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CRISE DE MOEURS ( fiction - nouveauté 2013 !, chap 45 )
Le 20/10/2013
Depuis sa semaine d'abattage, Nathalie n'en était plus à une fellation près. Le passage de Georges n'était finalement, outre la surprise, qu'une queue de plus à sucer, le decorum en plus. Elle en avait vu passer tellement dans sa bouche que celle-là ou une autre,....
C'est ainsi que durant les trois semaines qui suivirent et précédèrent le départ de Nathalie à l'étranger pour sa série d'opérations, elle satisfit plusieurs invités masculins, des amis de Maurice ou de Christiane, toujours selon le même rituel du dessert. Les invités, qui se doutaient souvent qu'on leur réservait une petite surprise étaient ravis de leur soirée, en général. Mais quelques jours avant de partir, ce fut au tour de Jean-Pierre, le futur ex mari de Christiane à prendre place !
Quelle surprise de taille la vue de l'homme fut-elle pour Nathalie. Christiane et J.Pierre n'étaient-ils pas fâchés, se déchirant disputant leur patrimoine ? J.Pierre était en ville pour signer les dernier papiers du duvorce et de l'accord répartissant les biens communs. Il fallait donc amadouer l'homme du mieux; On l'avait installé dans un bon hôtel et l'invitation dans l'appartement de Maurice, bien que modeste, s'inscrivait dans une stratégie de bien-être. Rien ne devait venir contrarier l'ex mari. Il fut d'ailleurs mis vite à l'aise par Christiane, tout sourire, faisant ouvrir par sa bonne la porte d'entrée.
" Oh...mais quelle surprise, Nathalie !!! Et bien, tu es devenue boniche finalement ?....en même temps, une bien belle soubrette !" se réjouit J.Pierre, dont l'allure s'était arrondie et qui paraissait un peu négligé. Personne ne s'occupait plus de lui, lui qui était d'une génération où les hommes ne savaient guère se débrouiller dans les taches ménagères, d'où la présence de femmes.
La vue de Nathalie fit son effet et mit J.Pierre à l'aise très vite.
" C'est vrai que tu as très bien connu Nathalie.....eh bien, toi, dis bonjour à Monsieur J.Pierre, tu t'en souviens, non ? Ce n'est pourtant pas si vieux !, qu'est-ce qu'elle est lente ...!" Christiane réprimanda sa domestique afin de bien montrer qu'elle avait le pouvoir sur elle et qu'elle pourrait lui faire ce qu'elle voudrait. Si Jean Pierre était 'gentil' durant la soirée, elle saurait agir sur la femelle pour contenter l'invité.
" Bonsoir Monsieur Jean Pierre; Je suis heureuse de vous revoir. J'espère que vous allez bien" déclama Nathalie, tel un robot dans lequel on aurait programmé une phrase enregistrée pour l'acceuil des étrangers
" ...Eh bien, Nathalie, tu en as de la conversation ce soir !! Tu sembles reconnaître notre invité et l'apprécier, visiblement " reprit Maurice, un brin ironique. Puis, J.Pierre reprit :
" Je ne sais pas ce que vous avez fait, mais elle devenue très polie et bien docile. je t'ai connue un peu plus revêche....mais on pouvait déjà deviner qu'il te fallait de bons maîtres !"
" Oh, tu sais, il ne faut jamais rien lacher avec ces femelles trav. Ce sont des créatures brutes qu'il faut modeler et dresser afin de bien se faire servir, sinon, tout part à vau l'eau. Je te montrerai tout à l'heure comment il faut faire, sait-on jamais...." finit Christiane, pleine de promesses, espérant ainsi tenir son ex en haleine durant le repas. Repas qui fut servi par la domestique, plus sexy que jamais. Ses talons de 13 cm la contraignaient à faire de petits pas, faisant gigoter son petit clito de trans sous la micro jupe qu'elle portait. Un mini tablier, un mouchoir, plutôt, décorait la taille. Son maquillage, ses ongles, tout était parfait. Christiane lui faisait porter un corset qu'elle serra elle-même et cadenassa afin que Nathalie n'espère même pas s'en défaire et apprenne à gérer sa respiration avec, et ce, malgré les efforts qu'elle devrait faire. Et puis, il y avait ce collier en cuir,autour du cou de Nathalie, assez fin, recouvert de métal et dont on voyait bien qu'il était cadenassé, lui aussi. La boucle qui pendait devant appelait une chaîne ou une laisse.
Inutile de mentionner que la main habituellement baladeuse de J.Pierre s'égarait durant le service; ce qui amusait les maîtres de maison. Le vin fut servi abondamment et l'ambiance chauffa au point que Christiane révélait son côté dominateur plus encore que dans le quotidien. Nathalie fit les frais d'une colère pour non respect dans l'ordre de mettre les couverts. Christiane se leva d'un coup et se dirigea comme une furie vers une commode où reignaient une laisse en cuir et une badine. Nathalie fut appelée devant sa maîtresse, mise en laisse sans ménagement et traînée au milieu du salon devant les yeux amusés des hommes. Christiane remonta elle-même la jupette de sa bonne et l'on vit apparaître le derrière nu, blanc et glabre de la trans. "Chlack, chlack !...." faisait la badine sur les fesses de Nathalie.
" Combien de fois t'ai-je dit, espèce de sotte, qu'on tourne toujours les dents du couteau à l'intérieur, vers l'assiette !? "
" Excusez-moi, Maîtresse, je n'ai pas fait attention !"
" Ne me prends pas pour une imbécile et ne me manque pas de respect !!! sschlaaack"
Les coups tombaient sur le postérieur de Nathalie qui criait très haut, comme une femme, que, finalement, elle était totalement maintenant.
Lorsque la punition fut donnée, la bonne dût retourner à son travail et terminer son service dans le silence, alors que Christiane, essoufflée revenait à sa table, laissant la badine bien en évidence.
" Tu vois, Jean Pierre, il ne faut pas hésiter. C'est une femelle qui ne comprend que ça......et le reste...mais ça elle s'y entende plus. Enfin que, là aussi, Maurice a beaucoup oeuvré pour en faire ce qu'elle est. Et tu sais, dans deux jours, elle part au Maghreb se faire refaire les seins et quelques autres petites choses, histoire de la rendre moins disgrâcieuse. Nous tenons, avec Maurice qu'elle ne nous fasse pas honte, tu comprends ?"
" Oui, je vois...je suis stupéfait du travail que vous avez accompli, j'aimerais bien avoir une boniche comme ça chez moi. Depuis que tu es partie, c'est difficile de faire l'entretien et tout et tout "
" Ah, ça, c'est vrai qu'avec une femelle comme Nathalie, tout devient plus agréable. Mais, encore faut-il veiller au grain." reprit Maurice, un peu saoûl, lui aussi..." parce que c'est une traînée aussi, tu sais....hein, tu sais bien, toi ?.....tu te l'es tapée au Cap, hein, mon salaud ?"
" Allons, allons, Messieurs.." intervînt d'urgence Christiane, sentant la discussion déraper, " ce n'est ni la faute des uns ou des autres. Nous savons bien que Nathalie est une traînée. Elle est putain dans l'âme et les hommes sont désarmés devant les charmes que mettent en oeuvre ces créatures. Jean Pierre, Maurice ne t'en veut pas. Il sait que tu t'es laissé ensorceller par cette petite salope. Tu sait qu'elle a fait aussi la pute ? "
" Je le savais qu'elle avait une aptitude à faire le tapin, vous savez, elle plait aux clients...enfin, j'imagine" se reprit sans s'étendre Jean-Pierre, à la fois excité et se mordant la langue pour avoir trop parlé.
" Bon, pour faire la paix, je propose que nous nous amusions un peu avec notre Nathalie, n'est-ce pas messieurs ?" proposa la maîtresse de maison.
Nathalie fut rappelée du coin cuisine et la laisse lui fut remise. Elle dut se mettre à quatre pattes, aller et venir comme une chienne, lécher les escarpins de sa maîtresse, puis les chaussures des hommes, le tout sous les colibets des dominants.
On buvait le digestif en se délectant de voir la boniche, le cul à l'air et la cgae de chasteté pendante, bien en évidence, lècher les chaussures. Nathalie fut ensuite mise nue et inspectée par J.Pierre.
" Alors, ma femelle, comme on se retrouve, tu t'es joliment apprêtée ce soir. Ton corps s'est bien transformé depuis l'été dernier. C'est joli ces petits nichons.......et je vois que tes maîtres te les ont fait percer"
" Oui, on trouve qu'une femelle comme elle doit afficher son statut. Quand elle en aura de plus gros, on lui fera poser des anneaux plus larges, ça excite beaucoup les hommes, n'est-ce pas J.Pierre ?......allez, tiens, prends la badine et fais-toi respecter, chéri..."
Christiane savait très bien amadouer son ex en lui confiant la maîtrise de sa soumise. Il l'en remercia, prit la badine en main et la fit parcourir sur le corps tremblant de Nathalie.
" Alors ma petite pute, tu es contente de revoir ton J.P. ? Tu te souviens comme je te baisais bien au Cap ? Tu aimais ça, hein ?....même si tu jouais les saintes nitouche....sschlaack !!" Le premier coup tomba avant la réaction de la soumise
" Oui, Monsieur , je contente de vous revoir. "
" Tu aimais être baisée dans le parc, devant tout le monde ? sschllaack !"
" Oui Monsieur, j'aimais, merci, Monsieur"
Nathalie connaissait bien les codes de la soumission. Elle devait toujours remercier le dominant quoiqu'il dise ou inflige comme punition.
" Tu pourrais venir bosser chez moi, tu t'occuperais bien de mon intérieur et de mes fringues, t'as l'air de bien savoir tenir une maison. Il t'a bien dressé le Maurice, quand je pense que t'as été......un mec ! ?....Incroyable.....tu devais déjà être un peu une tentouse pour te transformer aussi vite"
" J'en serais ravie, Monsieur. Ce sont les Maîtres qui décident"
" Oui, oui, je sais..mais qui dit qu'ils vont garder une trav qui fait la pute, hein ? Vu le standing auquel ils aspirent, je les imagine plutôt prendre une belle ukrainienne, blonde avec des loches énormes....tu saisis, pétasse ?"
" Je ne sais pas Monsieur..heu, je ne sais pas" répondit Nathalie, appeurée et paniquée par la persepective d'être 'revendue' à J. Pierre. Christiane, toujours présente et admirant le spectacle prit la parole
" Tu sais, J.Pierre, cette salope nous doit de l'argent, alors, nous ne la cèderons pas avant d'avoir été remboursés,et avec les intérêts ! Après, on pourrait envisager une sorte d'arrangement, pourquoi pas..."
" Tu vois femelle, c'est pas impossible que tu viennes me servir au Cap..ça te rappelera de bons souvenirs....on va voir avec tes patrons comment ça peut se goupiller tout ça, n'est-ce pas les amis ?.....J'ai perdu une femme dans l'histoire, il m'faut bien une compensation, non ?" J.Pierre commençait à être gris. Avant même que tout ne dégénère et pour ne pas le froisser, Christiane prépara un peu de dessert, une bouteille de liqueur qu'elle mis dans un sac. Elle envoya la bonne chercher un manteau et un nécessaire pour la nuit, elle dit à son ex:
" Ecoute, chéri, nous t'offrons notre femelle pour la nuit, emmène-la à ton hôtel et utilise-la comme bon te semblera, mais ne nous l'abîme pas, hein ?' Fit-elle en riant...." Il faut qu'elle nous revienne en bon état demain. Ramène-nous la pour le petit déjeuner, vers 9 heures et nous irons chez le juge ensemble pendant qu'elle fera le ménage. tu veux bien ?"
J. Pierre ne pouvait refuser une telle proposition. La femelle, était à sa disposition, en laisse, juchée sur ses talons, nue et encagée sous un manteau en fausse fourrure.Elle tenait un sac à main et le sac que sa maîtresse avait préparé pour J.PIerre. Celui-ci la tira littéralement par la laisse et entendit sa maîtresse dire à son passage " et sois bien obeissante, toi, J.Pierre est ton maître pour la nuit, fais-nous honneur, tu gagneras un bonus s'il est satisafait pas tes prestations et s'il ne l'est pas, il t'en cuira ma fille, crois-moi !"
A l'hôtel, J.Pierre se mis nu et but, mangea en se faisant lècher le corps par la soumise tenue en laisse. Il gémissait de délectation dans ce très bon lit. Puis il dit à Nathalie
"Dis, la putain, montre-moi comment tu sais faire jouir un client, si tu dois bosser au Cap, j'veux pouvoir t'évaluer avant d'te mettre sur le marché...allez hop, au paf !" La vulgarité n'avait rien d'attirant pour une femme, mais pour une prostituée, elle était un test . Un professionnelle comme Nathalie devait contenter des hommes de conditions et de styles différents. Un jour, elle pourrait choisir des clients plus distingués, à condition d'être très sexy et pas trop abîmée par les mois de tapinage qui l'attendaient. Elle avait été vendue ce soir, elle le savait. Dès son retour de d'opération, elle ne tarderait pas à rejoindre le Cap. C'est enfin ce qu'elle se dit lorsque J.Pierre entra en elle....
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CRISE DE MOEURS ( fiction, nouveauté 2013 !,chap 46 )
Le 27/10/2013
-"T'as pensé à ton visa ?...."
La voie de Nadia retentit dans le hall de son appartement. Une valise, assez volumineuse était plantée au milieu de la pièce, attendant sa propriétaire était le symbole de ce que Nathalie était aujourd'hui : une voyageuse. Evidemment qu'elle avait pensé à son visa. Sa copine qui l'hébergeait désormais depuis quelques jours, depuis qu'elle avait laissé ses patrons derrière elle, avait conseillé, soutenu, encadré sa protégée. Sandra était aussi du projet. Elle serait même du voyage, profitant de l'occasion pour passer quelques jours au soleil. Nathalie, un peu paniquée mailgré tout, descendit les escaliers sur ses talons hauts. Elle était malgré tout assez discrète dans un pantalon large et un petit haut en tricot. Le sac en bandoulière avec tout ce qu'il fallait pour ne pas avoir de problèmes durant le voyage. Le coeur de Nathalie tapait à vive allure sous son corsage. Elle ne pensait pas plus que ça à la finalité du voyage, seulement, entre les formalités administratives et le dossier médical, la pauvre femme était entièrement prise dans des considérations techniques.
L'envol de l'avion vers Tunis fut un symbole fort pour elle. Plus rien n'était sous son contrôle. L'appareil l'arrachait du sol et ce passé récent qui avait fait d'elle une nouvelle personne s'éloignait, en bas, alors qu' elle atteignait les nuages.
Une heure et demi plus tard, la chaleur fut palpable à la sortie de l'avion. Nadia avait bien fait de conseiller à son amie de partir avec une tenue légère. Les odeurs d'épices propres à l'Afrique du Nord avaient, pour l'instant plutôt des relents de kérozène mais, sur le tarmak d'un aéroport, c'était bien normal, après tout. Le visage masqué derrière de larges lunettes de soleil, Nathalie n'attirait finalement pas l'attention en dehors de certains hommes qui lançaient de petits bruits à son passage, comme lorsqu'on veut attirer une poule..... Mais celle-ci avait pour l'heure un bien meilleur grain à se mettre sous le bec que des badeaux mal éduqués.
Un taxi emmena à une vitesse déferlante les deux copines à la Clinique car il était possible pour un accompagnant, de séjourner dans une aile à proximité. Les dirigeants de ce genre d'établissements avaient pensés à tout, du moment que c'était lucratif, aussi.
Ce fut enfin le moment de monter les marches de l'établissement, de remplir la fiche d'admission et de prendre possession de la chambre qui allait devenir, un mois durant, le logis de Nathalie. Il était prévu que la convalescence se ferait dans un appartement en ville, afin de profiter d'un rétablissement agréable et de se détendre enfin. Elle l'avait mérité, la transexuelle, la prostituée, la bonne, la fille, tout simplement, cet instant rien qu'à elle. Une heure après son arrivée, le Docteur Kamel Ouardi, le chirurgien tunisien qui allait traiter son cas frappa et se présenta. Il avait l'habitude des transeuxuelles et d'opérer sur elles toutes sortes d'interventions. Au demeurant, en dehors des risques inhérents à tout acte chirurgical, ce qu'il projetait de faire à Nathalie était assez courant.
L'homme, la petite quarantaine, n'était pas dénué de charme et Nadia, comme Nathalie, bien que plus concentrée que son amie, était très attentive au beau sourire du praticien. Elle en vint à se demander si elle-même, ne se ferait pas faire un 'petit quelque chose', histoire de passer en ses mains expertes...cette seule pensée lui arracha un petit sourire coquin qui n'échappa pas à Nathalie. Une fois l'entrevue terminée, Nathalie tança sa copine: " Tu es incorrigible ! " fit-elle en souriant. " Ce sont des choses sérieuses qui se passent ici ! Va draguer en ville mais pas le toubib qui va m'opérer.....si tu le déconcentres et qu'il me rate, hein ??".....un fou rire s'ensuivit et détendit complètement l'atmosphère. Il faisait beau, c'était la fin d'après midi, Nathalie avait quelques examens à passer et le lendemain, une journée de rendez-vous préparatoires et d'acclimatation. La première intervention aurait lieu le surlendemain, puis quinze jours plus tard pour le visage. Dans 48 heures, Nathalie aurait une poitrine, qu'elle ne pourrait pas cacher et qui indiquerait sans équivoque son genre.
La soirée fut festive pour les deux filles qui échappèrent discrètement à la surveillante de la clinique pour faire un tour en ville. Habillées discrètement, elle allèrent dîner dans un bon restaurant qu'on avait indiqué à Nadia puis, toujours sur les conseils d'amies tunisiennes, avisées du statut des filles, la soirée se poursuivit dans un club privé où les amateurs de filles 'pas comme les autres' se retrouvaient. On leur ouvrit gentiment et beaucoup d'hommes se trouvaient à l'intérieur. Un spectacle d'effeuillage divertissait ces messieurs. Inutile de dire que la présence de Nadia avec ses mensurations de poupée Barbie et Nathalie, moins 'voyante' mais européenne, ne passa pas inapercue. Mine de rien, bien que toute cette attention amusait les copines, les regards persistants posées sur elles, avaient tout de même quelque chose de dérangeant. Elles savaient qu'aucun geste déplacé ne serait admis et que le premier client dérogeant à cette règle, serait immédiatement reconduit à la sortie.
Il fut donc agréable aux filles de faire les filles, assez sexy pour qu'on les désire mais pas trop pour qu'on ne les aborde pas ou qu'on leur manque de respect. Du rêve...et une tendre amitié entre elles, qui partageaient des expériences communes, voilà ce que fut ce tendre moment où l'on imagina plus qu'on n'agit.
Après une bonne nuit réparatrice, Nathalie prit un bon petit déjeuner, son dernier avant l'intervention, puis se prépara pour se rendre aux rendez-vous fixés avec le chirurgien et l'anesthésiste. Un conseiller de séjour s'assura également qu'elle avait tout ce qu'il lui fallait et avait prévu quelques agréments entre les deux interventions afin que son séjour ne lui paraisse pas trop long. Et puis, le jour J arriva, baigné de soleil, comme un signe du destin. Il s'agissait aussi d'un nouveau cap, une nouvelle vie, un nouveau corps. Lentement, le produit anesthésiant s'infiltra dans ses veines et fit entrer son esprit dans un profond sommeil. L'intervention ne durant qu'une heure et demi, après quoi, Nathalie se vit transposter en réanimation, puis dans sa chambre, aucun incident n'étant venu troubler la métamorphose.
A son réveil, son corps était trop endolori pour qu'elle puisse sentir quoi que ce fut. Des bandages en forme de soutien-gorge renforcé entouraient son torse. Bientôt une infirmière bienveillante vint s'assurer qu'elle était bien réveillée et qu'aucun symptôme inquiètant post opératoire n'était à signaler. Le chirurgien vint plus tard, à la fin de sa journée et rassura la patiente sur le bon déroulement de l'intervention. Nathalie allait devoir patienter quelques jours avant d'enlever les bandages et admirer le travail. Elle avait été prévenue que des contusions provisioires allaient gâcher l'esthétique de sa nouvelle apparence. Qu'importe, elle qui allait sentir cette poitrine vivre en elle de jour en jour, se sentir femme de plus en plus, n'en avait cure. Elle était en de bonnes mains et, comme promis, les traces de l'opérations s'estomperaient les semaines passant.
Trois jours plus tard, l'infirmière défit les bandages destinés à soutenir la nouvelle poitrine en présence du chirurgien. Il sembla à Nathalie que qu'ils semblaient bien nombreux et épais mais il ne s'avérèrent pas si épais que ça. Rapidement, la chair un peu rougie apparaut. C'est donc que c'étaient les seins eux-mêmes qui étaient volumineux. Plus ils apparaissaient, plus la surprise saisissait Nathalie. Elle ne s'étaient pas rendu compte qu'ils furent si gros et ronds. Certes, elle s'était laissée convaincre pas Nadia de choisir un modèle de prothèse plus gros que celui qu'elle avait initialement choisi mais de là à porter ces deux.....pis...elle en fut presque choquée.
Les deux mamelles étaient à présent totalement découvertes devant les praticien qui semblait satisfait de son travail, au demeurant bien réalisé. On était effectivement dans un beau 100 C, voir D. Les aréoles étaient assez larges et les têtons, déjà longs ( car travaillés et percés par les Maîtres) donnaient à cette poitrine un air conquérant. Nadia, aussi présente était émerveillée par la nouvelle silhouette de son amie. Seule Nathalie, écarquillant les yeux devant le miroir qu'on posa devant elle, sembla dubitative devant le résultat, pourtant très beau.
- " Mais, il sont énormes !" s'inquièta la trans
- " Ma chérie,.." répliqua Nadia, " Ils sont beaux, fabuleusement opulents, tu vas faire des ravages, ma chérie !"
- " J'ai scrupuleusement appliqué le modèle que vous avez commandé, Madame " anticipa, sur la défensive le chirurgien, craignant qu'on ne lui fasse quelconque réclamation.
- "Oh, je sais, Docteur, mais je ne pensais pas que...."
Le médecin reprit :
- " Je sais qu'on peut avoir ce type de réaction mais vous allez les aimer au fur et à mesure, vous sentir bien, les apprivoiser, en somme...c'est une question de temps. Vous savez, il en sera de même pour la partie faciale...je vais vous envoyer le psychologue pour travailler là-dessus. ce n'est pas facile, dans votre cas...c'est fréquent que des patientes aient un mouvement de recul...vous n'êtes pas seule et c'est naturel, encore une fois"
Le ton et le fond du message du professionnel étaient finalement assez rassurants.. Nathalie l'écouta et se laissa apaiser.
Les jours passèrent et Nathalie fit en effet, connaissance avec son nouveau corps. Elle commença par passer une crème adoucissante, hydratante et cicatrisante sur ces seins aux proportions si généreuses. La texture crèmeuse faisait glisser les mains sur la peau tendue de la poitrine. Petit à petit, Nathalie intégrait cette partie de son corps. Les rougeurs s'estompaient, les cicatrices se rétractaient et les douleurs dues aux faux mouvements devenaient de plus en plus rares. Elle put aussi se laver, avec un savon spécial, puis, vint le moment où elle put enlever le soutien gorge qui évitait une tension trop dure des organes. Elles contempla un jour cette poitrine de femme, bondissant de son torse, ferme, les têtons tendus eux aussi. Nathalie resta là, un bon quart d'heure à s'observer, puis à s'admirer, de face, de profil. Elle vivait désormais avec ces seins, avec SES seins...Ils jaillissaient fièrement de son torse et les rougeurs encore présentes n'entamaient en rien la forme galbée qui retombait harmonieusement sur le sternum. Nathalie avait du mal à imaginer que le corps qui avait été le sien, lorsqu'elle était 'homme', s'était à ce point tranformé. La cosmétique et maintenant, la chirurgie, modelaient progressivement sa silhouette. Elle savait qu'il serait difficile de revenir en arrière. Elle prenait ses hormones régulièrement et allait donner à son visage des trait résoluments féminins.
Alors, l'aventure masculine se refermerait. Pour entamer sa nouvelle vie, elle choisit d'essayer tout types de vêtements pour voir ce qu'ils donnaient mais de nombreux 'hauts' étaient désormais trop petits..elle devrait faire du shopping !
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Qu'en pensez-vous ?
Le 29/06/2010
Soyez mignons, laissez-moi de jolis commentaires |
Soyez choux, si mes écrits ou mes photos vous plaisent, n'hésitez pas à me laisser un petit commentaire. C'est encourageant et sympathique. Plus vous m'encouragerez, plus je vous en donnerai !! hihi Et puis, il y a les suggestions....alors, c'est à vous !
Bisous à toutes et tous !!...
L'Aventure est au bout du chemin ( épisode 1, fiction)
Le 14/07/2010
Ceux qui ont déjà une ou plusieurs de mes aventures savent combien je suis cérébrale. Je sais que le premier organe sexuel est le cerveau, alors, pourquoi s'en priver ? Mon goût pour la transformation et la soumission me mène à explorer des songes dans lesquels mes peurs croisent mes désirs. Je vais vous emmener dans l'un d'entre eux. Quelles que soient vos goûts, je suis certaine que vous y trouverez de quoi passer un très bon moment. Je vous invite à vous détendre en ma compagnie.
J'ai comme beaucoup d'entre vous, le goût des rencontres par internet. Pratiques, relativement discrètes, elles permettent aussi de se faire une idée de la personne avec laquelle on a établi un premier contact. Ce contact, Julien, un homme, hétéro, fin, délicat mais pas efféminé, d'une quarantaine d'années, traversé depuis longtemps par des fantasmes de soumission et de travestisme, le fit un jour avec un homme, Marc, d'une bonne quinzaine d'années de plus que lui sur un site estampillé "troisième genre". Si Julien ne savait pas encore ce qu'il voulait faire et s'amusait plutôt à s'encanailler sur le net, Marc, en revanche, fort de son expérience, annonçait la couleur dès les premières lignes de son 'profil' :
"Homme mûr, dominant, actif et directif recherche un homme à prendre en main pour transformation et plaisir réciproque". Telle était rédigée l'annonce de cet homme visiblement décidé, résidant dans la même région qu'Julien. Les deux internautes échangèrent quelques messages de présentation afin de susciter chez l'autre son intérêt. Julien écrivit qu'il voulait en savoir plus sur cette fameuse 'prise en main'. La peur du jeune homme répondait en écho avec son excitation pour une aventure transgressive. Il lui fût répondu qu'il s'agissait d'établir une relation régulière agréable pour les deux protagonistes faite de respect des limites de chacun . On sentait bien que Marc avait les moyens de ses ambitions une prose élégante et des signes qui laissèrent à penser à Julien qu'il évoluerait dans un cadre privilégié tout en sachant qu'il ne fallait pas effrayer son futur protégé. Un soir, Marc demanda que Julien l'appelle sur son portable. Il l'aurait bien fait lui-même , seulement Eric avait encore peur (de lui ?) et ne désirait pas communiquer son numéro. Le mobile sonna enfin :
-"bonsoir Julien" lança Marc de sa voix chaude
-"Bonsoir Marc"
-"Je suis très heureux que tu m'appelles"
-"Moi aussi, je suis content de vous entendre. Je viens seulement faire connaissance mis, vous savez, je ne suis pas sûr de vouloir me lancer dans une relation suivie, vous savez"
-"Pour l'instant, tu peux me tutoyer, je ne suis pas encore assez vieux pour ça, même si je suis plus âgé que toi"
-"ah, euh, oui, bien,...ok"
-"Je te propose une amitié, tu me sembles être un garçon intéressant et cultivé. Mon annonce ne concerne que ceux qui le veulent. Tu ne dois avoir aucune inquiètude à ce sujet, je sais me tenir. J'ai plein d'amis qui ne sont pas mes amants, tu sais ? !
Cette entrée en matière désarçonna quelque peu Julien qui s'attendait à entrer de plain pieds dans une autre dimension. La discussion se poursuivit quelques minutes puis Marc, attentif au fait qu'il n'appelait pas et ne voulait faire dépenser trop d'argent à son ami, proposa de raccrocher.
Pendant quelques jours, puis quelques semaines, les messages, chats et appels téléphoniques se multiplièrent.
Des sujets divers étaient abordés lors des discussions écrites ou orales. Jusqu'au jour où Marc proposa à Julien de se joindre à lui et à des amis pour un dîner dans un bon restaurant . Le rassurant au possible et insistant sur le fait qu'il n'y aurait rien de déplacé, Julien accepta.
Deux jours plus tard, il sonnait à la porte de l'appartement de Marc. Celle-ci s'ouvrit et les deux hommes se serrèrent la main dans un large sourire sympathique. Marc fit faire le tour de son grand appartement à son invité. L'homme avait beaucoup de goût et de moyens. Une coupe de champagne plus tard, ils sortirent tous deux de l'immeuble pour se rendre à pieds vers le restaurant qui se trouvait dans le quartier.
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L'Aventure est au bout du chemin ( épisode 2, fiction)
Le 16/07/2010
Marc était bien l'homme mûr, élégant que Julien s'était imaginé. Il était de surccroît cultivé et doué d'esprit, ce qui rendait l'atmosphère plaisant et chic. Lorsque les compères arrivèrent à la porte du restaurant, Marc entra le premier en tenant la porte pour que Julien entre à son tour dans le restaurant à la décoration moderne. Marc semblait avoir ses habitudes dans ce lieu . Ils se dirigèrent très vite vers la table que Marc avait réservé.
Paul et jean-Philippe, les amis de Marc étaient déjà là, le sourire aux lèvres. Les trois hommes se firent la bises avant que Marc ne leur présente Julien. Paul, d'un âge et d'un style sensiblement identique à celui de Marc, serra la main du jeune homme alors que Jean-Philippe, plus jeune de deux ou trois décennies et à l'allure très effeminé, fit curieusement la bise à Julien qui, bien que surpris, se soustraya sans sourciller à cet usage. Paul s'asseya sur une chaise, laissant la banquette à Jean-Philippe alors que Marc invita Julien à faire de même. Un nouvel apérétif fut servi et la soirée commença sous les meilleurs auspices : bonne humeur et bien être. Il était clair que Paul et Jean-Philippe étaient en couple mais il était aussi clair que ces derniers pensaient la même chose au sujet de Marc et Julien. Candide de nature, ce dernier ne s'en rendit pas compte de suite mais lorsque Jean-Philippe lui demanda en aparté comment "ils s'étaient rencontrés" d'un air complice, il se demanda si une confusion ne s'était pas installée. La réponse à la question, emprunte de vérité, sembla intéresser Paul qui discutait d'un autre sujet avec Marc. Julien, un peu gêné dut alors expliquer comment Marc et lui s'étaient connus. Le couple, aux sourires bienveillants observaient Marc attendri par le récit de son "ami"....A tel point qu'il ne put s'empêcher de poser une main longuement sur celle de Julien, visiblement troublé.
Le dîner débuta enfin et les mets, succulents, se succédèrent au gré des rires et des regards complices. Lorsque le repas s'acheva, il fut question d'aller boire un verre dans un club. Auparavant, Marc s'était discrètement acquitté de la note et tout le monde le remercia. Le club était un endroit très moderne, chic les cocktails que l'amicale commanda rivalisaient d'imagination. Tout le monde était assis en ligne autour d'une table basse, sur un confortable canapé. Paul et Jean-Philippe étaient assis tout près l'un de l'autre et Marc fit de même auprès de Julien en étendant son bras derrière la nuque du jeune homme, entretenant ainsi l'idée que son invité était son petit ami. D'ailleurs, celui-ci, après avoir bu plusieurs verres, ne semblait s'en apercevoir. Ce moment fort agréable pour tout le monde, s'acheva sur une invitation du couple à venir passer un week end dans leur maison de campagne. Marc accepta sans attendre ni demander à Julien son avis. Il fut même pris rendez-vous pour quinze jours plus tard. l'affaire était entendue.
Lorsque le groupe se sépara, les bises fusèrent à nouveau et Paul fit de même à Julien, tenu par la taille par Marc lorsqu'ils se retournèrent pour rentrer au domicile de Paul. Julien avait-il compris ce que Jean-Philippe lui avait dit en disant au revoir ? " Vous allez très bien ensembles", avait-il glissé à son oreille. Marc pouvait être content d'avoir "réussi son coup" sans que son 'ami' n'ose le contredire. Il se sentait plus sûr, plus fort. C'est certainement pour celà qu'il lui fit part de sa grande joie d'avoir passé un si belle soirée et la paire de bises qu'il fit à son ami fut particulièrement appuyée. Julien, en rentrant chez lui, envoya à Marc un sms lui assurant qu'il était bien rentré..."pour le rassurer" et s'endormit sans vraiment savoir ce qu'il ressentait.
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Tu es sublime et une sensualité irréprochable, belle comme un coeur la petite Cerise !
Une vraie beauté ne change rien ma belle !
Ton histoire est fantstique, quel courage, et bravo a toi. !
hello, t'es super !!!!!!!
Hello Cerise, tu as certainement reconnu Jack autrefois sur Village, ma proposition tient toujours si tu es en recherche d'un Maître digne de ce nom Bisous à toi ma chérie je pense à ma Cerise !
Jack
ca été un plaisir de parcourir ton blog, je viendrai de temps en temps pour y prendre de tes nouvelles
bises du consoeur du sud
ca a été un plaisir de parcourir ton blog cerise je viendrais de temps en temps bise d'une consoeur du sud
Qu'en pensez-vous ?
Que les textes donnent envie de vous lire et de vous découvrir
TSM
bonsoir cerise et bien c'est toujour un plaisir de tel lire et en plus tu est ravissante toujour en vie te rencontrer alors en attente biosus sur tes petites levres
Superbe photos superbe blog
Dommage qu il soit a l arret
Bises
tout simplement divin tu as reussie ta transformation et ton reve a merveille j espere que tu prendras de plus en plus de plaisir a etre femme
tes histoires sont géniales, chère cerise... tu as une façon de narrer tes aventures qui suscite systématiquement le désir d'aller plus loin, de dévorer tes récits tout en ressentant le plaisir que tu y prends, et plus encore, l'envie d'y participer... continue... j'adore les photos de tes adorables petits pieds nylonnés qui parsèment tes récits, je les embrasserais tendrement de baisers passionnés...