à cette aventure qui lui échappait, tout comme son destin. Seulement, Marc ne lui laissait guère le temps de se regarder autrement que dans une apparence efféminé.
En déjeunant sur la terrasse, Julien raconta sa matinée faite de travaux et de préparatifs pendant que Marc, curieusement distrait, regardait une femme de son âge qui déjeunait avec une amie à deux tables d'eux. Julein s'en rendit compte et s'interrompit en faisant une moue. Marc sentit son agacement :
-"Excuse-moi, chéri, tu sais les travaux de la maison, c'est pas trop mon truc. Bon, je t'écoute"
-"Non, ça ne t'intéresse pas, tu préfères regarder des femmes dans mon dos !" rétorqua le jeune homme avec un pointe de remontrance.
-"Ma parole, tu es jalouse, oh c'est pas joli ça ma belle"
-"Arrêtes de m'appeler ma belle, y a du monde !!"
-"Bon, je te dire la vérité. Je regardais la dame en beige car je la trouvais très élégante. J'aime beaucoup ses escarpins, ils sont assortis à la jupe et au chemisier, t'as vu, elle est belle, n'est-ce pas ?"
-"Mouais, j'aime pas sa coiffure"
"Bon d'accord elle n'est pas à la page mais je ne cache pas que si un jour tu étais aussi élégante, je t'épouserais!".
Cette déclaration choqua Julien bien que depuis la nuit dernière, il avait commencé à se travestir pour plaire à son homme et connaissait ses goûts sans ambiguité. Marc le rassura de suite :
-"Ne t'inquiètes pas, je ne te demande pas de sortir comme ça aujourd'hui, donc, pour le mariage, c'est pour de suite ! ha ha.....et puis, j'aime les femmes avec un petit truc en plus, les femmes comme toi" .
Son charme naturel désharçonna Julien qui, à son tour sourit des facéties de Marc. Le déjeuna se termina sur ces bons mots et le couple s'en alla en direction du centre ville.
-"Ah oui, chéri, on a des courses à faire quand même cet après midi" rappela Marc d'un ton plus ferme.
-"Il faut te trouver des chaussures d'intérieur"...Et voici les amants arpantant les trottoirs commerçants. Il entrèrent dans un grand magasin ou l'on pouvait se servir et essayer. Il se dirigèrent aussitôt vers le rayons femme. Bien que la balade en pleine journée se passait bien, Julien sentait ses joues rougir. Marc, plus décontracté, regardait les modèles et commençait à en empiler sur son bras. Il trouva même une paire de mules pour l'intérieur et des escarpins aux talons qui paraissèrent à Julien démeusurés.
-"Tu vas les essayer quand même, tiens, il y a une cabine libre"
La nombreuse clientèle ne prêta guère d'attention à ces deux hommes qui, chargés de vêtements féminins, entraient dans une ère destinée aux femmes. Julien essaya les mules, qui lui allaient fort bien, puis, à la demande Marc, deux jupes, quatres chemisiers, deux pulls, et trois robes, rien que ça ! A celà il alla chercher une paire de bottinnes ajourées et des sandales ouvertes, c'était le printemps !. L'homme avait l'oeil car la plupart des vêtements convenaient à la morphologie de son compagnon. Une fois ressorti, les bras chargés, ils se dirigèrent vers la caisse. Julien portait les vêtements biensûr et Marc, sortant sa carte de crédit lui tint ces propos :
-"c'est pour commencer, la qualité est médiocre mais ça te laissaera le temps de te sentir progressivement à l'aise et de trouver ton style. Il y a des choses que tu vas très bien porter, tu sais. "
Muet, Julien était, lui ,angoissé d'arriver à la caisse et d'affronter le regard suspicieux voire réprobateur de la vendeuse. En plus, il ne pouvait se dérober: Un autre homme payait pour ces vêtements, il était donc manifeste qu'ils n'allaient pas être portés par une femme ! Vu le nombre d'articles, il fallut bien quelques minutes pour encaisser le tout. Le moment du paiement surpris bien un peu la vendeuse mais elle avait tellement à faire que l'opération se passa sans problèmes.
-"Tu vois, chéri, c'est simple, n'est pas ?" " Bientôt, tu feras tes emplettes toi-même, et tu pourras t'acheter plein de belles choses car j'ai l'intention de te gâter !"
Eric ne put répondre que "merci,..chéri". Sur le couple rentra chez "eux". Le déballage commenca après que Julien eût servi à son homme une bière bien méritée.......
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L'Aventure est au bout du chemin (épisode 7, fiction)
Le 05/08/2010
Marc commanda ce modèle résistant impossible à défaire.... |
Les tenues furent toutes essayées et passées en revue devant Marc. Ce dernier avait ciblé une garde robe 'de base' , assez classique et pouvant convenir aux situations quotidiennes. Car Marc entendait bien voir son copain se vêtir en femme quotidiennement, d'abord à la maison puis à l'extérieur, d'abord en soirée puis le jour. Les coloris aussi s'inscrivaient dans un esprit classique. En somme, Marc réalisait qu'il avait été influencé par la vision de la femme vue en terrasse lors du déjeuner. Une femme 'BCBG' qui saurait s'occuper de la maison.
Mais Julien n'était pas cette femme....pas encore ! Tout juste un homme éfféminé. Il y avait encore beaucoup de travail mais ça ne faisait pas peur à Marc qui considérait cette relation comme le challenge de sa vie. Rendez-vous compte, il avait la possibilité de créer un être, de le transformer physiquement et mentalement et de le dresser afin qu'il serve ses désirs les plus divers. la transformation ne pourrait être radicale et définitive qu'à condition que Julien passe sous le coupe de Marc sans n'émettre plus de jugement personnel, critique ou non. Julien, homo passif et soumis devait devenir une femme 'hétéro' docile et soumise.
Cette soumission passait par une étape essentielle : le différenciation des sexes. Julien ne devait plus pouvoir continuer à prétendre à être un homme, fut-il sexuellement passif et temporairement féminisé. la première différence entre un homme et une femme ou même entre deux hommes, était la capacité d'avoir une érection. Depuis l'Antiquité, toutes les civilisations avaient glorifié le pénis érigé, symbole de force, de reproduction et sceptre du pouvoir des mâles. Or, il devait être ainsi dans le couple que formait Marc et Julien. L'idée devait faire son chemin.
Mais revenons-en à l'essayage: Marc ne pouvait cacher une légère déception. Julien s'en aperçut et lui en demanda la raison. Il faisait pourtant son possible pour plaire à son homme.
- "Je sais ma chérie , tu es gentille et docile et j'apprécie ça bien que je n'imagine pas le contraire mais vois-tu, dans la précipitation et l'excitation, on a oublié tellement de choses que ça ne fonctionne pas complètement. Je n'ai pas envie que tu te déguises, je veux que tu te sentes à l'aise dans ces tenues, au quotidien et que ton mode de vie s'harmonise avec ton apparence. Enfin bon, positivons, les tenues te vont très bien, tu as un corps fait pour ça mais tu n'es même pas maquillée, tu ne portes pas de bijoux et à défaut de cheveux longs, ta coupe n'est pas très féminine. Tant que tout cela ne s'harmonisera pas, tu ne sentiras pas à l'aise, ni moi d'ailleurs. Tu sais que c'est comme ça que je veux te voir. Maintenant qu'on est un couple, les choses sont définies comme telles, il faut y aller Julien, sans craintes, et ne pas faire les choses à moitié".
Julien écoutait en regardant dans le vide. Il n'osait pas regarder son amant en face et se demandait bien ce que Marc allait encore pouvoir lui demander. Pourtant qu'il était loin ou cet homme, aux fantasmes sortait et couchait avec des femmes, dominant et séducteur. A présent, il était le minet et bientôt la femme d'un homme véritablement viril et dominant. Marc reprit enfin, après qu'un ange fut passé:
- "Bon, je vais te donner de l'argent et tu vas ressortir pour finir tes amplettes. Il faut au moins que tu aies des dessous à te mettre. On achètera les parures sexy ensembles mais il te faut bien quelques culottes en coton. Pour ce qui des soutifs, prends du 90 ou 95C, ça va dépendre . De mon côté, j'appelerai Vanessa (l'esthéticienne qui s'occupait déjà de Julien) pour des conseils. Ok chérie ?"
- "Oui, si ça te fait plaisir, pas de problèmes".
- "Allez, fais-moi un bisou et file".
Aussitôt la conversation terminée, Marc composa le numéro de Vanessa.
- "Allô, Vaness' ? Oui, salut ma chérie, comment va ? Pas trop de boulot ? Ben oui, en été, une fois que les clientes sont parties,.......hm hm.....ben nous, ça va pas mal, Julien est sorti faire du shopping........Oui, il va faire chauffer ma carte, c'est sûr mais j'aime m'occuper de lui !.......ah oui ? Tu trouves qu'on va bien ensemble ?....C'est gentil.......oui, à mon âge, il faut que je fasse tout pour le garder, c'est sûr, d'ailleurs, je m'y emploie ma chère Vanessa ! A ce propos, j'ai un petit service à te demander........"
L'échange dura un bon quart d'heure, le temps que Marc demande à l'esthéticienne comment et quand s'y prendre pour habituer et former Julien aux soins féminins de base en affirmant l'avancée de sa transformation. Un rendez-vous fut fixé pour quinze jours plus tard à la maison car Vanessa devait commander des produits. il raccrocha le téléphone pour se connecter à internet et y chercha des informations afin de restreindre, voir empêcher son amant d'avoir, comme tout homme, des érections. Finalement, au delà du statut, celà le dérangeait que Julien puisse avoir du plaisr de la même manière que lui. L'érection gêne la pénétration anale et Marc n'arrivait pas à discipliner Julien sur ce point. D'ailleurs, il n'aimait pas donner du plaisir à son ami en lui caressant le pénis. C'était un homme actif qui aimait avant tout la pénétration et la fellation. Pour lui, les chose étaient claires et il était impératif d'agir. Outre la castration physique qu'il écarta (lui-même l'envisagerait bien dans l'absolu mais savait qu'il se verrait opposer une réaction qui pourrait mettre en péril leur relation), la castration chimique était intéressante car elle était réversible, simple et pas douloureuse. Mais il fallait en passer par un médecin...les choses pourraient peut-être se faire mais il faudrait arriver à un stade où ce serait Julien qui en fasse la demande.Or, ce n'était pas encore le cas. En attendant, il devait se montrer patient .
C'est pour celà qu'il opta pour une solution mécanique, la cage de chasteté. Une fois vérouillée, le passif est sexuellement soumis au détenteur de la clé du cadenas qui ferme le dispositif. La verge est enfermée dans un étui rattaché à un anneau passant sous la bourse. l'organe génital entier est comprimé et il n'est plus possible d'avoir une érection. Avec le temps, la verge s'étiole et rétracte. La cage offre en outre l'avantage d'une domination mentale. Le soumis, ne pouvant plus bander ne se perçoit lui-même plus comme un homme, il se soumet automatiquement à celui qui détient la clé, donc le pouvoir, d'autant que le dominant, lui, conserve la capacité de bander et ne se prive pour le montrer !.
Si, en plus, ce même homme est l'amant actif du dominé, on peut espérer de bon résultats. C'est en tout cas le raisonnement que fit Marc en commandant un modèle souple, de qualité. Une heure plus tard, Julien rentrait chargé d'un sac contenant culottes et soutien-gorges. Il était près de 20h et Marc lui dit:
- "Ah, chérie, t'es enfin là, y a un match ce soir, c'est la reprise du championnat, tu nous prépares un petit truc à grignoter à la mi-temps ? Ok ? En attendant, je boirais bien un petit pastis".
......Le programme était écrit à l'avance et Julien savait désormais quoi faire....
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